Le Manifeste Nationaliste Blanc: Introduction à un livre interdit

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Vous pouvez acheter le Manifeste Nationaliste Blanc de Greg Johnson ici [2].

2304 mots

Traduit par le Fauconnier

Note de l’auteur :

Il s’agit de l’introduction de mon best-seller Le Manifeste Nationaliste Blanc, qui a été banni de 80 % du marché mondial du livre contrôlé par Amazon.com et Barnes and Noble. Il est toutefois disponible auprès de meilleurs libraires, dont Counter-Currents.

Que feriez-vous si demain matin vous appreniez qu’il ne vous reste qu’une semaine à vivre – sept jours de plus, puis aucune perspective d’avenir ? Le monde continuerait d’exister, mais vous n’en feriez plus partie. Dans un premier temps, la plupart des gens seraient choqués et attristés. Certains sombreraient dans le désespoir. Certains pourraient même, plutôt que d’attendre la mort, se suicider sur-le-champ. Mais pour la plupart d’entre nous, le choc initial se dissiperait et nous ferions nos adieux, mettrions de l’ordre dans nos affaires et chercherions à savoir quoi faire du temps qu’il nous resterait à vivre.

Il est évident qu’il n’y aurait plus lieu de se projeter dans l’avenir. Certaines personnes deviendraient intensément dévotes, dans l’espoir de prolonger leur existence terrestre, mais la plupart se tourneraient probablement vers une satisfaction personnelle à court terme. La plupart des gens n’aimant pas leur travail, ils choisiraient donc de ne pas passer cinq de leurs sept derniers jours sur Terre à travailler, quelles que soient les personnes qui dépendent d’eux. Ils pourraient ainsi fumer, boire, manger de la nourriture de mauvaise qualité, consommer des drogues dures, jouer, houspiller leurs congénères et même commettre des crimes sans aucune crainte des conséquences pénales à long terme. De nombreuses personnes pourraient, bien entendu, résister à ces tentations parce qu’elles voudraient laisser un bon souvenir de leur personne à leurs descendants. Mais très peu de gens sont disposées à se comporter de manière digne, retenue ou morale simplement comme une fin en soi, sans incitations extérieures.

Imaginez maintenant que demain, non seulement vous, mais aussi l’ensemble de la race humaine tout entière reçoive demain une condamnation à mort. Des télescopes révèlent l’existence d’un  énorme astéroïde sur le point d’entrer en collision avec la Terre, un astéroïde nettement plus grand que l’objet volant qui, selon les scientifiques, a provoqué l’extinction des dinosaures. Si toute la race humaine devait mourir prochainement, sans personne pour perpétuer nos valeurs ou se souvenir de nous lorsque nous aurions disparu, il ne fait aucun doute que les comportements hédonistes, nihilistes et antisociaux augmenteraient considérablement. L’ordre social est menacé en permanence par une masse de criminels qu’il faut constamment surveiller et réprimer. Imaginez donc ce qui se passerait en quelques jours seulement si cette population était gonflé de millions de nihilistes découragés – et si les policiers et les gardiens de prison qui en assurent le contrôle décidaient tout simplement de ne plus se présenter au travail.

Les choses commencent à se dégrader dans le présent immédiat dès que les gens perdent espoir en l’avenir.

Quel rapport avec le nationalisme blanc ? Le déclin démographique des Blancs est extrêmement avancé aux États-Unis. Les Blancs sont passés d’environ 90 % de la population américaine en 1965 à environ 60 % aujourd’hui, et dans de nombreux endroits et groupes d’âge, nous sommes déjà minoritaires. Selon les projections, les Blancs devraient passer sous la barre des 50 % de la population américaine totale, aux alentours de l’année 2042 (1) . Dans une démocratie, cela signifie inévitablement la perte définitive du pouvoir politique.

Des voix faisant autorité déclarent que le déclin démographique des Blancs est inévitable et le saluent comme un triomphe de la justice raciale. Les multiculturalistes tentent de brosser un tableau idyllique de la future nation américaine arc-en-ciel, dans laquelle les Blancs ne seraient plus qu’une minorité. Mais les Blancs sont de plus en plus sceptiques. Les gauchistes et les non-Blancs font déjà la fête comme si nous étions déjà en 2042, se réjouissant ouvertement du déclin et même de l’extinction des Blancs, impatients qu’ils sont de danser sur la tombe de l’Amérique blanche. Il est de plus en plus évident que ces gens nous haïssent pour de bon. Si les Américains blancs veulent voir à quoi ressemble la vie d’une minorité méprisée dans une société majoritairement non blanche, ils n’ont qu’à regarder l’Afrique du Sud d’aujourd’hui, qui fut également présentée comme une nation arc-en-ciel (2).

