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Les treize principes du livre de Richard McCulloch, « Separate or Die » [Séparez-vous ou mourez] [1] sont un plan superbe et parfait pour la survie blanche au moyen de la sécession. Il est convainquant et persuasif concernant les raisons pour lesquelles son plan est supérieur à un plan de sécession sommaire impraticable proposé par Michael Hart [2].
Le plan de McCulloch est si beau et si parfait qu’il me rappelle les mondes meilleurs que la science fiction envisage pour nous, ceux où des vaisseaux spatiaux décollent vers d’autres galaxies à partir de terrains ordinaires et où des engins plus petits entrent et sortent des portes de bâtiments si grands que leur sommet est perdu dans les nuages. Le seul problème avec d’aussi belles visions est que la technologie pour les construire n’existe pas du fait de formidables contraintes physiques.
L’exploration par Craig Bodeker de l’attitude négative des Blancs concernant leur survie [3], présentée dans le même numéro de TOQ, suggère que les contraintes politiques pour la mise en œuvre du plan de McCulloch sont également formidables, ce qu’il reconnaît. Il est malheureux mais probablement vrai que pour le moment présent, bien plus de Blancs ont motivés à pourchasser et à tuer l’infime minorité de leurs frères de race prêts à faire sécession, plutôt que de la rejoindre. Beaucoup trop de Blancs cherchent la destruction de leur héritage ethnique par la fusion avec d’autres races. Tant que cette fusion de l’esprit prévalant parmi les Blancs ne sera pas réglée en la remplaçant par une sécession de l’esprit, la sécession physique ne sera pas possible. Lorsqu’elle sera réglée, la sécession physique ne sera peut-être pas nécessaire.
Le comportement d’entités biologiques réduit-il toujours leurs chances de survie ? Cela arrive tout le temps. De même pour l’extinction. Les papillons de nuit entrent dans la flamme qu’ils prennent pour une lumière signalant une voie vers un ou une partenaire [4]. Les aigles glissant dans le vent à travers les cols des montagnes, comme leurs ancêtres l’ont fait pendant des millénaires, rencontrent soudain les lames mortelles des éoliennes [5]. Les espèces parasites sociales [6] comme les vachers [Cowbirds] à tête brune (Molothrus ater) induisent beaucoup d’espèces d’oiseaux d’Amérique du Nord à négliger leurs propres petits en faveur de bébés cowbirds et donc à collaborer à leur propre déclin démographique significatif [7]. Beaucoup d’autres parasites sociaux se comportent de manière similaire dans le monde entier.
Un tel comportement autodestructeur n’est pas limité aux animaux dépendants d’instincts qui peuvent être trompés et devenir contre-productifs. Il est également commun chez les humains. En 1857, par exemple, les Xhosas d’Afrique du Sud détruisirent tout leur bétail et leurs céréales parce qu’une jeune fille avait prophétisé que cela apporterait la vengeance sur l’homme blanc et qu’une meilleure nourriture tomberait du ciel. La conséquence immédiate fut une famine de masse et une chute de population estimée dans les chefferies concernées de 105.000 individus à 37.000 [8].
Durant le règne de Catherine II de Russie (1762-96), une secte de skoptsy ou auto-castrateurs devint très populaire, particulièrement chez les riches marchands de Moscou et les chefs militaires qui n’avaient pas la permission d’entrer dans les cercles intérieurs de sa cour, qui généra de l’hostilité à cause de ses origines étrangères et de sa promiscuité [9]. Les origines des skoptsy étaient dans « le protestantisme radical et rejeté d’Europe Centrale [qui] devait fonder ses racines dans la Russie du XVIIIe siècle, ne le cédant qu’à celles qu’il fonda en Amérique » [10], et c’est peut-être la raison pour laquelle les sectes rejetant similairement leur héritage génétique ont été particulièrement fameuses aux Etats-Unis.
