La conscience d’un « cuckservative »

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English original here [2]

[NDT : Le mot « Cuckservative » combine les mots « Cuck » (abréviation de cuckold : cocu) et  « Conservative » (conservateur). Il désigne ironiquement les membres du Parti Conservateur qui sont les « cocus » de la gauche. Ce mot nouveau est entré dans le vocabulaire politique américain depuis quelque temps. En français, l’équivalent serait : « cocuservateur » ou quelque chose comme ça, mais cela sonne tellement mal qu’il vaut sans doute mieux conserver le mot américain, après explication de texte.]

Aux Etats-Unis, le Parti Démocrate de centre-gauche est une coalition de libéraux blancs, de non-Blancs, de minorités sexuelles, de dissidents religieux, et d’environnementalistes, dans lequel la communauté juive organisée est le principal partenaire.

Tous ces groupes veulent un gouvernement plus grand, plus intrusif, plus prodigue pour assurer l’inclusion et la mobilité ascendante de groupes précédemment marginalisés : les femmes, les non-Blancs, les homosexuels, les transsexuels, les amateurs d’escargots, etc.

Le Parti Républicain de centre-droit est beaucoup moins divers : 90% de ses votes viennent des Blancs – disproportionnellement des Blancs mâles, conservateurs, hétérosexuels, favorables à la famille, et chrétiens. Les Démocrates sont de plus en plus le parti de la classe inférieure et des super-riches. Les Républicains sont de plus en plus le parti de la classe moyenne. Les votants républicains veulent typiquement un gouvernement plus petit, moins intrusif et fiscalement responsable qui leur laisse la liberté d’élever leur famille, produire de la richesse, et faire avancer une nation et un mode de vie que leurs ancêtres ont créés et qui leur conviennent très bien.

Les Républicains sont le parti des gens qui ont bâti et maintenu l’Amérique. Si chaque électeur démocrate tombait mort, nous perdrions 10% de nos gens les plus créatifs et 90% de nos gens les plus dingues, les plus malhonnêtes, et les plus destructeurs. Le résultat serait une société légèrement ennuyeuse mais hautement productive, ordonnée et heureuse – la Suisse à une échelle continentale.

Si chaque électeur républicain tombait mort, cependant, le pays serait fini à courte échéance, car le sale secret de la gauche est qu’ils sont des parasites de la droite. La consommation est parasite de ma production ; le vice est parasite de la vertu ; les malades sont parasites des bien-portants ; le mal est le parasite du bien. Nous pouvons vivre sans eux, mais ils ne peuvent pas vivre sans nous.

Cependant, si vous regardez les politiciens et les pontes républicains, vous penseriez que c’est le contraire qui est vrai, car ils acceptent complètement et craignent servilement l’autorité morale de la gauche. Si la gauche appelle les Républicains « racistes », ils choisissent obséquieusement un camarade de jogging noir, adoptent un enfant noir, ou avouent leur croyance en l’individualisme aveugle à la couleur. Seuls quelques Républicains répliquent vraiment à la gauche, mais la réponse la plus énergique que vous trouverez est « C’est vous qui êtes les vrais racistes », qui bien sûr ne conteste pas la prémisse sous-jacente que le racisme est mauvais – ou la supposition plus profonde que les parasites psychotiques de la gauche ont une autorité morale quelconque.

Le Parti Démocrate n’a pas de scrupules à représenter les intérêts de ses électorats. Il offre une mobilité ascendante aux marginalisés, et à ses électeurs blancs, spécialement les mâles hétérosexuels réfractaires (spécialement ceux qui épousent des femmes blanches et qui se reproduisent), il offre la promesse de l’absolution de la culpabilité collective pour une litanie toujours plus longue de « ismes » et de phobies, en participant activement à leur dépossession politique et à leur dégradation culturelle.

Les règles de la politique démocrate sont simples : chaque groupe peut faire appel à ses intérêts particuliers sauf les Blancs, en particulier les mâles blancs hétérosexuels. Les Blancs n’ont pas d’intérêts collectifs, seulement une culpabilité collective pour les souffrances du reste de l’humanité. Toute allusion de conscience-de-soi blanche et positive, ou pire une politique organisée pour les intérêts blancs, est stigmatisée comme du racisme, de l’indigénisme, et même du national-socialisme – et nous savons où cela conduit.

