Le métissage racial: la moralité de la mort

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L’histoire nous a enseigné que les nécessités les plus fondamentales pour l’existence d’une société blanche saine et en progrès sont les qualités raciales de ses membres, et un code moral ou un système de valeurs qui complète et valorise ces qualités.

En définitive, bien sûr, les premières sont beaucoup plus fondamentales que les dernières. Seule une race saine peut donner naissance à une saine éthique raciale. Sans une entité biologique vivante, il n’y a rien et il ne peut rien y avoir. Mais aussi longtemps que la race survit — aussi longtemps que le potentiel pour une souveraineté raciale effective existe — les valeurs étrangères et spirituellement corrosives ne seront pas fatales à elles seules.

Les ennemis de notre race ont évidemment compris cette vérité depuis longtemps. C’est pourquoi, il y a un demi-siècle, ils entreprirent la guerre la plus vicieuse que le monde ait jamais connu, pour détruire l’idée basée sur cette vérité raciale. C’est pourquoi ils organisèrent plus tard la submersion systématique de la civilisation blanche par des millions d’immigrants étrangers. Et c’est pourquoi ils ont utilisé leur contrôle des médias d’information et de loisirs, du gouvernement, et des écoles et des universités pour mettre en oeuvre une campagne massive de propagande afin d’encourager le mélange racial entre les Blancs et les non-Blancs.

Bien sûr, le mélange des races n’est pas un événement naturel. L’évolution aurait été impossible si chaque progrès de l’évolution avait été court-circuité par des accouplements inter-espèces. Le mouvement de la Nature vers des formes de vie plus hautes et plus complexes a nécessité que les sous-espèces restent génétiquement isolées jusqu’à ce que toute possibilité de mélange génétique ait été supprimée. Même si l’isolation des différentes espèces humaines entre elles n’a pas été d’une durée suffisante pour assurer l’impossibilité du mélange génétique, elle a assuré l’existence de barrières psychologiques profondément enracinées qui, dans des conditions naturelles, empêchent le mélange racial.

Lorsque ces conditions naturelles sont bouleversées et transformées, cependant, les activités sexuelles contre-nature, comme l’homosexualité et le mélange des races, en sont le résultat. De même que des taureaux peuvent s’accoupler avec des juments, et que des Saint-Bernard ont essayé de s’accoupler avec des Chihuahuas quand ils étaient enfermés dans un espace clos et privés de leur environnement naturel, de même les Blancs ont copulé avec les Noirs dans des circonstances similaires. C’est le bouleversement de l’environnement naturel de l’homme blanc et la déshumanisation de sa société et de sa culture, par conséquent, que les Juifs et leurs collaborateurs des médias ont logiquement provoqué, dans le but d’encourager le mélange racial.

Cette campagne a commencé au moins depuis 1967, alors que 16 Etats américains avaient encore des lois contre le mélange racial. Cette année-là, le Directeur-producteur juif Stanley Kramer produisit le film «Devine qui vient dîner», avec Katherine Hepburn et Spencer Tracy dans le rôle d’un couple dont la fille commence une liaison avec un Noir. Le but de ce film était clair et a été reconnu depuis. Il fut présenté comme un «film éducatif» pour les Américains blancs: après avoir vu leur héros à l’écran, Tracy et Hepburn, accepter de donner leur fille à un homme noir, ils auraient moins de scrupules à faire la même chose.

Depuis cette époque les Blancs n’ont pas seulement été encouragés à s’accoupler avec les Noirs, les Hispaniques, et les Asiatiques, ils ont été soumis à toutes les méthodes pavloviennes imaginables de chantage et d’intimidation émotionnelle pour les amener à accepter cela. Avec une intensité toujours plus forte, le message a été répandu, que le mélange des races n’est pas seulement un choix personnel, mais qu’il est le choix dont la société a besoin. En particulier, le but principal du mouvement «Politiquement Correct», dans toutes ses actions, a été de troubler les Blancs hétérosexuels et de faire en sorte qu’ils se sentent coupables d’être Blancs; de les encourager à se «repentir» en mettant fin à l’existence de leur propre race.

