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March 31, 2016 1 comments

« Restons-en là »
En défense du « petit » nationalisme

Greg Johnson

Scottish independence: dog with a yes campaign flag around its neck1,882 words

English original here

Au moment où j’écris, le référendum sur l’indépendance écossaise demeure indécis, mais le camp du « non » est en tête. Quel que soit le résultat, cependant, l’Ecosse aura plus d’indépendance, soit en quittant complètement le Royaume-Uni, soit en bénéficiant d’une plus grande autonomie à l’intérieur de celui-ci.

J’ai été franchement surpris que beaucoup de Nationalistes Blancs et de gens de la Droite Alternative s’opposent à l’indépendance écossaise, qui me semble être la simple application du principe ethno-nationaliste selon lequel des peuples différents ont besoin de patries indépendantes pour exprimer leurs identités distinctes et rechercher leurs destinées uniques, aussi libres que possible de l’interférence des autres.

Quand des peuples différents sont forcés de partager le même système de gouvernement, cela génère des conflits, des ressentiments, et même de la violence. Ainsi, pour préserver la paix et promouvoir le bien-être de tous les peuples, les Etats multiculturels devraient être remplacés par des ethno-Etats ethniquement homogènes.

Dans le cas de l’Angleterre et de l’Ecosse, les Ecossais sont en faveur d’un Etat-providence plus généreux que les Anglais ne le permettraient. L’Angleterre tire l’Ecosse vers la droite, et l’Ecosse tire l’Angleterre vers la gauche. Les deux pays satisferont mieux leurs préférences politiques en suivant pacifiquement leurs chemins séparés.

Si la race blanche doit être sauvée, nous devons avoir des patries blanches homogènes. Cela signifie dire adieu à des dizaines de millions de non-Blancs. La meilleure façon de persuader les gens de la justice et de l’humanité fondamentales de ces mesures apparemment drastiques est de promouvoir l’ethno-nationalisme pour tous les peuples.

Donc quand nous voyons un cas où un peuple distinct se sépare d’une nation multiethnique – particulièrement d’une manière pacifique et humaine – nous devrions l’applaudir.

Parce que si des peuples aussi similaires que les Tchèques et les Slovaques ou les Ecossais et les Anglais ne peuvent pas vivre ensemble, il nous est beaucoup plus facile d’arguer que les Blancs devraient se séparer des non-Blancs, qui sont bien plus différents. Et les exemples de séparation ethnique pacifique et humaine dissipent les craintes de guerre raciale et de nettoyage ethnique violent.

En plus de cela, la sécession désorganise l’establishment anti-blanc existant, et c’est une bonne chose. Plus ça le désorganise, mieux c’est.

L’indépendance écossaise serait bonne pour l’Ecosse, bonne pour l’Angleterre, et bonne pour la cause ethno-nationaliste dans le monde entier. Et cela est bon pour la survie blanche.

Si l’Ecosse vote « non », cela peut ralentir le sécessionnisme en Ecosse et en Europe, mais cela ne le stoppera pas. En fait, les sécessionnistes pourraient apprendre des leçons précieuses qui leur permettront de réussir la fois suivante. Si vous ne vous séparez pas la première fois…

Certains Nationalistes Blancs, comme Jared Taylor, ne soutiennent pas l’indépendance écossaise parce qu’ils désapprouvent ce que les Ecossais pourraient en faire : ceux-ci veulent un Etat-providence de style scandinave. Je comprendrais cette position venant d’un Ecossais, mais venant d’un étranger cela me surprend, puisque tout l’intérêt de l’indépendance écossaise est que les étrangers ne sont pas obligés d’aimer la manière dont les Ecossais se gouvernent. Parce que cela serait l’affaire de l’Ecosse, en fin de compte (Taylor a une femme écossaise, donc l’Ecosse ne lui est pas entièrement étrangère).

Quant à la crainte que le Parti National Ecossais [SNP] veut rejoindre l’UE et importer des problèmes du Tiers Monde : en-dehors du fait que cela est l’affaire de l’Ecosse, (1) le référendum porte sur l’indépendance écossaise, et (2) le Royaume-Uni (et donc l’Ecosse) appartient déjà à l’UE et importe déjà des gens du Tiers Monde, donc voter « non » garantit que de telles politiques continueront de toute façon, alors que voter « oui » ne comporte pas de telles garanties.

Mais encore une fois, si vous n’aimez pas les politiques écossaises, vous n’êtes pas obligé de vivre ici. C’est toute la beauté d’avoir beaucoup de nations différentes.

D’autres ne soutiennent pas le nationalisme écossais parce qu’ils désapprouvent ses motifs. Ils pensent que les Ecossais sont « mesquins » : trop influencés par des questions de pain et de beurre et par des sentiments négatifs envers les Anglais.