Pour exister, le Parti Républicain a besoin des votes des Blancs de la classe moyenne. Etonnamment, cependant, les Républicains ne feront pas appel aux intérêts ethniques des électeurs blancs. Mais ils feront ouvertement appel aux intérêts ethniques les plus grossiers des Noirs, des métis (incluant même des envahisseurs), et des Juifs – des groupes qui persistent à donner la plupart de leurs votes aux Démocrates.

Les Républicains, occasionnellement, « siffleront leur chien » – c’est-à-dire feront de vagues références codées aux intérêts raciaux et aux craintes des Blancs, bien que seulement pour leur voler leurs votes, sans aucune intention de s’abaisser à vraiment faire quelque chose. Le mieux que les Républicains blancs peuvent espérer est d’être les bénéficiaires indirects de politiques « implicitement » blanches voilées sous des termes universalistes.

En traitant les appels aux intérêts ethniques blancs comme étant simplement immoraux, les Républicains, en bref, jouent selon les règles dictées par les Démocrates. Et bien sûr les Démocrates ont truqué les règles en leur faveur.

Imaginez la politique américaine comme une partie de poker. Chaque groupe ethnique a une place à la table et un certain nombre de jetons, représentant sa richesse et son pouvoir collectifs. Les Blancs ont le plus gros tas de jetons. Mais chaque groupe peut jouer un atout maître, la « carte raciale », sauf les Blancs. Si grand que puisse être notre avantage initial, si nous jouons d’après ces règles, nous perdrons manche après manche, jusqu’à ce que nous ayons perdu notre richesse, notre pouvoir, notre pays, et tout contrôle que nous pouvions avoir sur notre destin – ou bien nous renversons la table et nous refusons de jouer à un jeu truqué contre nous.

Parce que les Républicains s’entêtent à jouer à un jeu qu’ils ne peuvent que perdre, ainsi que les Américains blancs, la raillerie de droite « cuckservative » a fait vibrer la corde sensible et est devenue virale. « Cuckservative » est une combinaison de « cocu » et de « conservateur ».

Tiny reed warbler feeds enormous cuckoo chick [3]

« Nourris-moi, Seymour ! » : la petite fauvette nourrit l’énorme bébé-coucou

Les Républicains et la gauche critiquent le terme comme étant intrinsèquement « raciste » et sexuel, et ils ont raison. Il est aussi intrinsèquement antisémite.

L’essence du cocufiage est une violation des intérêts génétiques de quelqu’un. Quand le coucou pose ses œufs dans le nid d’un autre oiseau, lui faisant par ruse couver et nourrir ses petits, il fait avancer ses intérêts génétiques aux dépens des oiseaux cocufiés (le premier acte d’un bébé coucou est de tuer le véritable petit de l’oiseau). Lorsqu’un homme est cocufié, il est poussé par ruse à prendre soin des enfants d’un autre homme au lieu de prendre soin des siens. L’horreur masculine pour le cocufiage est plus ancienne que la race humaine elle-même. Si une lionne veuve a des petits, un lion mâle tuera ses petits avant de s’accoupler avec elle, plutôt que de pourvoir aux besoins de la progéniture d’un autre lion.

Les Républicains sont des cuckservatives, parce qu’ils sont plus intéressés à poursuivre les intérêts des non-Blancs au lieu de poursuivre ceux de leur propre électorat blanc. Cela implique que seuls les Républicains blancs sont des cuckservatives. Les Républicains juifs réussissent très bien à poursuivre leurs propres intérêts ethniques, tout comme d’autres Républicains non-blancs.

Male lions kill the cubs fathered by other lions rather than take care of them [4]

Les lions mâles tuent les petits engendrés par d’autres lions plutôt que de prendre soin d’eux.

Il y a trois raisons principales pour lesquelles les Républicains ont consenti à jouer d’après les règles de la gauche.

La raison la plus superficielle est qu’ils craignent une mauvaise réputation, la mise à l’écart sociale, ou une rencontre avec un Juif écumant de rage et hyper-agressif (par exemple, le fameux incident Michael Hart lors de la Conférence d’American Renaissance en 2006).