Le film hollywoodien «Le Dernier des Mohicans», qui sortit en 1992, avec l’acteur juif Daniel Day-Lewis dans le principal rôle, est un exemple typique de la manière dont les médias juifs ont mené cette campagne. Dans le film, les hommes blancs sont dépeints comme faibles, couards, déloyaux et barbares, et méritant comme de juste d’être massacrés par les Indiens nobles, dignes, courageux et sexy. Oui, et pour être sûr que les femmes blanches n’oublient pas le message — qui est que les hommes blancs sont indignes — la principale femme blanche dans le film se débarrasse de son méprisable fiancé, officier britannique, et s’éloigne avec le héros Mohican sur fond de coucher de soleil. Le message implicite du film est clair: le mélange racial n’est pas seulement naturel et compréhensible, il est aussi l’action la plus valable sur le plan moral.

Les zoologistes et les anthropologues ont identifié deux types de contraintes qui assurent que dans des conditions naturelles, les groupes d’animaux — incluant les groupes humains — qui pourraient s’accoupler entre eux, se retiennent de le faire. D’une part, il existe des impulsions biologiques innées, basées sur des signaux physiques, tels que l’odeur, la couleur, et l’identification visuelle. Ensuite il y a l’imprégnation et l’accoutumance, qui ont lieu pendant les premières semaines et les premiers mois de l’enfance, et qui sont basées sur la relation intime entre la mère et l’enfant. Cela tend à assurer que quand l’accouplement sera tenté, il aura lieu uniquement avec des individus qui ressemblent aux parents et aux semblables.

Il n’est pas surprenant que les Juifs aient tout fait pour corrompre et neutraliser cette dernière tendance chez les Blancs, particulièrement sous l’apparence de «distractions pour les enfants». En 1994, par exemple, le compagnie Walt Disney a sorti une réadaptation de son film de 1967, «Le Livre de la Jungle». C’était la première production pour enfants de Walt Disney depuis que la clique juive dirigée par Michael Eisner en ait pris le contrôle, et comme on pouvait le prévoir, ce fut une complète déformation, à la fois de l’histoire de Kipling et du dessin animé de Disney en 1967. Avec une ligne directrice remarquablement similaire à celle du «Dernier des Mohicans», l’héroïne blanche rejette son fiancé, officier britannique, au profit d’un aventurier indien dont le rôle est tenu par un acteur chinois.

De manière significative, la décision de la fille blanche est décrite comme étant basée sur des considérations morales de bien et de mal, sur sa découverte que la société blanche et les hommes blancs en particulier, sont irrémédiablement mauvais. Eisner a développé la même idée dans les deux dessins animés suivants de Disney, «Pocahontas et «Le Bossu de Notre-Dame», qui sont similaires à la fois par leur propagande pernicieuse en faveur du mélange racial, et par leur irrespect flagrant pour les histoires d’origine. Une telle ressemblance dans la forme et le contenu montre que c’est le résultat d’une intention, plutôt qu’une coïncidence.

Dans tous les cas, la véritable motivation de Michael Eisner, en produisant de tels films, n’est pas le plus important. Ce qui est réellement important, c’est l’effet réel de ses efforts. Les jeunes enfants ont été influencés, à un âge où ils sont les plus ouverts à l’imprégnation comportementale, avec un message selon lequel le mélange des races est bon et moralement correct, et que le fait d’être un Blanc est mauvais et moralement incorrect.

De même que dans le passé les jeunes Blancs ont été incités par un dogme religieux étranger à se sentir coupables au sujet de leurs besoins sexuels naturels, à se sentir souillés du fait de ces désirs, et de rechercher le «salut» en les déniant, de même aujourd’hui ils sont endoctrinés avec des idées culpabilisantes à propos du fait d’être Blancs. Et la solution qui leur est proposée pour surmonter ces sentiments artificiels de culpabilité et de haine de soi, est de plus en plus claire: procréer avec un partenaire non-Blanc et avoir une descendance de métis. Le suicide racial leur est ainsi insidieusement présenté comme la seule manière de surmonter leur identité blanche et la souffrance et la honte qui l’accompagnent.

