Différences irréconciliables :
arguments en faveur du divorce racial

Divorce [1]1,616 words

English original here [2]

Les Nationalistes Blancs pensent que notre race est sur la route de la simple extinction biologique [3], et que la seule vraie solution est de créer des patries blanches homogènes avec des institutions favorables à la natalité et à la famille. 

Mais pour faire du Nationalisme Blanc une réalité, nous devons convaincre les gens de notre peuple que de telles politiques sont nécessaires, qu’elles sont morales, et qu’elles sont possibles.

La séparation selon des critères ethniques n’arrive pas tous les jours, et elle implique habituellement de la haine, de la violence, et une effusion de sang. Donc la plupart des Blancs ne souhaitent simplement pas l’envisager. Mais beaucoup trop de Blancs sont tout à fait prêts à envisager une forme de séparation à plus petite échelle, c’est-à-dire le divorce. Et en effet, le modèle que nous recommandons pour une séparation raciale pacifique et humaine est le dénommé « divorce de velours » entre les Tchèques et les Slovaques.

Si la relation entre les Blancs et les Noirs en Amérique aujourd’hui était un mariage, nous aurions divorcé depuis longtemps. La même chose est vraie pour les Blancs et les Juifs, et tout autre groupe non-blanc. Les Nationalistes Blancs proposent simplement une politique de divorce racial.

Légalement, il y a deux sortes de divorce : avec faute et sans faute [= à l’amiable]. Dans un divorce avec faute, au moins une partie est tenue responsable de la rupture du mariage. Les causes incluent :

Dans les divorces sans faute, aucune partie n’est tenue comme seule responsable. Les causes principales sont la séparation et les différences irréconciliables. Les différences irréconciliables incluent :

Il est intéressant de voir que même des choses apparemment aussi banales que des habitudes différentes de travail et de dépense peuvent être une cause de divorce. Mais gagner sa vie et dépenser sont une grande partie de la vie, et des mésententes sur ce point peuvent facilement déborder et bouleverser le reste de la vie.

Dans le cas des Noirs et des Blancs en Amérique, il y a une abondance de fautes des deux cotés. Mais se concentrer sur les griefs historiques est en fait un piège, simplement parce que les groupes peuvent être des victimes, mais ils ne sont pas des coupables. La culpabilité collective est insensée. Et de nombreux Blancs et Noirs individuels aujourd’hui ne se sont pas fait de tort les uns aux autres, donc pour beaucoup de gens les griefs historiques collectifs ne sont pas une cause suffisante pour envisager le divorce racial.

Par exemple, je pense que ce fut un terrible crime d’introduire des esclaves noirs dans le Nouveau Monde. Mais je ne ressens pas la moindre culpabilité pour cela. Et bien que ma vie ait été négativement impactée par la présence des Noirs en Amérique, la plupart des individus noirs ne m’ont fait aucun mal, et certains m’ont même fait du bien. Donc mon désir de divorce racial n’a rien à voir avec la culpabilité ou l’innocence ou les jugements moraux de toute sorte.

Le divorce racial n’a en réalité rien à voir avec les individus. Il concerne l’incompatibilité des groupes. Il y a des Noirs au-dessus de la moyenne qui font honneur à la société blanche, et il y a des Blancs au-dessous de la moyenne qui entraînent notre race vers le bas. Mais le caractère d’une société est déterminé par la moyenne, pas par la périphérie. Ainsi mon désir de divorce racial est basé simplement sur la reconnaissance que les Blancs et les Noirs en tant que groupes ont des différences irréconciliables qui rendent impossibles pour eux d’être pleinement heureux lorsqu’ils sont obligés de vivre dans le même système.

Toutes les causes ordinaires du divorce sans faute s’appliquent à la relation entre les Noirs et les Blancs en Amérique : dans l’ensemble, les deux races ont des personnalités différentes, des styles de vie différents, des habitudes de travail et de dépense différentes, etc. Lorsqu’ils sont obligés de vivre dans le même système, ces différences créent des tensions. Pour utiliser un exemple banal, les Noirs ont un sens très différent du passage du temps, et lorsqu’une longue file d’attente de Blancs se forme pendant qu’un employé noir des Postes bavarde bêtement avec un client devant son comptoir, le résultat est le ressentiment. Nous en voulons aux Noirs pour ne pas parvenir à vivre selon nos standards, et les Noirs nous en veulent d’avoir imposé des standards blancs en premier lieu.

Ces problèmes ne sont pas basés sur l’histoire mais sur la nature. Même sans l’esclavage noir et la criminalité noire – même si le passé pouvait être complètement effacé et si les Noirs et les Blancs pouvaient recommencer à zéro sur une île déserte –, ces différences donneraient naissance à de nouvelles frictions et à de nouveaux ressentiments.