Les shakers, par exemple, pratiquaient le célibat total parce qu’ils rejetaient complètement le sexe [11]. Leur nombre culmina à 6.000 en 1840 et déclina ensuite lentement, causant la vente en 1947 de leur « église-mère » au nord de l’Etat de New York, lorsqu’ils furent presque éteints [12]. Récemment d’autres sectes américaines rejetant la vie connurent des fins plus violentes quand le Temple du Peuple pratiqua un auto-empoisonnement massif en 1978 et fut copié par la Porte du Ciel en 1997 [13].
La tendance actuelle des Blancs américains à accepter leur autodestruction ressemble clairement aux cultes suicidaires du passé, mais c’est un phénomène sur une échelle tellement plus grande qu’il fait paraître petit même le massacre fratricide de la guerre de tranchées de la Première Guerre mondiale [14]. Ses origines ne sont pas un mystère depuis que Kevin MacDonald les a décrites d’une manière complète et brillante [15]. Elles sont presque entièrement une conséquence directe de l’accroissement de la domination d’un Establishment juif et de ses supporters sur le discours intellectuel et les médias américains durant le dernier siècle. La motivation de cet Establishment est claire. Il recherche ce qui est perçu comme bon pour les Juifs : destruction de la conscience ethnique parmi la majorité en Amérique, où il [= l’Establishment juif] est une minorité permanente, et promotion de la conscience ethnique en Israël, où les Juifs sont suffisamment nombreux pour régner directement [16].
Moins explorée est la raison pour laquelle la majorité chrétienne blanche a si facilement accepté des attaques concertées contre sa valeur propre. La haine de soi parmi les chrétiens blancs et leurs descendants non-chrétiens est souvent écartée comme de la simple « culpabilité blanche » [17], mais c’est un phénomène bien plus complexe étroitement lié au christianisme lui-même, qui, après la race elle-même, est la caractéristique ethnique la plus significative de la patrie européenne des Blancs, qui a longtemps été connu sous le nom de Chrétienté [18].
Les gens vivent et meurent par des récits, qui peuvent évoluer un peu comme les espèces [19]. Sir James Frazer, par exemple, un pionnier de l’archéologie des histoires, suggéra que les Européens étaient pré-adaptés à la théologie chrétienne parce qu’ils étaient des peuples d’agriculteurs, et beaucoup de fermiers sacralisent les semences qui meurent pour leur donner la vie au temps des moissons en automne, avant de renaître le printemps suivant pour recommencer le cycle [20]. La préadaptation est quand les traits qui évoluent dans un environnement ont une fonction différente quand l’environnement change [21]. Les papillons de nuit, par exemple, sont pré-adaptés pour voler dans la flamme. Puisque les fondateurs de l’Amérique étaient principalement des protestants [22], ils amenèrent un récit protestant en Amérique, qui dit cela : l’humanité est écrasée par le fardeau de péché originel, un concept faiblement développé dans les débuts du christianisme. Il fut transformé en un très fort élément du christianisme occidental par Augustin d’Hippo (354-430), qui l’identifia explicitement à la procréation humaine. Pendant le Moyen Age, les théologiens catholiques préservèrent le péché originel mais commencèrent graduellement à le dissocier de l’identification augustinienne avec le sexe [23]. Puis vint la Réforme, qui fut largement une redécouverte d’Augustin [24]. Le péché originel comme sexe revint au galop, si même il était vraiment parti, et le péché était puni par la torture éternelle par les démons dans un Enfer très réel. Jusqu’à ce que le Christ revienne sur terre et mette fin au péché, le seul espoir d’échapper aux tortures de l’Enfer ainsi qu’à un monde rempli de péché était la souffrance du Christ au Calvaire, qui offrait un espoir de s’échapper vers le Ciel éternellement bienheureux [25]. S’il est évident que ce récit pouvait faciliter un glissement vers des extrêmes autodestructeurs, dans l’ensemble elle fonctionna sacrément bien pour la survie blanche jusqu’à des temps récents.