Une autre raison superficielle est la simple corruption. Les Républicains ont été achetés par des donateurs juifs qui désirent assurer les intérêts israéliens aux dépens des Américains. Les Républicains ont été achetés par des lobbies de l’agroalimentaire pour que les frontières restent ouvertes aux envahisseurs mexicains. C’est simplement une trahison complète des intérêts blancs, rien de plus.

Une troisième raison plus profonde au fait que les Républicains refusent de jouer la carte de la race blanche est qu’ils pensent que leurs idéaux de liberté et de gouvernement limité sont universels plutôt que tribaux. Donc il n’y a simplement pas besoin d’appels tribaux (à part un petit appel mineur dans une élection difficile). Oui, les Républicains sont conscients que le refus de la politique identitaire blanche les place en désavantage, du moins à court terme. Mais puisqu’ils croient en l’universalité de leurs principes, ils croient que les non-Blancs peuvent finir par les adopter. Les Républicains pensent qu’il leur suffit de montrer une ouverture suffisante – et réprimer toutes les manifestations d’ethnocentrisme blanc – pour les faire venir à eux. Jusque-là, ils sont prêts à sacrifier aux intérêts ethniques non-blancs, mais simplement comme un moyen pour les convertir, pas comme une reconnaissance que la politique ethnique et les minorités inassimilables sont des réalités durables.

Mais la liberté, le capitalisme, et le gouvernement constitutionnel ne sont pas universels. Ce sont les valeurs tribales des Blancs. Si elles étaient valorisées en Asie, elles y auraient sûrement été pratiquées. Si elles étaient valorisées en Amérique Latine, elles y auraient sûrement été pratiquées. Si elles étaient valorisées au Moyen-Orient, elles y auraient sûrement été pratiquées. Si elles étaient valorisées en Afrique, elles y auraient sûrement été pratiquées. Et les pays blancs ne seraient alors pas inondés d’immigrants venant de ces pays.

Le reste de la race humaine n’aspire pas à être comme les Blancs. Les immigrants venant ici ne souhaitent pas assimiler nos valeurs et contribuer à notre civilisation. Nous n’essayons même pas de les assimiler de toute façon. Au contraire, ils viennent simplement ici pour prendre les fruits de notre civilisation. Ils ne veulent pas être nous, ni faire partie de nous. Ils veulent simplement nous déposséder.

Pendant près de 1.000 ans, les Chinois pratiquèrent une horrible forme de torture appelée  lingchi [5], la mort par un millier de coupures, où la victime était attachée à un cadre de bois et ensuite lentement coupée en morceaux. La torture complète durait trois jours et impliquait 3.600 coupures (le Lingchi fut aboli seulement en 1905. Les Chinois écorchaient les animaux vivants jusqu’à ce jour). Pour prolonger l’agonie, on donnait de l’opium aux victimes pour que la douleur ne leur fasse pas perdre conscience ou mourir trop rapidement.

L’idée grandiose que les valeurs tribales blanches sont en réalité universelles, et que le reste du monde finira par faire partie de notre communauté – sans essai réel de leur part ou de la nôtre – n’est rien d’autre qu’un opium intellectuel qui endort les Américains blancs pendant que nous perdons notre richesse, notre pouvoir, nos patries, et notre avenir en faveur des non-Blancs tranche par tranche.

La controverse du cuckservatisme est une importante opportunité pour les Nationalistes Blancs. Le concept a attiré l’attention du courant majoritaire. Il résume parfaitement notre critique du Parti Républicain. Partout où le terme est discuté, nous devons être là, et nous devons suivre l’exemple de Michael Enoch et de Hateful Heretic [6] of The Right Stuff, qui exposent nos arguments dans un langage simple, sincère et modéré.

C’est une opportunité pour éveiller les Américains blancs à quatre faits.

Jusqu’ici, la réponse républicaine a été de poursuivre le même jeu stupide. Les vrais croyants réitèrent leur foi en l’universalisme et stigmatisent le terme comme raciste. Les hypocrites affirment aussi que c’est antichrétien et pornographique, donc qu’il ne faut pas le faire. La foule des paranos nous accuse d’être des infiltrés démocrates.

Cependant, les Républicains comprennent lentement qu’ils sont dans une impasse complète.  Nous conduisons les meilleurs d’entre eux vers la lumière. Mais certains d’entre eux mourront dans cette impasse. Assurons-nous que notre race ne mourra pas avec eux.