Comprendre la crise grecque, partie 2

Pas Périclès : Georges Papandreou, Premier ministre grec, 6 Octobre 2009 –11 Novembre 2011 [1]

Pas Périclès : Georges Papandreou, Premier ministre grec, 6 Octobre 2009 –11 Novembre 2011

6,522 mots

Partie 2 sur 2

English original here [2]

Dans la première partie [3] de cette étude, nous avons examiné l’histoire politique de la Grèce post-Seconde Guerre Mondiale et les événements et les machinations qui ont mené à l’élection de l’actuel gouvernement grec et la crise polymorphe dont souffre la Grèce. 

La seconde partie de l’étude traite du genre de personnes qui composent le gouvernement grec, une question clé qui clarifiera au lecteur les raisons pour lesquelles la Grèce a pris ce cours catastrophique. De plus, elle offre une description courte mais concrète de la richesse extraordinaire et inexploitée que possède la Grèce, en se concentrant principalement sur son pétrole, son gaz naturel, et ses réserves d’uranium. C’est cette richesse que “l’élite bancaire circoncise” et ses serviteurs goyim cherchent à capter en détruisant l’économie grecque et l’ethno-État grec par la dette.

I

Commençons en examinant le profil de Mr. Papandreou, l’actuel Premier ministre de la Grèce. Mr Papandreou affirme que son prénom est Georgios (George), mais les preuves montrent tout autre chose. Il est né au Minnesota aux États Unis et enfant, sa famille l’appelait Jeffrey. Cette information a été récemment posté dans l’article sur lui dans la section anglaise de wikipédia.[1] Prétendument, le jeune Jeffrey a plus tard été baptisé selon le rite de l’Église Orthodoxe grecque et a été renommé Georgios à l’âge de sept ans. Selon cette version de l’histoire, son baptême (ainsi que celui de sa sœur) a été mené par l’Archevêque de l’Église Orthodoxe Grecque d’Amérique Iakovos (James) en 1959. Cependant, l’Archevêché d’Amérique n’a aucune trace de l’événement. Pour surmonter cette obstacle les conseillers en communication de Mr. Papandreou ont fait circulé une version différente en 2008, par laquelle le jeune Jeffrey a été baptisé ainsi que ses frères et sœurs dans une cérémonie privée à la maison de famille en Grèce. Les deux versions de l’histoire ont en commun que cela s’est fait sous la forte pression du grand père grec pour que les enfants soient baptisés. Une autre caractéristique commune des deux versions est que ni l’une ni l’autre ne sont soutenues par la moindre preuve. Le rite du baptême est considéré comme le jour le plus important dans la vie du chrétien grec orthodoxe et est célébré en conséquence. Les amis et la famille sont invités pour l’événement et bien sûr des photos sont prises. Malheureusement pour Mr. Papandreou les photos de son baptême n’existent pas, ni le moindre document officiel ou certificat de son baptême. Même si nous admettions que Mr. Papandreou ait bien été baptisé, la question qui demeure est, pourquoi la famille a refusé de le faire à l’âge approprié (celui du nourrisson) ? De plus, certaines personnes affirment que Mr. Papandreou qui a étudié à l’Université d’Athènes, est mentionné dans les dossiers non en tant que chrétien orthodoxe mais en tant que protestant. Vu que l’auteur de cet article prend les mystères chrétiens très au sérieux, et pour éviter toute confusion avec son grand père, pour le reste de l’article on parlera de Mr. Papandreou sous son vrai nom, Jeffrey Papandreou.

L’héritage racial de Jeffrey Papandreou est aussi intéressant. Comme on l’a expliqué dans la première partie de cette étude, son père, Andreas Papandreou, était moitié juif par sa mère.[2] La mère de Jeffrey Papandreou est une Américaine du nom de Margaret Chant. On connaît peu de choses sur sa vie. Pendant les années 1970 et 1980, il y eut des rumeurs répandues en Grèce et parmi la communauté gréco-américaine que les Chants étaient d’origine juive ou bulgaro-juive et que leur nom a plus tard été américanisé en “Chant” venant à l’origine de “Chantov” ou “Chantovski.”

