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Le mot « W »
English original here
Il y a donc un mot plus grossier que « nègre », et ce mot est « blanc ».
Sinon comment expliquer la consternation de l’establishment politique concernant la déclaration d’Hillary Clinton dans une interview dans USA Today, disant qu’elle est plus éligible que Barack Obama parce qu’elle a davantage d’appui de la part des Blancs de la classe ouvrière ?
Cela, d’après un dirigeant du Parti Démocrate cité par Peggy Noonan, équivaut à « ouvrir les portes de l’enfer ». D’après un supporter d’Obama cité par Noonan, « Même Richard Nixon ne disait pas ‘blanc’, même avec sa stratégie sudiste ».
Noonan elle-même ajoute :
« Jouer la carte de la race comme l’a fait Mme Clinton, souligner et encourager le sentiment que nous sommes grossièrement divisés en tant que nation, utiliser comme argument un brutal et cynique ‘le mec noir ne peut pas gagner mais la fille blanche le peut’ est, disons, si vulgaire, si cynique, si froid, qu’une fois de plus un Clinton nous contraint à éteindre la télévision au cas où les enfants passeraient par là. »
Comment avez-vous osé, Hillary ? Comment avez-vous osé prononcer le grossier mot « W » ? [« W » = White = Blanc]
Bien sûr, il y a un évident double discours ici. Les Noirs, les Juifs, les métis et autres minorités ethniques sont fortement conscients d’eux-mêmes comme groupes distincts avec des intérêts distincts – des intérêts qui sont souvent en conflit avec ceux de la majorité blanche. Aucun de ces groupes n’a le moindre scrupule à poursuivre ses intérêts, même aux dépens de la majorité blanche. De plus, ils sélectionnent leurs dirigeants en se basant sur la force de leur conscience ethnique et sur leur volonté à poursuivre leurs intérêts collectifs.
Mais, d’après Noonan, « Si John McCain disait ‘J’ai eu le vote blanc, chérie !’, sa candidature serait terminée ». Nous les Blancs, voyez-vous, sommes le seul groupe qui n’a pas le droit de se considérer comme un groupe distinct avec des intérêts distincts. Nous sommes le seul groupe qui n’a pas le droit de sélectionner ses dirigeants en se basant sur leur appartenance à notre groupe et sur leur engagement en faveur de nos intérêts.
Nous les Blancs sommes la race qui n’ose pas dire son nom.
Au contraire, nous les Blancs sommes supposés prétendre que nous n’existons pas en tant que peuple, mais seulement en tant qu’adhérents à l’idéologie abstraite et « aveugle à la couleur » de l’égalité humaine. Au nom de cette idéologie, nous devons abandonner notre richesse et notre pouvoir, dégrader nos standards, corrompre notre culture et nos institutions, et nous laisser réduire à une minorité. Nous devons faire cela chaque fois que des membres de groupes égoïstes et racialement conscients comme les Juifs, les Noirs, les métis, etc., nous demandent quelque chose, tant qu’ils dissimulent leurs demandes sous le langage de l’égalité.
Quel genre de peuple doit tout abandonner aux autres, sur demande ? Un peuple vaincu. Nous les Blancs devons nous comporter comme un peuple vaincu dans notre propre pays. Si nous continuons à faire cela suffisamment longtemps, bien sûr, nous cesserons physiquement d’exister en tant que peuple. Nous succomberons au métissage, à l’effondrement démographique, ou au meurtre de masse direct, comme cela arrive souvent aux peuples vaincus et asservis.
Les supporters blancs d’Obama veulent croire que sa candidature transcende la race. Ils espèrent qu’en élisant un homme noir président, ils s’absoudront du fardeau de la fausse « culpabilité blanche » qu’ils ont acceptée. Ils espèrent qu’élire un président noir poussera les Noirs à cesser de les haïr, eux et l’Amérique. Ils espèrent qu’un président noir intelligent et qui s’exprime bien poussera finalement les Noirs à mettre de coté leur mauvaise humeur, leur ressentiment, leur tendance à se chercher des excuses et à véritablement participer à la société américaine. Et, puisque les Blancs les plus profondément libéraux sont très mal à l’aise avec la majorité des Noirs, ils espèrent que le Président Obama sera le modèle qui poussera finalement les membres des gangs, les cinglés et les reines de l’aide sociale à abandonner les mauvaises manières, le langage grossier, les nattes africaines, les dents en or, les vêtements débraillés, les noms stupides et la pagaille criminelle, et à devenir comme les Noirs qu’ils voient à la télévision et dans les films, habituellement joués par Bill Cosby, Denzel Washington ou Morgan Freeman.