Maintenant le vieux récit protestant a été complètement remplacé par un nouveau récit antiraciste. Les héros de la télévision peuvent maintenant être des dealers (Kingpin), des chefs de la Mafia (The Sopranos), et même des tueurs en série (Dexter). Mais ils ne sont jamais, et ne peuvent jamais être, des nationalistes blancs. Le racisme souille maintenant irrévocablement tous les Blancs, tout comme le péché originel souillait jadis leurs ancêtres. De même que ces ancêtres s’entendaient jadis rappeler leur état de péché chaque dimanche matin, leurs descendants s’entendent rappeler leur racisme chaque jour par une cacophonie médiatique. Et sa logique est impeccable. Puisque l’égalité raciale est aussi incontestée que Dieu l’était jadis et que les preuves de l’inégalité sont partout dans la pauvreté, la criminalité, la faible réussite et le mauvais comportement général des non-Blancs, la seule explication possible est le racisme blanc. De même que le péché finit seulement avec le retour du Christ, le racisme blanc ne peut finir que lorsque les non-Blancs deviennent si égaux aux Blancs qu’ils sont comme eux en tous points, deux événements si hypothétiques et improbables qu’ils peuvent être écartés dans le monde réel. De même que la seule route vers la félicité éternelle du ciel dans la vieille histoire était la mort, la seule voie vers un futur utopien merveilleux d’égalité raciale dans la nouvelle histoire est la mort de la race blanche [26]. Dans l’ancien récit, le péché apportait le tourment éternel par des démons dans un lac de feu. Dans le nouveau récit, le racisme apporte la torture par des nazis sadiques à Auschwitz. La torture n’est pas éternelle dans le nouveau récit, cependant, puisqu’ici Auschwitz est à la fois l’Enfer et le Calvaire, le lieu où les Juifs sont morts et sont ressuscités pour sauver l’humanité du racisme.
Toute similarité entre l’ancien récit et le nouveau récit n’est pas une coïncidence. L’ancien était clairement pré-adapté pour se couler dans le nouveau avec l’aide de l’ingénierie sociale. Les médias exposent tous les Américains à des pièces et des morceaux du nouveau récit chaque jour. Plus leur éducation dans les humanités académiques est avancée, plus ils le reçoivent sous une forme pure et doivent assimiler ses vérités pour réussir. Cela est spécialement vrai lors des prestigieux séminaires théologiques fournissant son clergé aux principales églises chrétiennes. Ici ils apprennent que « Auschwitz devient l’équivalent du Golgotha (le Calvaire) et une fois de plus le Serviteur [sic] souffre pour apporter la rédemption. Pour certains, cela est prouvé par l’établissement de l’Etat d’Israël » [27] et le « soutien à l’Etat d’Israël et son droit à l’autodéfense est vu comme une sorte de révélateur du sérieux chrétien concernant un nouvel âge des relations judéo-chrétiennes post-Holocauste » [28]. Le remplacement de l’ancien récit par le nouveau est une raison importante du fait que les principales églises protestantes perdent des membres au profit des églises évangéliques plus fidèles à l’ancien » [29].
Puisque les universités prestigieuses propagent le nouveau récit dans sa forme la plus pure et fournissent aussi l’entrée aux hauts revenus, il n’est pas surprenant que la croyance au nouveau récit tende à s’accroître avec les revenus parmi les chrétiens blancs. Il continue aussi à leur fournir des bénéfices fonctionnels longtemps après l’université. Cela facilite évidemment leurs relations avec l’Establishment juif culturellement, politiquement et économiquement hégémonique, mais ce n’est pas sa seule fonction. De même que l’ancien récit a pu aider les entrepreneurs protestants à voir leur fortune comme une preuve de salut vis-à-vis des masses pécheresses [30], le nouveau récit libère ses croyants de la culpabilité vis-à-vis des travailleurs américains en cours d’appauvrissement du fait des licenciements, répression des syndicats, délocalisations, réductions de postes, et fermetures d’usines. Ils peuvent toujours se dire que leurs victimes sont surtout des racistes blancs de toute façon, et donc l’écume de la terre. Cependant, comme Bill Gates, ils démontrent leur croyance vertueuse dans le nouveau récit en envoyant des milliards de dollars en Afrique afin que sa population puisse encore augmenter au-delà de sa capacité de portance et continue à se massacrer pour faire de la place [31]. Leurs actions, comme celles des stars de cinéma adoptant des enfants du tiers-monde, sont des actes de foi ostentatoires dans le dieu du nouveau récit de l’égalité raciale. Ce n’est pas un hasard si le philosophe favori de ces milieux d’élite est l’ancien prétendu ministre [= pasteur] protestant John Rawls [32], dont le livre A Theory of Justice contribua d’une manière importante au nouveau récit en justifiant simultanément les extrêmes de l’égalité raciale et de l’inégalité des revenus [33].