Mais il n’y a rien de mal à voter pour des questions de pain et de beurre. Aucun Etat n’est légitime s’il ne représente pas les intérêts de la politique des masses, et le vote démocratique est une bonne manière de s’assurer que les intérêts des masses seront entendus, pas ignorés.

Quant à la poursuite de nécessités pratiques : il y a une hiérarchie de besoins. Une société uniquement dévouée à des besoins biologiques de base est ce que Socrate appelait une « cité de porcs ». Mais chaque nation a besoin de prospérité, de sécurité, et de paix avant de pouvoir tourner son attention vers des valeurs plus élevées et vers des buts plus lointains. Donc dans une société saine, il n’y a pas de conflit nécessaire entre les valeurs matérielles et spirituelles. La haute culture requiert un solide fondement matériel.

Chaque nation a d’abord besoin d’assurer sa souveraineté avant de pouvoir se soucier d’autres questions. Il n’y a donc pas de conflit nécessaire entre le nationalisme des petits Etats et les préoccupations raciales et mondiales plus larges. En fait, l’Angleterre et l’Ecosse auraient plus de temps et d’énergie pour réfléchir à des buts plus élevés et pour les rechercher si elles ne tiraient pas dans des directions différentes tout en étant soumises au même système politique.

Beaucoup d’Anglais prennent l’idée d’une Ecosse indépendante comme une offense personnelle. « Ces Ecossais pensent-ils qu’ils sont trop bons pour être gouvernés par les Anglais ? ». Une affirmation étonnamment fréquente est que dans le nationalisme écossais il n’y a rien d’autre que du ressentiment mesquin envers l’Anglais supérieur. Les Ecossais, naturellement, trouvent une telle position intolérable. Il est plutôt inconvenant pour un peuple dominant de jouer simultanément la victime et d’agir d’une manière condescendante.

Beaucoup de commentaires sur l’indépendance écossaise sont tombés jusqu’aux attaques ethniques méchantes et infantiles. Mais les injures et la mauvaise humeur déployées par les deux camps dans le débat ne font que renforcer la désirabilité de la séparation. Quand nous nous battions mon frère et moi, ma mère y mettait fin en nous envoyant dans des chambres séparées pour nous calmer. Envoyons les Anglais et les Ecossais dans des pays séparés. Ils pourraient même apprendre à mieux s’apprécier.

Une autre tendance de droite qui rejette le « petit » nationalisme est celle de ceux qui rêvent d’un nouvel imperium européen. Je suis d’accord pour dire que les Européens ont besoin de développer une conscience paneuropéenne ainsi qu’une sorte quelconque de vague fédération politique. Cela aurait deux buts : empêcher les guerres fratricides entre nations blanches et protéger notre race contre les autres blocs raciaux et civilisationnels comme l’Afrique, le monde musulman, l’Inde et la Chine.

Mais une conscience paneuropéenne n’a pas besoin et ne devrait pas entrer en conflit avec les groupes nationaux distincts. Elle ne devrait certainement pas promouvoir – ni dépendre de –  la création d’un type européen « homogène », qui est en train d’apparaitre dans des sociétés coloniales comme les Etats-Unis. La priorité de tous les peuples européens devrait être de maintenir leurs différences culturelles et subraciales, et donc les idéologies et les institutions qui dissolvent les identités européennes distinctes devraient être rejetées.

Il faut bien se demander si une telle fédération européenne aurait besoin d’être quelque chose de plus qu’une alliance militaire similaire à l’OTAN, qui inclurait toute l’Europe mais exclurait les Etats-Unis et la Russie, puisque les deux nations peuvent avoir des racines européennes mais sont des empires continentaux multiraciaux avec des idéologies impériales universalistes et messianiques. La défense de la race en Europe requiert une politique militaire commune, une politique d’immigration commune, et des réglementations environnementales communes. Mais une fédération européenne requiert-elle vraiment un parlement central et une bureaucratie centrale pour définir le saucisson européen, le Père Noël européen, et la monnaie européenne ? La monnaie, la politique industrielle et les barrières douanières ne pourraient-elles pas être déterminées par les Etats constituants ? Ici nous devrions être guidés par le principe de subsidiarité, signifiant que les décisions doivent être décentralisées autant que possible.

Cependant, avant de pouvoir créer des formes d’unité politique blanche qui ne minent pas la souveraineté et l’identité de nos divers peuples, nous devons déconstruire toutes les sociétés multiethniques homogénéisantes et illégitimes. Qu’une certaine sorte de vague fédération soit désirable dans une Europe racialement éveillée et nettoyée n’implique pas que l’Union Européenne d’aujourd’hui, ou le Royaume-Uni, ou la France, ou l’Espagne, ou la Russie soient de bonnes choses – au point que nous devrions nous opposer à l’indépendance des Catalans ou des Basques ou des Bretons ou des Corses en disant qu’ils « vont dans la mauvaise direction ». Parce qu’en déconstruisant des empires multiethniques en plusieurs Etats ethniquement distincts et homogènes, ils vont en fait dans la bonne direction.

