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Print October 2, 2014

Notes sur le populisme, l’élitisme, et la démocratie

Greg Johnson
Demosthenes

Démosthène

3,250 words

English original here

La démocratie est-elle un bon système du point de vue des Blancs racialement conscients ?

(1) Quand les Etats-Unis et la Corée du Nord se décrivent tous deux comme des démocraties, il est sain de conclure que « démocratie » signifie proche de tout et de rien. En ce qui me concerne, je définirai la démocratie comme l’idée que le pouvoir de prendre des décisions politiques doit résider dans les « nombreux ». 

Par les « nombreux », je veux dire plus qu’une minorité, mais moins que tout le monde. Une société peut être gouvernée par un seul homme, quelques hommes, ou de nombreux hommes. Mais elle ne peut pas être gouvernée par tous les hommes, puisque dans toute société il y aura au moins quelques personnes qui ne pourront pas être autorisées à exercer le pouvoir politique, par ex. les mineurs, les fous, les criminels, etc.

(2) La plupart des Nationalistes Blancs tendent fortement vers l’élitisme, même si les opinions de la majorité sur des questions comme le nationalisme économique et l’immigration non-blanche sont bien plus sensées que celles des élites dirigeantes qui imposent la mondialisation et le remplacement racial au peuple. Si les sociétés blanches étaient vraiment démocratiques sur ces questions, nous nous porterions beaucoup mieux. Mais bien que les soi-disant démocraties d’aujourd’hui pourraient être améliorées en étant plus démocratiques, c’est difficilement un argument en faveur de la démocratie en tant que telle.

(3) Je voudrais démontrer que la démocratie, définie comme plaçant la souveraineté politique entre les mains des nombreux, n’est pas un bon système pour les Blancs racialement conscients, ni pour quiconque d’autre d’ailleurs. Pour présenter mon argumentation, cependant, je dois distinguer la démocratie, pure et simple, de deux bonnes idées qui sont tellement similaires à la démocratie qu’elles sont souvent confondues avec elle.

(4) La première bonne idée confondue à tort avec la démocratie est ce que j’appellerai le « populisme », ou principe de souveraineté populaire, ou principe du bien commun. Je définis ce principe comme l’idée que le gouvernement est légitime seulement s’il sert le bien commun d’un peuple.

Dans sa Politique, Aristote fait de ce principe la plus haute loi et le critère pour distinguer entre bonnes et mauvaises formes de gouvernement. Quand un seul homme gouverne pour le bien commun, nous avons la monarchie. Quand il règne pour son propre bien privé, nous avons la tyrannie. Quand un petit nombre règne pour le bien commun, nous avons l’aristocratie. Quand un petit nombre règne pour leurs intérêts privés et factionnels, nous avons l’oligarchie. Quand les nombreux règnent pour le bien commun, nous avons ce qu’Aristote appelle la « Cité » [= l’Etat]. Quand les nombreux règnent pour leurs intérêts privés et factionnels, nous avons la démocratie.

Oui, pour Aristote la démocratie est par définition une mauvaise forme de gouvernement. Mais il croit que la « Cité » – gouvernement populaire pour le bien commun – est au moins concevable.

L’idée que le bien commun est le vrai but de la politique est souvent confondue à tort avec la démocratie, mais ce ne sont pas la même chose. Le bien commun peut être servi par un seul homme, par un petit nombre, ou par les nombreux. De plus, il reste à savoir quel est le groupe – l’individu unique, le petit nombre, ou les nombreux – qui est le plus capable d’assurer le bien de tous. Les Nationalistes Blancs sont, bien sûr, des populistes raciaux. Nous croyons que le seul régime légitime est celui qui assure l’existence de notre peuple et un avenir pour les enfants blancs. (Pour en savoir plus sur Aristote, voir mon essai « Introduction to Aristotle’s Politics », Partie 1 et Partie 2.)