Il est évident que la survie de la race blanche nécessitera plus que la sécession physique par la petite minorité qui la valorise encore. Il faudra une guerre raciale d’idées dans lequel le Premier Amendement sera critique et le Second une simple distraction. Pour gagner, il faut que le nouveau récit soit vaincu. C’est un adversaire fuyant qui n’a jamais été pleinement nommé jusqu’à maintenant, et qui est pourtant aussi prégnant que la croyance chrétienne quand l’Amérique commença à être colonisée il y a près de 400 ans. Comme à l’époque, des entités comme l’Anti-Defamation League et le Southern Poverty Law Center existent pour imposer l’orthodoxie et attaquer l’hérésie [34]. Le caractère fuyant du nouveau récit présente en lui-même des opportunités aussi bien que des défis. Puisqu’il manque d’un nom ou d’une infrastructure institutionnelle réelle, il pourrait disparaître en une nuit comme la Révolution Culturelle de Mao. Cependant, son invisibilité même le rend difficile à attaquer directement. Puisqu’il existe dans l’ombre, les premières mesures-clés sont d’exposer et d’expliquer sa nature.
Puisque le nouveau récit est construit sur des mensonges, l’arme la plus efficace contre lui est le respect scrupuleux de la vérité. C’est une erreur de faire des concessions simplement parce que les mensonges peuvent avoir l’air plus agréables et plus convenables. La vérité est une arme importante pour regagner la supériorité morale parmi les gens de notre peuple, ce qui est crucial pour le succès. Egalement fondamental est le fait d’apprécier les arts de vente et de persuasion, depuis Dale Carnegie jusqu’aux textes les plus récents du marketing social, qui soulignent l’importance du marquage approprié. Révéler un programme appelé The Political Cesspool peut être commode, par exemple, mais l’utilisation répétée de son nom pour des stéréotypes négatifs pourrait être contre-productif. Un exemple de marquage négatif est l’usage du mot « haine » par les ennemis du nationalisme blanc pour le décrire, même si la raison de son existence est l’amour de sa propre race. Dans l’histoire américaine récente, la haine est la plus évidente chez les Juifs contre les non-Juifs blancs qui se sacrifièrent tant pour les sauver durant la Seconde Guerre mondiale, un phénomène graphiquement et sympathiquement dépeint dans le film peu connu de 1995, Unstrung Heroes. D’autre part, il pourrait être temps de cesser de craindre le terme « raciste » et de commencer à le retourner contre l’autre camp. Puisqu’il a été si largement appliqué à tous les Blancs qu’il est maintenant vide de sens, pourquoi ceux pour qui la race compte ne le revendiquent-ils pas fièrement ? Si de mauvaises choses ont été faites en son nom, quelle croyance peut prétendre y avoir échappé ?
Puisque Auschwitz est une partie aussi fondamentale du nouveau récit, le comportement de l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale est une question inévitable. En dépit de sa description par le nouveau récit comme étant la quintessence de la conscience raciale, le Troisième Reich ne pratiqua jamais le nationalisme racial blanc. Son nationalisme basé presque exclusivement sur la langue, qui est constamment confondue avec la race dans sa rhétorique, explique son comportement abominable envers ses propres frères de race comme les Slaves et autres groupes ethniques parlant des langues non-germaniques [35]. Une autre preuve est son alliance avec le Japon, qui pratiqua une guerre raciale contre les Blancs dans toute l’Asie et le Pacifique [36]. Qu’il n’instruisit jamais authentiquement sa population concernant la race est même évident dans l’empressement d’après-guerre de ses femmes à fraterniser avec les occupants américains noirs, alors que cela était encore stigmatisé aux Etats-Unis [37]. L’Amérique a été une nation nationaliste blanche à diverses époques, particulièrement de 1830 à 1855 et de 1900 à 1925. L’Australie le fut aussi de 1890 à 1945 [38], de même que l’Afrique du Sud de 1948 à 1989 [39]. L’Allemagne, cependant, ne fut jamais une nation nationaliste blanche.