Etant donné ces différences, ce ne devrait pas être une surprise que les relations entre Blancs et Noirs soient empoisonnées par des chamailleries incessantes, de la méfiance, du mépris, et du ressentiment et de l’amertume entretenus depuis longtemps. La réciprocité est cruciale pour notre idée de la conduite morale, et des peuples inégaux ne peuvent pratiquer une réciprocité réelle.

Encore une fois, si c’était un mariage, il se serait terminé par un divorce depuis longtemps. Tout conseiller matrimonial responsable recommanderait un divorce à l’amiable aussi rapidement que possible, parce qu’une telle relation est sur la voie d’un divorce pour faute, quand l’amertume devient haine et que la haine devient violence.

Il est faux d’affirmer que le Nationalisme Blanc est basé simplement sur la haine raciale. En tant qu’auteur de Confessions of a Reluctant Hater [4] [Confessions d’un « haineux » malgré lui], je ne nie pas que la haine joue un rôle. Mais je crois que la haine doit être vue avant tout comme le produit, plutôt que la cause, de mauvaises relations raciales. Je hais d’autres groupes à cause du multiculturalisme. Je crois au divorce racial parce que je ne veux pas haïr d’autres groupes.

La plupart des gens qui divorcent ne se haïssent pas simplement l’un l’autre. On peut présumer qu’ils s’étaient au départ mariés par affection. Donc habituellement il y a une relation amour-haine. Et bien que les Noirs et les Blancs en Amérique furent forcés de vivre ensemble – l’équivalent d’un mariage forcé –, des éléments d’affection authentique ont néanmoins réussi à se développer entre les races. Donc il y a une relation amour-haine ici aussi.

Mais dans certains cas, il n’y a aucune haine dans le divorce. Les deux parties reconnaissent simplement qu’elles seraient plus heureuses en suivant leur route, et elles se séparent cordialement. De plus, dès que les gens divorcent, il n’est pas rare qu’ils s’aiment davantage. Il est plus facile d’admirer certaines personnes à distance. Certains se rappellent pourquoi ils se sont mariés en premier lieu. Certains font même la même erreur deux fois.

La raison principale pour laquelle des individus sont prêts à rester dans des mariages malheureux et même abusifs est la conviction que leur propre bonheur ne compte pas. Ils croient que les devoirs envers Dieu ou la communauté ou la famille sont plus importants. Ou ils croient qu’ils méritent d’être malheureux à cause de sentiments de culpabilité et d’avoir peu de valeur. Le divorce est légitime seulement si le bonheur individuel est légitime.

La même chose est vraie des mauvaises relations raciales aussi. Les Blancs ne seront jamais libres tant que nous ne retrouverons pas la conviction que nous avons le droit d’être heureux, de nous épanouir en tant que race plutôt que simplement remplir les estomacs et vider les pots de chambre du Tiers Monde.

Quand Barack Obama nous rappelle avec affectation les soi-disant horreurs des Croisades d’il y a un millénaire, de crainte que les grands titres sur Daech ne nous donnent des idées pour nous séparer du monde musulman aujourd’hui, ou quand les Juifs traumatisent nos enfants avec l’« éducation » de l’Holocauste, nous devons les voir pour ce qu’ils sont : des conjoints abusifs nous disant que nous sommes sans valeur, que nous ne méritions pas d’être heureux, pour nous garder dans une relation subordonnée, exploiteuse, et parasite.

Il n’y a rien de plus obscène que d’être exploité à cause de sa conscience, au moyen de sa conscience, par ceux qui manquent totalement de conscience.

Les Nationalistes Blancs ont tendance à être mal à l’aise avec le divorce. Nous pensons que les taux de divorce sont trop élevés, parce que les gens sont trop individualistes et peu disposés à faire des compromis ou à devenir adultes en tant qu’individus pour faire fonctionner les mariages et les familles. Mais en dépit de tout cela, nous reconnaissons que le bonheur individuel compte néanmoins, et que, même si nous devons essayer, certains mariages ne peuvent pas marcher et devraient être dissous pour le bien de tous.

Notre réticence à approuver le divorce et notre désir de sauver même les mariages condamnés devraient nous donner une idée de ce qui se passe dans l’esprit des libéraux blancs, dont beaucoup tentent de faire fonctionner le multiculturalisme pour les mêmes motifs essentiellement honnêtes.

Pourtant les libéraux blancs sont également désireux – peut-être trop désireux – d’approuver le divorce pour des motifs de bonheur individuel. Nous devons faire en sorte que cette tendance travaille pour nous. Le Nationalisme Blanc semblera beaucoup plus attrayant si les gens de notre peuple finissent par comprendre que le multiculturalisme est un mariage fait en enfer.