(5) La seconde bonne idée qui est souvent confondue à tort avec la démocratie est un dénommé régime « mixte » comportant un élément démocratique. Par exemple, les Etats-Unis ont une constitution mixte avec des éléments de monarchie (le Président), d’aristocratie (la Cour Suprême et le Sénat à l’époque où il n’était pas encore élu par le peuple), et de démocratie (la Chambre des Représentants). La démocratie représentative elle-même est un système hybride, puisque les nombreux désignent un seul homme ou un petit nombre pour représenter leurs intérêts. Presque toutes les sociétés européennes ont une constitution mixte avec des éléments monarchiques, aristocratiques et démocratiques, tout comme l’ancienne Rome et l’ancienne Sparte (qui n’était techniquement pas monarchique, puisqu’elle avait deux rois en même temps).

Dans sa Politique, Aristote dit qu’un régime mixte a plus de chances d’assurer le bien commun qu’un régime non-mixte. Dans un régime non-mixte, l’individu unique, le petit nombre ou les nombreux sont susceptibles de poursuivre leurs intérêts factionnels aux dépens du bien commun, simplement parce que les autres éléments de la société n’ont pas le pouvoir de leur résister. Dans un régime mixte, les trois groupes ont suffisamment de pouvoir pour résister aux tentatives des autres pour servir leurs intérêts aux dépens du bien commun. Oui, Aristote fut le premier théoricien de l’« équilibre des pouvoirs ».

Dans un régime non-mixte, nous devons dépendre de la vertu des dirigeants, puisque leur égoïsme peut conduire la société à la ruine. Dans un régime mixte, nous ne devons pas dépendre entièrement de la vertu des dirigeants, puisque l’individu unique, le petit nombre et les nombreux participent tous au gouvernement, et même quand la vertu leur manque, ils s’opposeront quand même à l’égoïsme des autres factions du fait de leurs propres motifs égoïstes.

Ainsi Aristote précéda de beaucoup la critique de l’ancienne théorie politique par Machiavel, à savoir qu’elle dépendait trop de la vertu humaine. Aristote rejetterait cependant l’idée des théoriciens politiques modernes selon laquelle une bonne société peut naître de motifs ignobles. Une bonne société peut seulement être le produit d’hommes d’Etat vertueux, bien qu’il reconnaîtrait que les motifs ignobles peuvent être utilisés pour préserver les produits de la vertu, même quand la vertu faiblit à l’occasion.

(6) Pourquoi la démocratie, pure et simple, est-elle un mauvais système ? Simplement parce que les hommes sont inégaux.

Pour comprendre et rechercher le bien commun, les hommes d’Etat ont besoin de certaines vertus morales et intellectuelles : sagesse, intelligence, courage, justice, maîtrise de soi, etc. Mais ces vertus ne sont pas également réparties dans la population. Il est donc très improbable que la majorité, en délibérant, découvre des politiques qui soient favorables au bien commun (ou même à leurs propres intérêts factionnels, à vrai dire).

Des majorités travaillant ensemble ne seraient pas non plus capables de mettre en œuvre et de maintenir de telles politiques sur le long terme.

De plus, on ne peut même pas faire confiance aux nombreux pour élire des individus supérieurs pour représenter leurs intérêts, puisqu’ils tendent à se laisser prendre aux pots-de-vin et aux flatteries des démagogues beaux parleurs et sans scrupules.

(7) Si la majorité n’a pas les vertus nécessaires pour server le bien commun, alors la seule question est de savoir si le règne d’un seul homme (monarchie) ou d’un petit nombre d’hommes (aristocratie) convient le mieux pour servir le bien commun.

Si la vertu est le seul critère pour la gouvernance, alors la monarchie est le meilleur système seulement dans des circonstances extraordinaires et hautement improbables. Car un monarque devrait être exceptionnel dans toute une série de vertus qui sont rarement combinées dans un seul individu, et encore plus rarement combiné à un degré exceptionnel.

Les aristocraties peuvent faire appel à toute une rangée d’hommes de vertu consommée : les sages les plus sages, les orateurs les plus entraînants, les stratèges les plus habiles, les guerriers les plus braves. Seul un dieu pourrait posséder toutes ces vertus en même temps. Si l’on pouvait trouver un tel roi divin, cela serait le meilleur de tous les systèmes de gouvernement. Car il combinerait toutes les vertus nécessaires pour de sages décisions avec le pouvoir de décider réellement.