Ces rumeurs ont été contrées par son père Dag “Horatio” Chant qui était un ancien des Témoins de Jehovah et selon ses affirmations d’origine irlandaises et allemandes.[3] Cependant, puisque de telles affirmations sont revenues à la surface, si il y avait la moindre preuve concrète d’origine non-Juive de la famille Chant, il est certain que les médias du système les auraient présentées. Bien sûr, cela importe peu de savoir si Jeffrey Papandreou est racialement juif à 25% ou 75%, il s’est entouré de juifs, et il est main dans la main avec  “l’élite bancaire circoncise.”

Jeffrey Papandreou a grandi dans une maison où on parlait l’Anglais et pas le Grec. Sa mère, malgré avoir vécu plus de 60 ans en Grèce, a refusé d’apprendre et de parler la langue grecque. Ainsi, Jeffrey Papandreou a toujours été plus à l’aise avec l’Anglais qu’avec le Grec. Sa loin d’être parfaite maîtrise du Grec fait fréquemment l’objet de satires. Encore plus étrange est sa relation avec la foi orthodoxe. Pendant la période où il était Ministre des Affaires étrangères, il se chamaillait fréquemment avec le prêtre de l’église près de sa maison, parce qu’il était dérangé par le son des cloches. Chaque fois qu’il a été forcé par ses communicants à participer à des fêtes et des cérémonies religieuses, il a démontré sa totale ignorance de toutes les traditions et coutumes de l’Église orthodoxe.

Jeffrey Papandreou a toujours eu une relation très dysfonctionnelle avec la Grèce. Certains e-mails entre membres de la famille Papandreou ont filtré il y a quelques années et ont fait les gros titres avec Nikos Papandreou, le frère de Jeffrey, appelant la Grèce, un pays de merde et se décrivant lui-même et sa famille comme des Américains avec des cœurs d’Américains déguisés en Grecs.[5] Cette relation dysfonctionnelle de Jeffrey Papandreou avec la Grèce est illustrée dans sa carrière politique. Apparemment ses vocations étaient d’être Ministre de l’Éducation et Ministre des Affaires étrangères, passant de l’un à l’autre les années où le PASOK était au pouvoir. En tant que Ministre de l’Éducation, il a fait tout ce qu’il a pu pour minimiser l’enseignement du Grec ancien dans les écoles [6] et pour “améliorer” le système éducatif en le rendant moins exigeant envers les élèves ; Jeffrey Papandreou n’est pas seul dans cette entreprise, il a plutôt suivi la ligne majoritaire du parti pour la destruction du système éducatif grec. L’auteur qui était à l’école à l’époque, se rappelle des changements perpétuels de livres, avec les nouveaux composés de plus de schémas et d’illustrations de textes, et dans lesquels la théorie était expliquée par des schémas successifs plutôt que par des mots écrits. [7]

Sa carrière en tant que Ministre des Affaires étrangères s’est lancée dans un effort gigantesque pour améliorer les relations avec la Turquie. Pour Jeffrey Papandreou les problèmes dans les relations gréco-turques étaient attribués de façon nébuleuse à des notions négatives préconçues que les Grecs ont envers les Turcs et vice-versa. Si ces notions en venaient à changer, les relations entre les deux pays en seraient instantanément améliorées. Bien sûr, jusqu’à quel point les provocations perpétuelles de la Turquie dans la Mer Égée et la contestation de la souveraineté grecque sur les îles grecques puissent être expliquées par cette théorie est au delà de toute explication rationnelle. Mais la Grèce a cessé d’être un pays quand il est devenu impossible d’avoir un débat rationnel le jour où les médias de masse et les universités ont été mises sous contrôle par les marxistes et les libéraux. Fort de cette compréhension post-moderne des relations internationales, Jeffrey Papandreou chercha à créer des douzaines de comités d’experts gréco-turcs qui exploreraient les questions des intérêts mutuels, établiraient la confiance et modifieraient tout ce qui dans l’éducation, la culture publique et les médias montre sous un aspect négatif “l’autre côté.” Les trouvailles de tels comités n’ont jamais été rendues publiques, mais à en juger par les changements constants et drastiques des livres d’école, la suppression progressive de quoi que ce soit rappelant les atrocités turques à disposition du public et le black out des médias sur les provocations perpétuelles de la Turquie, on peut sans risque affirmer que le but était l’éradication totale de quoi que ce soit qui rappellerait aux Grecs les actes de barbarie des Turcs et la suppression de la vérité en faveur d’une “nouvelle approche” dans les relations gréco-turques. Le lecteur devrait être conscient du fait que bien que de tels comités aient été expérimentés à leur apogée pendant l’ancienne administration du PASOK et que leurs décisions  commencèrent à être mises en œuvre au début des années 2000, les changements dans les livres d’école ont continué même quand le gouvernement a changé et que le parti de centre-droit du ND (Nea Dimokratia) prit le pouvoir. La raison pour cela est très simple : la politique de la Grèce sur la plupart des questions n’est pas décidée par ses propres institutions mais par des forces étrangères, qui n’ont rien à voir avec la politique grecque. Les deux grands partis (le PASOK et le ND), malgré leurs différences supposées suivent ce qui leur est dicté par ces forces extérieures. Plus d’exemples de ce phénomène seront présentés au fur et à mesure de la progression de l’article.