Et les Blancs sont entrain de percevoir la signification mortelle de ce tableau mensonger. Dans le système actuel, nous n’avons pas d’avenir et nous agissons en conséquence. La perte d’espoir en l’avenir est le point commun de toute une série de pathologies sociales qui affectent les Américains blancs. Après avoir augmenté régulièrement pendant des siècles, l’espérance de vie des Blancs diminue, ce à quoi on ne s’attendrait qu’en temps de guerre, de famine, de peste ou d’effondrement social.

Dans notre cas, cependant, l’effondrement a été spirituel. Lorsque les gens perdent espoir en l’avenir, il  leur devient absurde d’aller à l’université, de se marier, de fonder une famille, d’investir dans leurs enfants, de créer des entreprises, de faire carrière ou de penser à rendre service à la société. Au lieu de cela, il est logique de se tourner vers l’hédonisme à court terme : pornographie, jeux vidéo, alcool, drogues, «sexualité libre» non reproductive, etc. De plus en plus, les gens ne parviennent pas à devenir des adultes responsables, à se jeter à l’eau pour travailler à des projets ambitieux, à nouer des relations professionnelles et amicales, à mener une vie productive. Mais l’autosatisfaction à court terme ne peut pas nous rendre heureux. C’est pourquoi les taux d’aliénation, de solitude, d’utilisation d’antidépresseurs, d’overdoses, d’alcoolisme et de suicide grimpent en flèche.

Il n’y a aucune raison de penser que les résultats du déclin démographique de la population blanche dans un pays donné seront différents dans d’autres pays blancs.

L’ensemble de l’establishment politique de la quasi-totalité des pays blancs est engagé dans les politiques qui entraînent le déclin démographique des Blancs : la destruction de la famille (3) et le dénigrement de la maternité (4), la promotion de l’hédonisme et de l’égoïsme, l’encouragement au multiculturalisme, l’incitation au mélange racial (5) et la politique d’une immigration de remplacement racial (6), ainsi que le culte de la «diversité», qui n’est qu’un euphémisme pour le remplacement racial des Blancs par des non-Blancs.

Si les Blancs n’ont pas d’avenir dans le système actuel, nous devrons simplement en créer un nouveau. Tel est l’objectif du nationalisme blanc. Pour redonner un avenir à notre peuple, nous avons besoin d’une nouvelle vision politique et d’une nouvelle direction politique.

Qui sont les nationalistes blancs ? Nous sommes des Blancs qui ont décidé d’avoir à nouveau un avenir et qui souhaitent en donner un au reste de notre peuple. Nous reconnaissons que le déclin de la race blanche a des causes politiques et des solutions de même nature.

Nous sommes suffisamment mûrs pour comprendre que nous ne pouvons pas résoudre ces problèmes en tant qu’individus, mais, en revanche, si nous sommes suffisamment nombreux à travailler ensemble vers un objectif commun, nous pouvons changer le monde.

Le nationalisme blanc est une forme de politique identitaire blanche. La politique identitaire blanche signifie, au minimum, que les Blancs se considèrent comme des membres d’un groupe ethnique, avec des intérêts communs, et défendent ces intérêts face à des groupes adverses dans le champ politique. Actuellement, le tabou politique le plus puissant dans l’ensemble du monde blanc est celui de la politique identitaire blanche. Tout comme les partis de gauche et de droite sont unis dans leur engagement en faveur du multiculturalisme et de la politique identitaire pour les non-Blancs, ils sont également unis dans leur opposition à la politique identitaire pour les Blancs (7).

La politique identitaire blanche peut, bien entendu, exister dans une société multiculturelle et multiraciale. Par exemple, le «suprémacisme blanc» est un ordre politique dans lequel les Blancs imposent leurs règles et leurs normes aux représentants d’autres races.