Puisque le Troisième Reich était hostile aux Juifs, et que les Américains le combattirent pour des raisons principalement différentes, il est politiquement avantageux pour l’Establishment juif de l’Amérique d’utiliser son immense domination médiatique pour rappeler sans cesse ces événements [40], et minimiser ceux qui peuvent distraire de cette association. Parmi de tels événements minimisés se trouvent la Guerre du Pacifique, les atrocités allemandes contre les non-Juifs, les atrocités communistes contre tout le monde, et les génocides arménien et rwandais. L’exception confirmant la règle est l’intérêt médiatique pour le Darfour, qui se trouve au Soudan, un pays musulman hostile à Israël.
Le rôle des Juifs pour créer et profiter du nouveau récit est un fait historique facilement démontrable. Une réponse naturelle et raisonnable lorsqu’on découvre cela est de blâmer « les Juifs » pour tous les maux de l’Amérique. Malheureusement cela ne fait que renforcer la martyrologie dont leur pouvoir dépend. Il vaut mieux nommer clairement l’Establishment juif, qui est composé d’organisations représentées par la Conférence des Présidents des Grandes Organisations Juives [41] ainsi que ses nombreux collaborateurs parmi toutes les ethnicités. Ensuite ses activités collectives actuelles peuvent être identifiées à des attaques ethniques aberrantes contre d’autres ethnicités analogues à celles commises par le Troisième Reich allemand. C’est une comparaison que les Américains peuvent comprendre. Ils savent que chaque Allemand ne soutenait pas le Reich, et ils ne croient pas que chaque Juif soit mauvais non plus.
La science moderne est en fin de compte la meilleure amie du nationalisme racial blanc ainsi que de toutes les autres races. En dépit d’une certaine résistance, l’exploration du génome humain est finalement en train de révéler la structure profonde de la raison pour laquelle chaque race est distinctive et précieuse. La découverte de gènes se corrélant bien avec la répartition connue de l’intelligence est seulement le commencement [42]. Les égalitaires radicaux cherchent à bloquer ces recherches, mais leurs efforts sont futiles. Comprendre le génome est trop critique pour trouver des remèdes à des maladies comme les diabètes de type 2 causés par des interactions gènes-environnement complexes [43]. Le monde est aussi de plus en plus préoccupé par la perte de la biodiversité, dont la diversité raciale humaine est une partie importante. La biologie de la conservation, une science entièrement nouvelle, s’est développée pour accomplir la tâche importante de préserver la biodiversité de la terre [44]. Contrairement au mythe, cependant, la biodiversité ne s’épanouit pas quand des entités biologiques sont forcées à cohabiter. Cela cause l’extinction [45]. La biodiversité est la plus élevée là où les barrières au mélange sont maximales et les opportunités de sécession les plus grandes. C’est pourquoi la diversité des végétaux, des animaux, des races, des cultures, et des langues tend à être la plus grande dans les montagnes, où les hautes crêtes et les profonds canyons sont des barrières réduisant la possibilité d’extinction par le mélange [46].
Le renouveau culturel est aussi important que la science. En 1976 la pirogue reconstruite Hokulea réussit à naviguer d’Hawaï aux Iles de la Société en utilisant des méthodes de navigation traditionnelles. Son succès ainsi que d’autres voyages contribuèrent à une renaissance de la culture traditionnelle parmi les Hawaïens [47], un peuple dépossédé de sa patrie ancestrale, un peu comme les Américains blancs. Le journal TYR mène une renaissance culturelle similaire parmi les Blancs d’Amérique.
