Génocide blanc

RaceMixing [1]2,558 words

English original here [2]

Les Nationalistes Blancs sont unis dans la croyance que notre race est menacée de simple extinction biologique. Cela est souvent rejeté comme alarmiste, mais, comme je l’ai montré [3], on peut présenter une argumentation très simple et très convaincante pour montrer que les Blancs finiront par s’éteindre si les tendances actuelles continuent. Le but du Nationalisme Blanc est d’interrompre ces tendances.

Certains Nationalistes Blancs feront un pas de plus, affirmant que notre race est conduite intentionnellement vers l’extinction, c’est-à-dire que les Blancs sont les cibles d’un génocide [4]. Cette affirmation aussi est rejetée non seulement comme alarmiste mais aussi démente. Pourtant, je dirai que le génocide blanc [= des Blancs] est réellement en cours. Il y a des gens dans des positions de pouvoir qui promeuvent des politiques dont ils savent qu’elles conduiront à l’extinction de la race blanche. A moins, bien sûr, que nous ne les stoppions.

Pour établir la thèse du génocide blanc, nous devons faire trois choses. Premièrement, nous devons définir le génocide d’une manière qui soit cohérente avec un lent processus conduisant finalement à l’extinction. Deuxièmement, nous devons montrer que l’extinction blanche n’est pas une mystérieuse force de la nature mais le résultat de choix et d’actions humains. Troisièmement, nous devons montrer que l’extinction blanche n’est pas seulement une conséquence imprévue et non-intentionnelle de ces politiques, mais plutôt leur effet délibéré et intentionnel.

Il semble contre-intuitif d’affirmer que les Blancs sont les victimes d’un génocide. Les Blancs ne sont pas en train d’être massacrés par millions, ce qui est l’image que la plupart des gens ont du génocide. Selon toutes apparences, notre race est puissante, prospère, et nombreuse. Mais les défenseurs de la thèse du Génocide Blanc indiquent la Convention des Nations Unies sur la Prévention et la Punition du Crime de Génocide [5], qui dans l’Article II définit le génocide comme

« … n’importe lequel des actes suivants commis avec l’intention de détruire, en totalité ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme :

(a) Tuer les membres du groupe ;

(b) Causer de graves dommages corporels ou mentaux aux membres du groupe ;

(c) Délibérément infliger au groupe des conditions de vie calculées pour provoquer sa destruction physique en totalité ou en partie ;

(d) Imposer des mesures visant à empêcher les naissances à l’intérieur du groupe ; … »

Cette définition du génocide est beaucoup plus large que le meurtre de masse complet. En particulier, les points (c) et (d) sont cohérents avec le fait de caractériser des politiques qui détruisent un groupe lentement, sur de longues périodes de temps, comme étant également génocidaires. Donc le génocide se présente sous deux formes, que nous pouvons qualifier de rapide, le génocide violent et le génocide lent et froid. L’extinction blanche tombe dans la dernière catégorie.

L’extinction blanche signifie que dans chaque nation blanche, les taux de reproduction sont tombés au-dessous du remplacement, ce qui signifie qu’il y aura plus de décès de Blancs que de naissances, jusqu’à ce que les Blancs cessent d’exister en tant que race distincte.

Il y a cinq causes principales d’extinction blanche. Je suis sûr que d’autres facteurs pourraient être ajoutés à cette liste, mais si seulement ces cinq problèmes étaient traités, je n’aurais plus aucune crainte pour le futur de ma race.

Ces facteurs ne sont pas des forces de la nature aveugles, comme un astéroïde heurtant la terre. Ils ont tous été créés par des êtres humains. Certains d’entre eux, comme le féminisme, la pilule contraceptive, l’avortement légalisé, et le retournement de la ségrégation raciale, des restrictions à l’immigration, et des interdictions du métissage, sont très récents. Ils ont été ourdis dans les esprits d’intellectuels, d’artistes, de scientifiques, de politiciens, d’éducateurs, et de publicistes. Ils ont été rendus réels en changeant les croyances et les valeurs des gens, et en modifiant les lois et les institutions qui nous gouvernent.