Véritablement, le mélange racial a rapidement émergé comme la religion officielle du Nouvel Ordre Mondial et de ses partisans. Propagée avec une ferveur de plus en plus hystérique, elle est devenue la nouvelle morale d’esclaves universelle, qui englobe et transcende les religions établies comme le christianisme. En mars 1994, par exemple, le magazine de l’évangéliste Billy Graham Le Christianisme aujourd’hui exhortait les lecteurs à se réjouir de l’existence des mariages mixtes et des enfants métis, et à faire tout ce qui est possible pour qu’ils soient pleinement acceptés par la société. Il était même dit que c’est un domaine où les médias sont moralement au-dessus des Eglises.

Cette propagation de l’idée du mélange racial comme une croisade idéologique a fait aussi une entrée significative dans le système d’éducation. Lorsque récemment un directeur d’école de Caroline du Nord a mis en garde une étudiante blanche et un étudiant noir contre les dangers des fréquentations interraciales, il a été immédiatement suspendu de son poste et sanctionné. Il ne fut pas autorisé à retourner au travail avant qu’il ait été «rééduqué», après avoir confessé ses «péchés» et s’en être repenti dans le cadre d’un programme de formation et de sensibilisation.

La nature idéologique de cette campagne pour promouvoir le mélange des races fut aussi mise en évidence dans un article de l’édition d’août 1996 du Maryland Family Magazine, appartenant au groupe Times Mirror. Ecrit par Helen Armiger, présentée comme une postulante au poste de pasteur dans l’Eglise Méthodiste Unifiée, l’article «Comment élever un enfant sans préjugés» argue que la société est tenue d’enseigner à sa jeunesse à vivre harmonieusement et à s’épanouir dans le cadre d’un environnement global. Citant en exemple un dirigeant de l’Education du Maryland, Helen Arminger soulignait qu’il existe une obligation morale de fournir aux enfants l’opportunité de lier des relations avec des gens de différentes races et de différentes orientations sexuelles sans aucune sorte de contrainte parentale ou sociale.

Derrière les slogans séduisants qui présentent le mélange des races comme un impératif moral et comme bénéfique, la motivation de leurs promoteurs est claire: l’intention n’est pas de «sauver» les Blancs, ni de leur accorder la «rédemption», mais de les détruire complètement. La source dont provient réellement une telle «moralité» est une mentalité totalement subjective, une mentalité étrangère qui recherche l’extinction biologique de la race blanche et qui, de son propre point de vue, voit une telle extinction comme une chose bonne et juste. Certains de ses propagandistes sont beaucoup plus honnêtes que d’autres en admettant cette réalité. Un journal, «Le Traître à sa race», publié par Noël Ignatiev et sous-titré «la trahison envers la race blanche est de la loyauté envers l’Humanité», expose ouvertement sa conviction que la seule manière de résoudre les problèmes sociaux de l’époque est de faire disparaître la race blanche. Son objectif avoué n’est pas le «multiculturalisme» ni le «multiracialisme», mais l’unité biologique et la disparition des races.

Une telle pensée n’est pas confinée aux marges de la politique. Le 29 septembre 1996, le New York Times Magazine a publié un article de l’écrivain juif Stanley Crouch (auteur du livre La question de la peau de l’Amérique: l’illusion de la race). Intitulé «La race est finie», l’article de Crouch prédisait avec confiance que dans un siècle, des mélanges raciaux sans précédent — ou bien une large variété de mélanges — assureront que le simple concept de race deviendra sans objet. Les Américains du futur, argue-t-il, se retrouveront partout entourés par des gens en partie asiatiques, en partie latinos, en partie européens, en partie indiens. La diversité des types corporels, des combinaisons des traits du visage, de la texture des cheveux, de la couleur des yeux, et de ce qu’on appelle maintenant des «teintes de peau inattendues», deviendront bien plus habituelles parce que la paranoïa actuelle à propos des mariages mixtes sera alors devenue en grande partie une superstition du passé.