Puisque le nationalisme blanc résiste au récit de l’antiracisme, il doit le remplacer par un meilleur récit. Puisque l’ancien récit ne reconnut jamais la diversité humaine, il était voué à être remplacé par la destructivité du nouveau récit. L’Establishment peut même encore aujourd’hui utiliser l’ancien récit pour attaquer la menace qui vient de la science [48]. Avec un récit nouveau et meilleur, guidé par l’amour de son peuple, cependant, le nationalisme blanc peut aider tous les peuples à préserver leur valeur singulière, que la mondialisation menace partout. Même maintenant qu’un meilleur récit est en train d’être exposé dans des publications comme The Occidental Quarterly et Tyr et dans des actions de groupes comme les European Americans United. Pour qu’il gagne, une gestion adaptative intelligente sera requise à mesure que les événements et le Zeitgeist [= l’esprit du temps] changeront, mais le succès ultime est probable parce que la vérité est de son coté. Peu importe ce qui viendra, rester concentré sur le grand prix de la survie raciale est nécessaire pour assurer ce succès.
Ce succès viendra quand la sécession de l’esprit, le désir collectif d’une masse critique de Blancs pour préserver leur race, sera accomplie. De même que la sécession physique a peu de chances de réussir sans une sécession mentale, son accomplissement pourrait rendre la sécession physique moins nécessaire. Les Britanniques firent un honnête travail pour apporter l’ordre au monde dans un Empire durant aussi longtemps qu’ils croyaient en eux-mêmes et restaient à distance de ceux qu’ils avaient conquis [49]. Les Juifs ont survécu bien plus longtemps en préservant leur sécession mentale [50]. Les Blancs sont une race de Volkerwanderers, de pionniers, et d’explorateurs. Les enfermer dans un seul lieu pourrait équivaloir à mettre la foudre en bouteille. Avec une sécession de l’esprit, leur survie ne dépend pas de cela.
Notes
[1] Richard McCulloch, “Separate or Die,” The Occidental Quarterly 8, no. 4 (2009): 15-38.
[2] Michael H. Hart, “Racial Partition of the United States,” in Jared Taylor, ed., The Real American Dilemma (Oakton, Va.: New Century Books, 1998), 107-18.
[3] Greg Johnson, review of “A Conversation About Race, a film by Craig Bodeker (Denver, New Century Productions, 2008),” The Occidental Quarterly 8, no. 4 (2009): 109-114.
[4] Valerio Sbordoni and Saverio Foresterio, Butterflies of the World (New York: Times Books, 1984).
[5] Brian K. Wheeler, Raptors of Western North America (Princeton: Princeton University Press, 2003).
[6] Jeffrey L. Brown, The Evolution of Behavior (New York: W. W. Norton, 1975).
[7] Jeffrey V. Wells, Birder’s Conservation Handbook: 100 North American Birds At Risk (Princeton: Princeton University Press, 2007).
[8] T. R. H. Davenport, South Africa: a Modern History, 3rd ed. (Toronto: University of Toronto Press, 1987).
[9] James H. Billington, The Icon and the Axe: An Interpretive History of Russian Culture (New York: Vintage Books, 1970).
[10] Billington, The Icon and the Axe.
[11] David Hackett Fischer, Albion’s Seed: Four British Folkways in America (New York: Oxford University Press, 1989).
[12] John Bowker, ed., The Oxford Dictionary of World Religions (Oxford: Oxford University Press, 1997).
[13] Robert Jay Lifton, Destroying the World to Save It: Aum Shinrikyo, Apocalyptic Violence, and the New Global Terrorism (New York: Metropolitan Books, 1999).
[14] David Starr Jordan, War and the Breed, abridged reprint of original published in 1915 (Washington, DC: Cliveden Press, no date).
[15] Kevin MacDonald, The Culture of Critique: An evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth Century Intellectual and Political Movements Westport, Connecticut: Praeger, 1998).
[16] MacDonald, The Culture of Critique.
[17] Shelby Steele, White Guilt: How Blacks & Whites Together Destroyed the Promise of the Civil Rights Era (New York: HarperCollins, 2006).
[18] Judith Herrin, The Formation of Christendom (Princeton: Princeton University Press, 1987).