Mais toutes ces choses pourraient être changées. On pourrait enseigner aux gens de valoriser la vie de famille plutôt que l’égoïsme, l’hédonisme, et le carriérisme ; le féminisme pourrait être découragé ; l’accès au contrôle des naissances et à l’avortement pourrait être restreint ; les lois pourraient être changées pour rendre la création d’une famille abordable ; la séparation raciale, la restriction de l’immigration, et le nationalisme économique pourraient être remis en vigueur ; le métissage pourrait être proscrit. De fait, les Nationalistes Blancs soutiennent précisément de telles politiques pour stopper l’extinction blanche.

Mais pour établir la thèse du génocide blanc, nous devons montrer que l’extinction blanche est le résultat intentionnel des politiques auxquelles nous nous opposons. Les trois premières causes de l’extinction blanche sont simplement des produits de la recherche de la liberté individuelle. Les deux dernières sont des produits de la liberté individuelle et de l’égalitarisme racial. Donc n’est-il pas possible que l’extinction blanche soit simplement la conséquence non-intentionnelle de l’individualisme et de l’égalitarisme racial ?

Bien sûr c’est possible, et dans ce nombreux cas c’est vrai. La majorité des gens qui défendent l’individualisme et l’égalitarisme racial sont simplement inconscients que ces valeurs promeuvent l’extinction en cours de la race blanche. Notre travail est de les informer.

Mais quand ces gens sont informés, leurs réactions se répartissent en plusieurs catégories. Certains refuseront simplement d’accepter qu’un génocide blanc est en cours. Parmi ceux qui reconnaissent que le génocide blanc est actuellement en cours, certains souhaiteront le stopper, et d’autres ne le souhaiteront pas. Parmi ces derniers, certains s’en ficheront simplement, et d’autres se réjouiront réellement du processus en cours.

Il y a cependant une différence entre les gens qui pourraient approuver les politiques promouvant le génocide blanc après les faits, et ceux qui pourraient concevoir et exécuter de telles politiques avant les faits et avec une pleine conscience de leurs conséquences. Existe-t-il des preuves que de tels gens existent ?

D’abord, le fardeau de la preuve doit être déplacé. Car est-ce vraiment possible que les dirigeants de douzaines de nations blanches aient adopté des politiques similaires antithétiques à la survie à long terme de leurs propres peuples, et qu’aucun d’entre eux ne savait ce qu’il faisait ? Oui, c’est à la mode de se moquer des politiciens au motif qu’ils pensent seulement en termes des prochaines élections. Mais ce n’est pas vraiment exact. Les politiciens sont, par exemple, plutôt clairvoyants en ce qui concerne leurs ambitions et plans de carrière personnels.

Au-delà de cela, nos élites dirigeantes ne sont pas simplement composées de politiciens démocratiques. De plus, les élites dirigeantes dans chaque forme de société sont renommées pour leur capacité à penser et à planifier à l’avance. Les agences de renseignement gouvernementales et les think-tanks privés sont capables de générer des prédictions à long terme basées sur les tendances actuelles, et de planifier en conséquence. Donc ce n’est simplement pas plausible que nos dirigeants soient inconscients de l’extinction blanche. Soit ils s’en fichent, soit ils veulent qu’elle se produise.

Ensuite, il n’est plus contesté que les Juifs sont massivement surreprésentés parmi les élites occidentales dans la politique [6], les média [7]s, les affaires [8], les milieux universitaires [9], et les  professions libérales [10]. De plus, les Juifs sont parmi les principaux promoteurs des tendances conduisant au génocide blanc, par exemple : l’immigration non-blanche, l’intégration raciale, le métissage, le féminisme, et la libération sexuelle. Bien sûr toute tentative de blâmer les Juifs pour le génocide blanc peut être détournée en ergotage sur la causalité historique. D’un point de vue pratique, cependant, il est plus important – et moins sujet à controverse – de remarquer que la communauté juive organisée est le pivot de l’opposition aux tentatives nationalistes, particulièrement aux tentatives nationalistes raciales, pour rectifier ces problèmes croissants. Comment nous en sommes arrivés là, c’est finalement moins important de savoir comment nous pouvons nous sauver. Et les Juifs bloquent la sortie.