Même cet objectif déclaré, cependant, ne révèle qu’une partie du programme, parce qu’une seule race particulière sera exemptée de cette morale universelle de mélange génétique. Mais l’article du New York Times Magazine symbolise ce qu’est réellement le mouvement du Politiquement Correct. Lorsque le magazine à grand tirage Harper publie des articles recommandant des camps d’été sponsorisés par le gouvernement, pour que des jeunes filles blanches puissent rencontrer et lier des relations avec des garçons non-Blancs, il ne fait rien de «bien» pour ces filles; il encourage activement ce qui est le plus clairement mauvais pour elles. Et quand la compagnie d’assurances Prudential sponsorise une série de conférences sur le mélange des races, pour les enfants en Amérique et dans le monde, elle ne fait pas ce qui est «juste» pour ces enfants; elle fait ce qui est totalement et absolument mauvais pour eux.

Vraiment, une telle «moralité» est sans le moindre fondement moral. Elle n’est pas basée sur une loi naturelle ou biologique, et ne suit pas non plus un raisonnement rationnel ou scientifique. Cela aide à expliquer pourquoi elle éprouve quelques difficultés à atteindre ses objectifs. Indubitablement, de nombreux Blancs prêchent la cause du mélange racial, et de nombreux Blancs l’ont mis en pratique. Mais, et c’est révélateur, le nombre des seconds est encore beaucoup plus faible que celui des premiers.

Certains des Blancs qui recommandent le mélange racial sont clairement déficients sur le plan génétique, et la déficience mentale fait écho à la déficience spirituelle. La personne qui écrivait récemment à un journal local en affirmant son voeu ardent d’avoir 5% de sang noir dans son hérédité, pour pouvoir se fondre dans ce qu’il considère comme la composition raciale américaine idéale, pourrait en être un bon exemple.

De toute manière, en ce qui concerne de tels exemples, le mélange racial pourrait même être considéré comme un instrument de sélection naturelle pour expulser de telles personnes hors du patrimoine génétique blanc.

Pour la majorité des Blancs qui recommandent le mélange racial, cependant, leur sens de la justice exprimé dans leur opinion n’est rien de plus qu’une manifestation de conformisme: vouloir se sentir et apparaître à la mode.

Prenez par exemple le cas du jeune couple hollywoodien Tom Cruise et Nicole Kidman. Tous deux apparaissent comme de sains spécimens et physiquement attrayants d’humanité «aryenne». Cependant, ils ont récemment adopté un enfant noir et activement collaboré avec les médias juifs en médiatisant cela comme une action belle et noble qui a aidé la cause du «progrès» humain et social. Il n’y a rien de mauvais biologiquement dans ce couple; ils sont simplement sortis de la voie naturelle pour faire une action à la mode. Et l’enfant adopté n’est rien d’autre qu’un accessoire de mode pour afficher leur engagement symbolique en faveur du mélange racial.

En effet, il est révélateur que malgré toute leur bonne conscience à la mode, Tom Cruise et Nicole Kidman ont choisi de se marier l’un avec l’autre plutôt que de se marier avec des non-Blancs: ils ont choisi d’adopter un enfant non-Blanc plutôt que d’en faire un. Même eux, par conséquent, qu’ils en soient conscients ou non, sont la preuve que la plupart des Blancs ne mettent pas encore en pratique l’idée de mélange racial, quelle que soit l’approbation verbale qu’ils peuvent se sentir obligés d’exprimer.

Une étude récente des statistiques de mélanges raciaux, faite par l’universitaire juif Douglas J. Besherov, spécialiste de l’American Enterprise Institute, semblait donner quelque crédibilité à ces vues, bien que le rapport montrait quelques tendances inquiétantes. Cela incluait le triplement des mariages entre Blancs et Noirs depuis 1970, et une forte augmentation des mariages entre Blancs et Asiatiques ou Hispaniques. Le Bureau de Recensement Fédéral a décompté environ 150 000 mariages interraciaux dans tous le pays en 1960. En 1990, le chiffre s’est accru jusqu’à 1,5 million. En 1994 il a été estimé à plus de 3 millions.

Egalement alarmante était la statistique selon laquelle 35,4% des femmes blanches mariées à des hommes noirs disaient vouloir des enfants, une proportion plus forte que les 29% de femmes blanches mariées à des hommes blancs qui disaient vouloir des enfants. C’est le sommet d’une augmentation de 400% des naissances provenant de mariages mixtes depuis 1970, bien que toutes n’impliquaient pas un parent blanc.