Partout où il y a des peuples distincts désirant contrôler leur propre destinée, je veux qu’il y ait des patries distinctes. La pan-sécession contre tous les empires doit venir avant l’émergence de notre sorte de conscience et de fédération paneuropéennes – pour que notre approche ne mine pas les identités distinctes et la souveraineté des peuples européens. Et un tel sécessionnisme est un phénomène en développement, que nous devrions applaudir et encourager, car avec chaque succès nos rêves se rapprochent de la réalisation, incluant notre rêve d’une vague unité fédérale.

Aucun ethno-nationaliste ne peut sérieusement affirmer que les Etats-Unis ou l’Union Européenne ou le Royaume-Uni ou la Russie d’aujourd’hui devraient être préservés contre les tendances sécessionnistes parce qu’un jour les Blancs pourraient avoir besoin d’une sorte de fédération très différente. Il est donc très naturel de suspecter de tels individus d’être simplement complices des pouvoirs existants – qui s’opposent tous à l’autodétermination nationale légitime de certains peuples européens. « Au nom de la paix et de la sécurité européennes, vous devriez vous soumettre au règne des Allemands » est simplement condamné à l’échec. Ce n’est pas la fin des « guerres fratricides », mais le début de la prochaine.

Quand un Polonais ou un Tchèque ou un Hongrois lit Guillaume Faye faisant l’éloge de l’idée d’une « Eurosibérie » s’étendant du Groenland à Vladivostok, il se demande naturellement en quoi elle différera de la prison des nations dominée par les Russes dont ces pays se sont récemment échappés. La seule manière d’apaiser de telles craintes est de soumettre toute fédération au droit de veto des « petites nations », ce qui signifie que la souveraineté devrait en fin de compte demeurer entre les mains des peuples européens distincts.

Ce droit de veto existe effectivement aujourd’hui. Car il est naturel, normal et juste que chaque peuple assure d’abord sa propre souveraineté avant de s’inquiéter des questions raciales et mondiales. Cela signifie que l’unité européenne ne sera jamais pacifiquement accomplie en étendant des institutions impériales illégitimes existantes. C’est simplement une impasse. Ce qui veut dire qu’un veto petit-nationaliste sera inclus dans toute forme légitime d’unité européenne fédérale qui émergera.

Des concessions à la Realpolitik ou à la géopolitique ne peuvent être faites que par la renonciation temporaire ou permanente aux principes ethno-nationalistes. Mais personne n’entend et personne ne fait attention quand des Nationalistes Blancs décident de partager notre sort avec celui de l’une des puissances existantes. Nos voix sont simplement couvertes par le bavardage du courant principal.

Nous manquons d’argent, de nombres, de pouvoir, et de prestige. Notre seule force est la vérité de l’idée ethno-nationaliste. Donc nous devons soutenir l’ethno-nationalisme par principe, partout où il émerge : l’Ecosse aujourd’hui, demain le monde.

 

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1 comment

  1. Max says:
    April 1, 2016 at 12:57 pm

    Merci beaucoup à l’auteur de l’article pour cette défense du petit nationalisme contre le nationalisme étatique de type jacobin qui a émergé en Europe après la défaite de Napoléon. Les Européens forment un seul peuple, entendu au sens biologique et géopolitique comme les Chinois, les Arabes ou les Africains. Le nationalisme blanc ou européen a pour vocation de rendre leur conscience identitaire aux Européens et permettre la survie de la race blanche sur sa terre natale mais le patriotisme européen ne peut concevoir l’identité européenne sous le prisme uniformisant du jacobinisme.

    Nous sommes Européens car nous sommes Allemands, Français, Italiens, Russes, Polonais, Espagnols mais aussi Bavarois, Bretons, Siciliens, Caréliens, Cachoubes, Catalans. Il s’agit là de la pluralité de nos identités, identités locales, régionales, nationales qui sont des composantes de l’identité européenne.

    Le fédéralisme ethnique (voir le livre “L’Europe des Ethnies” de Guy Heraud) est la solution politique à la diversité ethniques des peuples d’Europe. La Fédération Européenne (dans l’idéal Union Européenne, Bielorussie, Ukraine, Russie) constituerait un Etat fédéral ayant comme compétences : l’armée, la diplomatie, la finance, l’économie, l’écologie, la citoyenneté, l’industrie et l’agriculture, les nations et les régions deviendraient des états-fédérés et régions autonomes ayant compétences dans les domaines de la santé, du logement, de la protection sociale, de l’urbanisme, des transports locaux… avec une application stricte du principe de subsidiarité. La France deviendrait une “confédération” des peuples ethniques qui la composent (Bretagne, Normandie, Bourgogne, Alsace, Corse, Languedoc…) comme au temps de la Gaule, l’Allemagne redécouvrirait la sphère Germanique, la Russie ne se limiterait pas à une extension de la principauté de Moscou.

    Bien à vous

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