[19] Charles J. Lumsden and Edward O. Wilson, Genes, Mind, and Culture: The Coevolutionary Process (Cambridge, Mass.: Harvard University Press, 1981).
[20] Theodor H. Gaster, ed., The New Golden Bough: Sir James Frazer’s classic work on ancient and primitive myth, magic, religion, ritual, and taboo. Revised and edited in the light of recent scholarship by Theodor H. Gaster (New York: Mentor, 1959).
[21] Mark Ridley, Evolution, 2nd ed. (Cambridge, Mass.: Blackwell Science, 1996).
[22] Fischer, Albion’s Seed.
[23] Richard P. McBrien, ed. The HarperCollins Encyclopedia of Catholicism (New York: HarperCollins, 1995).
[24] Diarmaid MacCulloch The Reformation: A History (New York: Viking, 2003).
[25] MacCulloch The Reformation.
[26] David R. Roediger The Wages of Whiteness, revised ed. (London: Verso, 1999).
[27] Bowker, Oxford Dictionary of World Religions.
[28] Jonathan Z. Smith, ed., The HarperCollins Dictionary of Religion (New York: HarperCollins, 1995).
[29] Thomas C. Reeves, The Empty Church: Does Organized Religion Matter Anymore? (New York: Touchstone, 1996).
[30] MacCulloch, The Reformation.
[31] Jared Diamond, Collapse: How Societies Choose to Fail or Succeed (New York: Viking, 2005).
[32] Luke Coppen, “Rawls at the Crossroads,” American Conservative 8, no. 8 (2009): 31-32.
[33] J. R. Pole, The Pursuit of Equality in American History, 2nd ed., revised and enlarged (Berkeley: University of California Press, 1993).
[34] John George and Laird Wilcox, Nazis, Communists, Klansmen, and Others on the Fringe: Political Extremism in America (Buffalo, NY: Prometheus Books, 1992).
[35] Richard J. Evans, The Third Reich at War (New York: Penguin, 2009).
[36] Meirion and Susie Harries, Soldiers of the Sun: The Rise and Fall of the Imperial Japanese Army (New York: Random House, 1991).
[37] Giles MacDonogh, After the Reich:The Brutal History of the Allied Occupation (New York: Basic Gooks, 2007).
[38] Graeme Davison, John Hirst, and Stuart Macintyre, eds., The Oxford Companion to Australian History, revised ed. (Melbourne, Australia: Oxford University Press, 2001).
[39] John Drexel, ed., The Facts on File Encyclopedia of the Twentieth Century (New York: Facts on File, 1991).
[40] Norman G. Finkelstein, The Holocaust Industry: Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering (London: Verso, 2000).
[41] Howard M. Sachar, A History of the Jews in America (New York: Knopf, 1992).
[42] Nicholas Wade, Before the Dawn: Recovering the Lost History of our Ancestors (New York: Penguin, 2006).
[43] Ramzi Cotran, Vinay Kumar, and Tucker Collins, Robbins Pathologic Basis of Disease, 6th ed. (Philadelphia: Saunders, 1999).
[44] Edward O. Wilson, The Diversity of Life (Cambridge: Harvard University Press, 1992).
[45] Judith M. Rhymer and Daniel Simberloff, “Extinction by Hybridization and Introgression,” Annual Review of Ecology and Systematics 27 (1996): 83-109.
[46] Daniel Nettle and Suzanne Romaine, Vanishing Voices: The Extinction of the World’s Languages (New York: Oxford University Press, 2000).
[47] Alan C. Ziegler, Hawaiian Natural History, Ecology, and Evolution (Honolulu: University of Hawaii Press, 2002).
[48] John G. West, Darwin Day in America: How our Politics and Culture Have Been Dehumanized in the Name of Science (Wilmington, Delaware: ISI Books, 2007).
[49] Lawrence James, The Rise and Fall of the British Empire (New York: St. Martin’s, 1994).
[50] Kevin MacDonald, A People That Shall Dwell Alone: Judaism as a Group Evolutionary Strategy (Westport, Conn.: Praeger, 1994).
Source: TOQ, vol. 10, no. 2 (été 2010)
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