Maintenant, est-ce vraiment plausible que les dirigeants de la communauté juive « ne savent pas ce qu’ils font » ? Les Juifs, après tout, sont le peuple le plus conscient des conditions qui promeuvent ou empêchent le génocide. Ainsi les Juifs soutiennent l’existence d’un Etat juif, Israël, comme refuge contre le génocide. Et pourtant ils s’opposent à toute tentative pour préserver des patries blanches pour les Blancs. Israël est pour les Juifs, mais la Pologne, la Suède, l’Allemagne, la France et ainsi de suite sont pour tout le monde. Les Juifs voient les mariages mixtes comme une menace pour la survie juive, mais ils encouragent le métissage pour les autres groupes et s’opposent à quiconque voudrait le proscrire. Les Juifs reconnaissent qu’un fort sens de l’identité juive, incluant la fierté de leur histoire et de leurs accomplissements, est nécessaire pour la survie juive, mais ils promeuvent le multiculturalisme et la culpabilité blanche pour le reste d’entre nous.

Maintenant, tous les Juifs ne promeuvent pas des idées destructrices seulement pour les goyim tout en s’en exemptant. Les Juifs peuvent promouvoir le mariage mixte pour les autres, mais ils le pratiquent aussi et à des taux supérieurs à ceux des autres groupes [11]. Les Juifs promeuvent le féminisme pour les autres, mais les principales victimes du féminisme juif sont les hommes juifs qui épousent ces harpies, pendant que d’autres hommes juifs se marient en-dehors de la communauté pour les éviter. Les Juifs promeuvent une éthique d’égoïsme, d’individualisme, et de matérialisme pour les autres. Mais ils la pratiquent aussi, et c’est une des raisons pour lesquelles les Juifs ont des taux de reproduction très faibles [12].

Bref, beaucoup de Juifs ne prêchent pas seulement le nihilisme, ils le pratiquent aussi. Malheureusement, parce que les Juifs sont très influents, ils ont le pouvoir de nous entraîner dans leur sillage. Ils sont l’avant-garde du nihilisme. Ce ne sont pas des hypocrites, prêchant le nihilisme pour toi mais pas pour moi. Mais cela les rend encore plus mauvais, parce que l’hypocrisie est l’hommage que le vice prête à la vertu, et ils ne se soucient même pas de lui prêter un hommage de pure forme.

Mais pendant que certains Juifs nous conduisent vers l’extinction, d’autres nous aiguillonnent par derrière et n’ont pas l’intention de partager notre sort. Ceux-ci sont les Juifs qui font l’éloge du multiculturalisme, de l’ouverture des frontières, et du métissage pour nous, mais qui préfèrent faire un autre choix parce qu’ils savent que de telles politiques conduiraient à leur extinction.

Ils ne sont pas seulement « incohérents » concernant les principes. Ils sont parfaitement cohérents avec leur véritable principe de leur propre intérêt collectif. Ils ne soutiennent pas des « doubles standards » [= deux poids, deux mesures], parce que leur unique standard est leur propre intérêt collectif. Ces Juifs ont une philosophie du vivre et laisser mourir. Ils cherchent à profiter de notre destruction en tant que peuple, et ils ne promeuvent pas seulement notre déclin mais répriment activement notre résistance à celui-ci.