De telles tendances sont évidemment inquiétantes et potentiellement catastrophiques, en annonçant à long terme l’extinction biologique de l’Amérique blanche. A court terme, cependant, du point de vue de ceux d’entre nous qui essayent d’empêcher qu’un tel cauchemar se réalise, elles fournissent au moins quelques motifs d’optimisme et des opportunités à saisir. En dépit de 30 ans de lavage de cerveau judéo-chrétien, plus de 90% des Blancs refusent de transgresser ce que Douglas J. Besherov appelle «le dernier tabou» de la société américaine.

De même, en dépit des efforts du Sénateur Howard Metzenbaum (Démocrate, Ohio — à présent à la retraite), qui introduisit en 1994 le Multiethnic Placement Act [Loi d’Adoption Multi-ethnique] au Sénat, pour tenter d’accroître les adoptions trans-raciales, il semble que la plupart des Blancs préfèrent encore adopter des bébés blancs, et que la plupart des non-Blancs préfèrent encore adopter des bébés non-Blancs. Plus encore, de telles attitudes semblent se renforcer en dépit de la tentative de l’administration Clinton de légiférer contre eux.

L’adoption du couple Cruise-Kidman, par exemple, a été condamnée par l’Association Nationale des Travailleurs Sociaux Noirs pour la raison que les adoptions trans-raciales équivalent à un génocide racial et culturel.

Indubitablement un facteur important dans cette situation a été l’augmentation des tensions qui ont accompagné l’évolution vers une société multiraciale. Comme l’identité raciale et ethnique est devenue plus importante dans la vie des gens, la conscience raciale et la solidarité grégaire intensifiées qui en résultent ont quelque peu tempéré cette tendance aux unions interraciales. Il semble clair, par exemple, que le procès O.J. Simpson a eu pour résultat utile d’intensifier la conscience raciale à la fois chez les Blancs et chez les Noirs, et de discréditer l’idée de mélange racial.

Un signe d’espoir a été le fait que Hulond Humphries, un directeur d’école supérieure blanche de Wedowee dans l’Alabama, qui avait été démis de son poste en 1994 pour avoir menacé d’annuler le programme de printemps si des couples interraciaux se formaient, a remporté récemment une élection pour le poste de superintendant des écoles.

Comme pour la question raciale en général, de nombreux Blancs — au moins pour le moment — semblent avoir en eux-mêmes deux systèmes de valeurs en conflit, concernant le mélange des races: celui qu’ils revendiquent publiquement et celui qu’ils appliquent réellement dans leurs vies privées. Alors que le premier est créé artificiellement et maintenu seulement par un conditionnement externe continuel, le second provient de l’instinct, qui est génétiquement enraciné.

Ainsi, bien que la propagande pour le mélange des races ait pu faire appel avec succès au subconscient et éviter de s’opposer aux raisonnements rationnels, elle s’est inévitablement heurtée à des réalités génétiques subconscientes qui ne sont pas facilement influencées par des tentatives étrangères de modification comportementale. En conséquence, alors qu’il a été relativement facile de répandre la maladie et la confusion spirituelle à grande échelle, il a été beaucoup plus difficile d’imposer un mélange biologique à grande échelle.

Une telle situation, cependant, ne durera pas toujours. L’histoire est remplie d’exemples de moralités artificielles et destructrices triomphant de l’ordre naturel. En dépit de ses revers, le culte du mélange des races s’est largement répandu pendant les 30 dernières années et cela va continuer. La tendance actuelle nous met en face de la réalité la plus fondamentale et la plus incontournable à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui:  la race blanche est au bord du précipice de l’extinction biologique.

Et une chose est certaine: comme les difficultés et les tensions de cette société multiraciale vont augmenter dans les années à venir, la campagne visant à nous détruire par le mélange racial va s’intensifier. Pour cette seule raison, quelle que soit la focalisation croissante sur la question raciale, la fausse moralité du mélange racial ne disparaîtra pas naturellement. Les circonstances du chaos racial seront une aide pour nous, mais seule une action organisée et radicale de notre part mènera à la reconnaissance de la nécessité vitale d’une séparation des races complète et décisive, et à la destruction finale de la moralité de la mort.

National Vanguard, no. 117 (mars-avril 1997), pages 9-12.