Le nationalisme blanc, cependant, n’est pas synonyme de suprémacisme blanc, car nous cherchons à remplacer les sociétés multiraciales et multiculturelles par des patries racialement et culturellement homogènes, que nous appelons «Etats ethniques». L’ethnonationalisme est un droit universel que possèdent toutes les races et tous les peuples. Le nationalisme blanc est un ethnonationalisme pour les Blancs. Le nationalisme blanc signifie simplement le droit de tous les peuples blancs à des patries souveraines. Nous reconnaissons que certains peuples ne souhaitent pas exercer ce droit. Pour d’autres, comme les petites tribus primitives, l’exercice de ce droit peut s’avérer impossible. Mais si un peuple choisit l’autodétermination nationale, personne n’a le droit de s’y opposer.

Le nationalisme blanc est souvent compris ou présenté comme un nationalisme pour des Blancs types, par opposition aux groupes ethniques blancs spécifiques. Or, il n’existe pas de Blanc type. Dans ce monde, tous les Blancs appartiennent à des groupes ethniques spécifiques. Même les sociétés melting-pot coloniales comme les États-Unis ne créent pas de nouveaux Blancs types, mais de nouvelles identités ethniques : des Américains, des Canadiens, etc. Le nationalisme blanc signifie l’autodétermination pour tous les peuples blancs, et pas seulement pour les Blancs types, tout comme sauver le rhinocéros signifie sauver toutes les sous-espèces spécifiques de rhinocéros, et pas une sorte de rhinocéros type.

Mon plaidoyer en faveur du nationalisme blanc se fonde sur la crise démographique blanche. Dans tous les pays, les Blancs ont des taux de natalité inférieurs au taux de remplacement, lesquels s’accompagnent d’un métissage et d’une immigration généralisés de populations non blanches plus fertiles. Si ces tendances ne sont pas stoppées, les Blancs perdront le contrôle de leurs territoires historiques et finiront par cesser d’exister en tant que race distincte.

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Vous pouvez acheter le Vers un Nouveau Nationalisme de Greg Johnson ici [4].

Toutes les principales causes d’extinction biologique s’appliquent aux Blancs aujourd’hui, et comme ces causes d’extinction résultent de mesures politiques, il est légitime de parler non seulement d’extinction des Blancs, mais aussi de génocide des Blancs. Ce sont les thèmes des chapitres 2 et 3 sur «L’extinction des Blancs» et «Le génocide des Blancs».

Pour mettre fin au génocide blanc, nous devons changer les politiques qui le favorisent. Nous devons remplacer nos dirigeants avant qu’ils ne nous remplacent. Ensuite, nous devons créer des patries blanches au moyen de politiques natalistes, afin que notre race, dans toute sa diversité génétique et culturelle, puisse survivre et s’épanouir de nouveau. En bref, nous avons besoin du nationalisme blanc. C’est le sujet du chapitre 4, «Stopper le génocide blanc».

L’extinction des Blancs est, bien sûr, un danger à long terme. Mais de nombreuses horreurs nous attendent dans un avenir proche si le déclin démographique des Blancs n’est pas stoppé. C’est le sujet du chapitre 5, «À court terme».

Pour créer ou restaurer des Etats ethniques blancs, les différents groupes partageant les mêmes territoires doivent se séparer. Pour ce faire, il faut déplacer les frontières et les populations. Dans le chapitre 6, «Rétablir des patries blanches», je soutiens que le processus de séparation raciale – que nos ennemis qualifient de «nettoyage ethnique» – n’a pas besoin d’être rapide, violent ou inhumain.

Dans le chapitre 7, «L’État ethnique», je clarifie le concept d’ethnonationalisme et j’envisage une alternative ethnonationaliste à la mondialisation.

Dans la deuxième partie, «Concepts de base», je clarifie cinq idées fondamentales. Le chapitre 8, «La blanchitude», traite des objections à l’idée même de blanchitude.

Le chapitre 9, «Le suprémacisme», traite de la distinction entre le nationalisme blanc et le suprémacisme blanc. Le chapitre 10, «Qu’est-ce qui ne va pas avec la diversité?», explique pourquoi la diversité est un problème pour toute société. En effet, je soutiens que même si les Blancs n’étaient pas menacés d’extinction, les problèmes liés à la diversité constitueraient toujours un argument en faveur de l’ethnonationalisme. Le contraire de la diversité étant l’«homogénéité», j’explique au chapitre 11 ce que les nationalistes blancs entendent par ce terme. Enfin, dans le chapitre 12, «Utopie Blanche», j’aborde la question de l’utopisme : Qui, des nationalistes blancs ou des multiculturalistes, est coupable d’entretenir des chimères politiques utopiques ?