A coté des Juifs qui nous poussent et qui nous tirent activement vers notre destruction, il y en a sûrement quelques-uns qui ne font ni l’un ni l’autre. Certains manquent simplement du pouvoir de nous faire du tort, même s’ils pourraient le vouloir. D’autres sont entièrement ignorants de ce que leurs dirigeants sont en train de faire. Mais une catégorie brille par sa quasi-absence : les Juifs justes, c’est-à-dire les Juifs qui savent que le génocide blanc est en cours, qui comprennent le rôle de leur peuple là-dedans, et qui ont averti les Blancs et agi pour le stopper. Ce silence relatif est en fait plus accablant que le vacarme incessant de haine anti-Blancs émanant de la communauté juive.

Bref, nous savons que le génocide blanc est en cours, parce que les Juifs en haut lieux, ayant le pouvoir de promouvoir ou d’empêcher le génocide blanc, ne peuvent pas être inconscients de ce qui est en train de se passer, et pourtant ils ne font rien pour le stopper et font tout pour nous empêcher de le stopper.

Miscegenationalism [13]Le troisième et le plus convainquant élément de preuve pour le génocide blanc est que des gens disent réellement qu’ils le soutiennent. Les seules personnes qui disent ouvertement que les Blancs devraient être exterminés sont des cinglés marginaux, comme le Dr. Kamau Kambon [14], un ancien professeur d’Etudes Noires et le propriétaire de la maison d’édition Blacknificent Books, qui déclara : « Nous devons exterminer les Blancs [et les effacer] de la face de la planète ».

Les avocats plus subtils du génocide blanc, comme Noel Ignatiev, un docteur juif de Harvard et directeur du journal Race Traitor (sous-titré Treason to Whiteness is Loyalty to Humanity), parle de « déconstruire » le « concept » de blancheur [15], ce qui sonne comme un jeu de langage inoffensif, jusqu’à ce que vous compreniez qu’ils veulent dire que la race est seulement une construction sociale [16].

Mais les défenseurs les plus communs du génocide blanc promeuvent simplement le mélange racial comme une solution au racisme. Ils sont tacitement d’accord avec les Nationalistes Blancs sur le fait que la diversité raciale à l’intérieur du même système conduit au conflit, donc pour éliminer le conflit, ils promeuvent le métissage pour créer une race bâtarde homogène. Le plus influent défenseur de ce que j’appelle le « métisso-nationalisme » [miscegenationalism] était le pionnier de l’unité européenne, le comte Richard Coudenhove-Kalergi [17], qui était lui-même de race mélangée (son père était blanc, sa mère japonaise). Dans son livre Practical Idealism, il déclara :

« L’homme du futur sera de race mélangée. Les races et les classes d’aujourd’hui disparaîtront graduellement du fait de la disparition de l’espace, du temps, et des préjugés. La race eurasienne-négroïde du futur, similaire dans son apparence aux anciens Egyptiens, remplacera la diversité des peuples par une diversité d’individus. »

Assez curieusement, Coudenhove-Kalergi n’envisageait pas la disparition du peuple juif mais s’attendait au contraire à ce qu’ils deviennent l’élite dirigeante d’un monde métissé (lui-même n’était pas juif).

Pourquoi est-ce important d’établir que l’extinction blanche est en réalité un génocide blanc ? Il est facile de comprendre que les gens pourraient reculer devant une telle vérité, car elle implique que les Blancs ne sont pas seulement les victimes d’une terrible erreur, ou d’un « système » sociopolitique impersonnel, ou d’une destinée cosmique ou historique inhumaine, mais d’une méchanceté consciente – d’une hostilité de principe – de la part d’un mal diabolique. Il est difficile d’accepter l’existence d’un tel mal, et encore moins qu’il veut notre annihilation.

Mais si nous voulons nous sauver nous-mêmes, nous devons comprendre les forces qui sont coalisées contre nous. Nous devons savoir que nos tentatives pour élever la conscience des gens et gagner leur allégeance se heurteront finalement non seulement à l’ignorance et à l’indifférence mais aussi à une méchanceté dure comme du diamant. Finalement nous nous ferons tous les amis que nous pourrons, nous persuaderons tous les gens que nous pouvons persuader, et seuls les ennemis resteront – des ennemis qui ne peuvent pas être convertis mais qui doivent simplement être vaincus.