Mais ce serait de la sottise de placer tous ses espoirs dans un miracle. L’aristocratie est donc un meilleur système que la monarchie, parce que seuls des régimes réels  peuvent servir le bien commun.

De plus, toutes les monarchies existantes sont en fait des aristocraties en pratique, car si un roi veut bien gouverner, il doit nécessairement choisir des conseillers, déléguer des pouvoirs, et donc créer des « pairs ».

(8) Cependant, l’aristocratie aussi a ses limites. Le principal problème de l’aristocratie est que dès que le pouvoir est exercé par des groupes, ils doivent délibérer, et leurs délibérations doivent être capables de produire des décisions. Idéalement, ces décisions devraient être les plus sages possibles. Mais parfois n’importe quelle décision, même une décision imprudente, est préférable à pas de décision du tout.

Il existe de nombreuses procédures pour mettre fin à la délibération et forcer une décision. On peut mettre une limite de temps à la discussion. On peut mettre les questions au vote. On peut même s’en remettre au lancement d’une pièce de monnaie. Mais dans de tels cas, les êtres humains abdiquent fondamentalement leur responsabilité en faveur d’un système impersonnel.

Mais si l’on a besoin de plus qu’une simple décision, si l’on a besoin d’une responsabilité pour les décisions, et si l’on a besoin d’un exécuteur des décisions, alors on a besoin d’une personne qui puisse décider. Cela est particulièrement le cas durant une alerte comme une guerre ou un moment de crise constitutionnelle quand les lois et institutions existantes se révèlent inadéquates.

En fin de compte, on ne peut pas être gouverné simplement par des lois et des institutions. Les législateurs ne peuvent pas envisager toutes les possibilités futures et parer à tout. Ainsi il y aura toujours des circonstances où des individus devront prendre des décisions en face de circonstances nouvelles.

Et même si les législateurs pouvaient prévoir toutes les circonstances possibles, on a quand même besoin d’individus pour appliquer les lois. Et l’application des lois ne peut pas simplement être gouvernée par un ensemble de lois supérieur, car comment les appliquerait-on ? On ne peut pas faire appel à une troisième série de lois, car ces lois aussi ont besoin d’être appliquées. Bref, l’idée de règles générales pour gouverner l’application de règles générales conduit à une régression infinie.

La seule manière de sortir de cette régression est de reconnaître une autre sorte d’intelligence, qui peut juger de l’applicabilité des règles générales dans des circonstances particulières. C’est la faculté de jugement. Mais si un jugement ne peut pas être réduit à des règles générales abstraites et incarné dans des livres de lois, il doit être incarné dans un individu particulier, le juge, qui a l’intelligence pour comprendre les règles générales, la vision pour appréhender et la finesse pour apprécier des circonstances concrètes, et le discernement pour appliquer la première à la dernière.

Le jugement est requis à tous les niveaux d’un système, des tribunaux de la circulation aux questions de vie et de mort pour la nation entière. Ainsi même l’aristocratie la plus exaltée et la plus raffinée a besoin d’un monarque : quelqu’un qui a la responsabilité et le pouvoir d’exercer le jugement dans les situations exceptionnelles concernant le destin de la nation dans son ensemble.

L’aristocratie est nécessairement conduite à embrasser la monarchie, tout comme la monarchie est nécessairement conduite à embrasser l’aristocratie. L’aristocratie est le meilleur principe dans les circonstances normales, la monarchie dans les situations d’urgence. Dans les circonstances normales le monarque devrait occuper son trône et présider au-dessus des délibérations, mais donner une latitude maximum au règne aristocratique pour assurer les décisions les plus intelligentes possibles. Dans les cas d’urgence, l’aristocratie devrait donner un appui maximum au monarque pour l’aider, ainsi qu’eux-mêmes et l’organisme politique, à traverser la tempête.

(9) Mais bien que le petit nombre ait bien plus de chances d’être capable de discerner et d’exécuter des politiques favorables au bien commun, dès qu’ils ont le pouvoir, comment pouvons-nous être sûrs qu’ils agiront réellement ainsi ?