Obama et ses supporters noirs n’ont pas de telles illusions. Bien qu’Obama soit à moitié noir et à moitié blanc, il dit clairement dans ses livres et ses discours qu’il est obsédé par la « noirceur » et l’authenticité noire. Et les arbitres de l’authenticité noire ne sont pas les « Oreos » que célèbrent les libéraux blancs, mais les « jeunes des villes » qui hantent leurs cauchemars. Une administration Obama ne se préoccuperait pas de transcender la race, mais de l’authenticité noire et du pouvoir noir. Il y aurait la corruption, le chaos, et la bouffonnerie des mairies des villes noires comme à Atlanta, la Nouvelle-Orléans, Washington D.C. et Detroit, en plus grand. Avec des armes nucléaires. Et les Blancs « aveugles à la couleur » leur donneront le boitier de commande.
Tant que les Blancs, et seulement les Blancs, n’auront pas le droit de se considérer comme un groupe distinct avec des intérêts distincts, le résultat final sera la dépossession des Blancs. Imaginez un jeu de cartes où l’enjeu est le pays tout entier. Chaque groupe ethnique a des cartes et une pile de jetons, mais seuls les non-Blancs obtiennent un atout : la « carte de la race ». Quelle que soit la taille de la pile des jetons blancs au début, tant que nous jouons avec ces règles, nous finirons toujours par tout perdre à la fin.
Hillary Clinton résiste à la dépossession blanche (en fait, seulement à sa propre dépossession, mais c’est un début) de la seule manière possible : faire appel à la conscience et à la solidarité raciales blanches latentes mais réelles. Et l’establishment – et les lèche-bottes républicains feront tout pour prendre la tête sur cette question – devient frénétique pour écraser cette insurrection.
La plus grande menace pour l’establishment, après tout, est la discussion franche de l’identité et des intérêts raciaux des Blancs en même temps que l’identité et les intérêts raciaux des groupes non-blancs.
Aujourd’hui la règle est : si un homme noir veut quelque chose, les Blancs doivent céder. Les libéraux étaient tout à fait favorables à cela, quand les Noirs voulaient seulement la richesse, le pouvoir et les prérogatives de ces gens. Vous savez qui sont ces gens : les mâles blancs, en particulier les mâles blancs sudistes, ruraux, de la classe ouvrière ou de la classe moyenne ; les Républicains supposés ; les paysans ingrats, étroits d’esprit et arriérés et la chair à canon du « pays des ponts routiers » ; les « péquenauds » qui disent qu’ils perdent leurs emplois et leur avenir en faveur des « étrangers illégaux » et des « candidats moins qualifiés de la Discrimination Positive ». Circonstances aggravantes s’ils ont plus de deux enfants et s’ils prennent le christianisme au sérieux.
Mais maintenant qu’un homme noir veut monter au pinacle du pouvoir, auquel Hillary Clinton se sent destinée (et, soyons honnêtes, elle est certainement beaucoup plus qualifiée qu’Obama), Hillary ne veut pas tranquillement céder le passage au « candidat moins qualifié de la Discrimination Positive ». Hillary Clinton a révélé qu’elle est une sale Blanche qui ne veut pas céder le passage. Pousses-toi, la meuf !
Il suffit d’un changement de conscience pour stopper la dépossession des Blancs. Dès que les Blancs s’éveilleront au fait que nous sommes un groupe distinct avec des intérêts distincts en compétition avec d’autres groupes, avec des intérêts incompatibles, tout changera. Nous refuserons de jouer à un jeu où nous ne pouvons que perdre.
Ainsi que les libéraux nous l’expliquent constamment, les groupes désavantagés ont besoin de « modèles » pour changer leur manière de penser. Hillary Clinton pourrait-elle vraiment devenir un modèle pour une conscience raciale blanche active et pleine d’entrain ? Il y a eu des ironies plus grandes dans l’histoire.
Grâce à Dieu Hillary Clinton est égoïste, ambitieuse, et ne croit pas réellement au multiculturalisme égalitaire et libéral qu’elle professe. Grâce à Dieu elle a un sens aigu de ce qui lui revient de droit, qui ne peut pas être dissout dans l’acide de la « culpabilité blanche ». Cette femme blanche combattra réellement un homme noir pour quelque chose de valable.
Je souhaite davantage de Blancs comme Hillary Clinton.
Western Voices World News, 11 mai 2008