Dans la troisième partie, «Construire un mouvement», je décris les caractéristiques du mouvement culturel et politique nécessaire pour faire du nationalisme blanc une réalité. Dans le chapitre 13, «Politique, métapolitique et hégémonie», je précise à quoi pourrait ressembler la victoire de notre mouvement et comment y parvenir. Le chapitre 14, «Une éthique de vainqueurs», énonce quelques règles simples qui permettront au mouvement nationaliste blanc de devenir aussi puissant et convaincant que possible.

Dans le chapitre 15, «La pertinence de l’Ancienne Droite», j’explique pourquoi les nationalistes blancs doivent prendre leurs distances avec le national-socialisme, le fascisme et les mouvements politiques similaires auxquels nos ennemis – et nombre de nos amis – tentent constamment de nous associer. Enfin, dans le chapitre 16, «Le nationalisme blanc est inévitable», je termine sur les raisons d’être optimistes pour notre cause.

Je pense que ce livre a quelque chose à offrir aux patriotes blancs de toutes les nations. Mais le fait que je sois un Américain influence inévitablement mon point de vue, en particulier dans la troisième partie. Je pense que notre mouvement doit mettre l’accent sur la «métapolitique», c’est-à-dire sur la création des conditions nécessaires au succès politique, partout où ces conditions n’existent pas. Mais là où ces conditions existent, par exemple dans des pays comme l’Italie, la Pologne et la Hongrie, les partis ethnonationalistes et populistes devraient se concentrer sur la conquête du pouvoir politique. Mais aux États-Unis et dans le reste de l’anglosphère, ainsi que dans la plupart des pays d’Europe du Nord et de l’Ouest, les conditions métapolitiques ne sont pas encore réunies. L’objectif de ce livre, qui est un essai de métapolitique, est de contribuer à changer cela.
La plus grande difficulté que j’ai rencontrée en écrivant ce manifeste fut l’impression de me répéter. La plupart des idées – et un grand nombre de mots – contenues dans ce livre seront familières aux lecteurs de mes cinq livres précédents, de mon nouveau livre «Vers un nouveau nationalisme» (8) (que je considère comme un complément au présent manifeste), et de divers écrits publiés en ligne mais non rassemblés en un recueil.

Mais je préfère considérer mes ouvrages antérieurs comme une répétition générale de ce manifeste. Le but de ce livre n’est pas de proposer des idées originales, mais d’offrir une synthèse claire, concise et convaincante des arguments que j’ai développés depuis plus d’une décennie.

Notes de Le Fauconnier

(1): Terrifiante perspective évoquée par le politologue américain Samuel Hutington (1927-2008), dans un livre intitulé Qui sommes-nous? Identité nationale et choc des cultures (Editions Odile Jacob, 2004, 400 pages), qui est la suite de son best-seller Le Choc des civilisations (Odile Jacob, Paris, 1997, 402 pages).

L’ouvrage de Hutington est également cité par Dominique Venner en page 366 de son Siècle de 1914 (Editions Pygmalion, Paris, 2006, 409 pages):  «Dans un autre livre (Qui sommes-nous? Odile Jacob, Paris, 2004), Samuel Hutington pose la question de l’avenir de l’identité américaine, de la culture anglo-protestante menacée par l’ampleur de l’immigration mexicaine. La nouveauté par rapport aux vagues antérieures d’immigration venues d’Europe tient au fait que celle-là ne se fond pas dans le melting-pot. Hutington sait qu’à l’horizon 2040, les Blancs d’origine européenne pourraient n’être plus qu’une minorité. Il observe par ailleurs l’inquiétude de la «dénationalisation»

des élites de son pays, au profit de la mondialisation, un phénomène qui affecte également l’Europe.»

(2): Sur la catastrophe politique de l’Afrique du sud post-apartheid, le lecteur francophone pourra se reporter au livre du journaliste Jean-Claude Rolinat: République sud-africaine: la faillite de Mandela, Editions Les Bouquins de Synthèse Nationale, janvier 2014, 170 pages. Disponinle sur le site internet des Editions de Synthèse Nationale: https://synthese-editions.com/produit/la-faillite-de-mandela/ [5]  Malheureusement, le livre est épuisé et une réédition ne semble pas être encore à l’ordre du jour.