Pour répondre à cela, nous devons faire face à un fait difficile : une société nationaliste blanche ne naîtra jamais tant que nous ne rassemblerons pas une élite d’individus extraordinaires qui la créeront et la doteront d’institutions saines. Puisqu’une telle société ne peut être créée que par une élite, elle doit nécessairement être conduite par celle-ci. Donc, encore une fois, comment pouvons-nous être sûrs qu’une telle élite, dès qu’elle sera installée, recherchera réellement le bien commun ?

La réponse est double. D’abord, on doit structurer l’élite afin qu’elle puisse se perpétuer et s’améliorer. Ensuite, on doit structurer le système dans son ensemble afin que les nombreux aient le pouvoir de veiller à ce que l’élite serve le bien commun plutôt que ses propres intérêts factionnels.

(10) Bien que les Nationalistes Blancs aient une forte tendance à croire à l’hérédité, l’aristocratie et la monarchie héréditaires ne sont pas les meilleurs systèmes, parce qu’il y a un important facteur de hasard dans l’hérédité qui rend possible que des parents supérieurs aient des enfants inférieurs, et que des parents inférieurs aient des enfants supérieurs.

Donc si nous devons être gouvernés par les meilleurs, nous avons besoin de méthodes pour (a) recruter et promouvoir les meilleurs enfants des masses aux positions d’élite, et (b) identifier et rétrograder les enfants inférieurs des élites à des positions qui leur conviennent mieux.

Les parents d’élite aimeront tout naturellement leurs enfants plus que le bien commun. Ils donneront à leurs enfants tous les avantages qu’ils pourront. Donc une société bien gouvernée doit prendre des mesures actives pour refuser ces avantages et cultiver et promouvoir les génies issus des milieux plus modestes.

L’une des meilleures manières de faire cela est d’établir un système éducatif rigoureux et entièrement public, par opposition à l’actuel système public-privé mixte qui est conçu pour perpétuer les actuelles élites corrompues tout en étouffant ou en cooptant leurs rivaux potentiels issus de milieux plus modestes.

Le meilleur modèle institutionnel pour une société nationaliste blanche est l’Eglise catholique, qui est gouvernée par une aristocratie non-héréditaire qu’elle recrute et promeut à partir de ses propres rangs, et qui élit un monarque parmi l’aristocratie.

Un autre modèle utile est le système vénitien. Bien que Venise était gouvernée par une élite commerciale, elle maintint une forme de gouvernement aristocratique plutôt que simplement oligarchique, en pratiquant la promotion et la rétrogradation pour maintenir une strate dirigeante basée sur le mérite. Venise avait aussi une forme élective de monarchie, comme la Papauté et d’autres cités-états italiennes comme Gênes.

Bien sûr, une société nationaliste blanche ne sera fondée ni par une aristocratie cléricale ni par une aristocratie commerciale.

Pour la Vieille Droite, une société nationaliste blanche serait fondée par une aristocratie martiale/politique, qui ressemblerait fortement aux ordres chevaleresques du Moyen Age ou à un autre ordre militant, les Jésuites, qui furent tous des modèles pour les SS de Himmler.

La Nouvelle Droite cherche à créer une société nationaliste blanche en détrônant l’actuelle hégémonie des idées anti-Blancs et en instituant une contre-hégémonie des idées pro-Blancs, en propageant cette hégémonie par le système éducatif et la culture et en colonisant tout le spectre politique par toute une gamme d’options pro-Blancs.

Le véhicule pour créer et perpétuer l’hégémonie blanche est une aristocratie intellectuelle et spirituelle, organisée comme un réseau non-hiérarchique qui peut pénétrer, subvertir et contrôler toutes les institutions existantes qui modèlent la conscience et la culture. Une telle aristocratie intellectuelle et spirituelle ne doit pas craindre d’exercer le pouvoir, tant qu’elle forme suffisamment la conscience de ceux qui l’exercent, ce qui revient à dire que la Nouvelle Droite est un mouvement métapolitique plutôt que politique. La politique est guidée à distance par la métapolitique.

Mais une société suffisamment pénétrée par la métapolitique de la Nouvelle Droite prendrait la forme d’un régime mixte avec un leadership aristocratique/monarchique. Bien sûr, la plupart des sociétés blanches ont déjà ce système essentiel, bien que sous des formes plus ou moins dégénérées. La métapolitique de la Nouvelle Droite vise donc à verser un nouvel esprit racialement conscient dans les bouteilles institutionnelles existantes.

(11) Souvenez-vous que les deux bonnes idées qui sont souvent appelées démocratie sont (a) le principe populiste selon lequel un système est juste seulement s’il sert le bien commun, et (b) le régime mixte avec des éléments monarchiques, aristocratiques et populaires.

En gardant cela à l’esprit, nous pouvons poser la question : la monarchie et l’aristocratie ont-elles besoin d’un élément populaire ? La réponse est oui. Si la monarchie et l’aristocratie doivent servir le bien commun, le peuple doit avoir le pouvoir de les contraindre.

Mais quelle forme cet élément populaire peut-il prendre, au vu de l’échec évident de la démocratie représentative ?

D’abord, la démocratie représentative peut être améliorée en accroissant la qualité et en diminuant la quantité de l’électorat. On pourrait limiter les votes aux chefs de familles, aux propriétaires, ou aux salariés rémunérés. On pourrait élever l’âge minimum pour voter. On pourrait instituer des exigences pour l’éducation et pour le service public. On pourrait donner des votes supplémentaires aux gens hautement intelligents. Bref, une démocratie a plus de chances d’élire une aristocratie si le principe aristocratique est utilisé pour déterminer l’électorat.

Deuxièmement, puisque la démocratie fonctionne le mieux dans les petites communautés homogènes, on devrait adopter le principe de la « subsidiarité », signifiant que chaque question devrait être traitée par l’autorité qui est la plus petite, la moins centralisée, et la plus proche des « racines profondes », tant qu’elle est capable de traiter le problème efficacement. La subsidiarité permettrait une démocratie délibérative « directe » et améliorerait aussi la démocratie représentative, puisque plus la communauté est petite, plus les représentants élus sont responsables.

Troisièmement, bien que les nombreux soient moins qualifiés que le petit nombre pour définir et exécuter les politiques nationales, les gens sont vivement conscients des politiques néfastes, comme le libre-échange et l’immigration de remplacement racial.

Ainsi le peuple ou ses représentants devraient avoir le pouvoir de mettre leur veto à une législation qui est inamicale envers le bien commun. Le peuple devrait aussi avoir le pouvoir de limoger des officiels publics, incluant des juges, qui sont inamicaux envers le bien public.

Pour empêcher le peuple et les démagogues d’abuser de ces processus, ceux-ci  devraient bien sûr être limités à des circonstances extraordinaires. Ils pourraient, par exemple, être mis en œuvre en convoquant des élections spéciales, des référendums, ou des plébiscites.

Quatrièmement, le peuple devrait aussi être capable de proposer et d’imposer la législation de leur choix par des initiatives de vote et des élections spéciales. Encore une fois, pour empêcher les abus, celles-ci devraient être limitées à des circonstances extraordinaires.

Cinquièmement, pour que les élites restent honnêtes, les anciens Grecs donnaient au peuple le pouvoir de vérifier les comptes publics.

Un peu d’imagination pourrait encore allonger cette liste. Aucune de ces mesures ne gênerait d’honnêtes serviteurs du bien commun. Mais elles seraient puissamment dissuasives pour la corruption.

* * *

Les pouvoirs qui sont là ont beaucoup investi pour promouvoir la valeur de la diversité, même en poursuivant des politiques qui la détruisent systématiquement. Cela a joué en faveur de la Nouvelle Droite, puisque nous sommes les vrais défenseurs de la diversité humaine, biologique et culturelle.

D’une manière similaire, l’establishment a beaucoup investi pour faire une idole de la démocratie, même alors qu’ils ignorent la volonté du peuple et piétinent le bien commun.

Cela peut aussi jouer en faveur de la Nouvelle Droite, car bien que nous soyons des élitistes francs et impénitents, nous pouvons arguer en toute honnêteté que nous représentons la « vraie démocratie », ou ce qui est vrai dans la démocratie, à savoir le principe du bien commun et l’idée que, au nom du bien commun, le peuple doit avoir le pouvoir pour résister à la corruption des élites.

 

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