Vous pouvez aussi visionner le documentaire Farmlands, réalisé en 2018 par la journaliste canadienne, gravitant dans la galaxie de l’Alt-Right, Laura Southern. Le documentaire traite des meurtre des fermiers blancs en Afrique du Sud. Depuis sa publication sur YouTube [6], il a été vu 2,7 millions de fois. Il est disponible (sous-titres disponibles en 26 langues, dont le français):

FARMLANDS (2018) | Official DocumentaryFARMLANDS (2018) | Official Documentary

Il en existe bien d’autres, tout aussi poignants:

– «White farm murders in South Africa – Race hate, politics or greed? | Foreign Correspondent» de la chaîne de télévision publique australienne ABC (31 juillet 2018).

White farm murders in South Africa - Race hate, politics or greed? | Foreign CorrespondentWhite farm murders in South Africa – Race hate, politics or greed? | Foreign Correspondent

-Suivre le quotidien d’un fermier Boer sur X/Twitter: https://twitter.com/twatterbaas [7]

Depuis la fin de l’apartheid, près de 4000 fermiers blancs ont été assassinés. Le Witkruis Monument a été érigé en leur mémoire à partir de 2004. Depuis cette date, il ne se cesse hélas, de s’agrandir.

https://en.wikipedia.org/wiki/Witkruis_Monument [8]

La seule option crédible pour la survie desAfrikaners réside en la constitution d’un Volkstaat blanc dont la ville d’Orania est la pierre fondatrice. Pour en savoir plus sur l’histoire d’Orania et les enseignements que les nationalistes blancs français et francophones doivent en tirer, se reporter au livre d’Arthur Kemp: Bâtir le Foyer Blanc. Une stratégie de survie pour les Européens devant le flot montant des peuples de couleur, Akribeia, 2014, 125 pages, 15 euros. L’ouvrage est préfacé par Philippe Baillet, traducteur français du philosophe italien Julius Evola (1898-1974).

(3): Je recommande les articles du webzine Atlantico, qui documente les actions de l’État français

en vue de faire chuter la natalité des Gaulois.

Exemple: article du 18 novembre 2023 sur les conséquences désastreuse de la réforme sur les allocations familiales de 2014 (Mandat présidentiel de François Hollande, 2012-2017 membre du Parti Socialiste).

La réforme des allocations familiales de 2014 a fait chuter la natalité française de près de… 40% | Atlantico.fr [9]

Cette politique néfaste est actuellement poursuivie durant le second mandat d’Emmanuel Macron (2022-2027):

https://atlantico.fr/article/decryptage/la-famille-grande-oubliee-du-plf-2023-bruno-retailleau-reallocation-article-10-conge-maternite-indemnites-journalieres-politiques-familiales-natalite-projet-de-loi-de-finance-grande-oubliee-marc-de-basquiat [10]

(4): Lisez notamment le très beau livre d’Anne Brassié et de Stéphanie Bignon, préfacé par Yves Meaudre: Cessez de nous libérer! [11], Versailles, Editions Via Romana, 2014, 168 pages.

(5): Sur ce sujet, lisez sur Counter-Currents:

-Auteur inconnu, «Le métissage racial: la moralité de la mort [12]» (2020, article paru pour la première fois en 1997 dans le revue National Vanguard, éditée par feu William L. Pierce (1933-2002)).

-Richard Houck: «The War against Whites in Advertising [13]», 23 Mars 2018.

Du même auteur:

– «The War against Whites in Advertising, a Follow-up [14]», 9 avril 2018.

– «The War against White Women: How Feminism & Diversity are Harming Them [15]», 11 septembre 2018.

(6): Cf. deux livres du haut-fonctionnaire Jean-Yves Le Gallou, édités chez Via Romana:

Immigration: la catastrophe. Que faire? [16](2016).

– (avec la fondation Polémia) L’invasion de l’Europe: les chiffres du Grand Remplacement [17] (2019).

(7): C’est l’occasion pour moi de souligner que l’édition française du Manifeste Nationaliste Blanc (White Revolution Books, 2021, 180 pages) contient une erreur typographique au niveau de cette phrase, écrite en page 12: «(…) ils sont également unis dans leur opposition à la politique identitaire en faveur des non-Blancs.»,  au lieu de «(…) ils sont également unis dans leur opposition à la politique identitaire en faveur des Blancs

(8): Livre récemment traduit en français, édité par White Revolution Books et disponible pour le prix de 20 euros (+5 ou 8 euros de frais de port) auprès des éditions Akribeia [4].