Jeffrey Papandreou en tant que Ministre des Affaires étrangères de la Grèce a bien sûr été défendu par l’establishment turc et on continue de l’y adorer, notamment par les journaux turcs qui ont salué son intronisation en tant que Premier ministre. Le spectacle de voir un des ennemis traditionnels couvrant d’éloge son dirigeant rendrait perplexe même la personne la plus naïve. Cependant, cela ne devrait pas surprendre quiconque au fait des opinions de Jeffrey Papandreou. Il est un des plus grands appuis de la Turquie en Europe et un défenseur acharné de l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne. Sur la plupart des questions concernant les relations gréco-turques, il a stupéfait même ses défenseurs les plus dévoués en prenant des positions pro-turques. En 2004, quand le plan Kofi Annan pour Chypre a été présenté à l’ONU, la plupart des politiciens grecs étaient même réticents à le célébrer comme une solution pour le problème de Chypre. Au contraire, Jeffrey Papandreou était catégorique sur son soutien au plan Kofi Annan. Il fit fortement pression sur le gouvernement chypriote pour l’accepter. Ce que signifiait exactement la mise en œuvre du Plan Annan à Chypre et ce que seraient les conséquences d’une telle action sont au-delà du propos de cet article. Néanmoins, le lecteur devrait être conscient que le Plan Annan, si il avait été mis en application, aurait établi un État non fonctionnel, avec les 18% de la population turque ayant au final plus de pouvoir politique que la communauté gréco-chypriote et qu’elle aurait donné l’opportunité à la Turquie de prendre le contrôle des portions libres de la République de Chypre.

D’autres idées de Jeffrey Papandreou comprennent la légalisation des soi-disantes “drogues douces,” un fort soutien pour les droits gays et lesbiennes, la croyance dans l’immigration totalement débridée, l’égalitarisme radicale, et le féminisme militant. Sa mère, qui est la dirigeante de la plus grande organisation féministe en Grèce, endoctrina le jeune Jeffrey dans une lecture féministe de l’histoire dans laquelle les femmes sont opprimées par les hommes et la seule manière d’en terminer avec la guerre et les autres problèmes mondiaux est la promotion des femmes dans les positions du pouvoir. Ce qui est reflété dans l’actuel gouvernement grec (choisi par lui-même) qui a un nombre disproportionné de ministres femmes. En résumé, Jeffrey Papandreou est un vrai enfant des années 1960, une version méditerranéenne de Bill Clinton.

II

Le cabinet [8] de Jeffrey Papandreou est une coalition étrange de crypto-juifs, partisans de la mondialisation, des ultra-libéraux avec peu de lien avec la réalité et dans deux cas distincts, des Slaves des Balkans “hellénisés,” qui perçoivent la Grèce comme leur ennemi et ont hâte de planter les graines de sa destruction. De plus, Jeffrey Papandreou a employé un grand nombre de conseillers, tous à la fois étrangers et ultra-libéraux. La structure du gouvernement et sa géographie humaine est typique d’un État dirigé par des Juifs. Eux au sommet et quelques collaborationnistes non-juifs les assistant soit pour motifs idéologiques ou pour des gains personnels comme le Professeur Mac Donald le dirait. Une analyse détaillée du CV de toutes ces personnes ferait dériver cet article de son but, donc quelques exemples caractéristiques seront examinés dans chaque catégorie.

Mr. Yannis Ragousis est Ministre de l’Intérieur.[9] Il a eu une ascension météorique dans la hiérarchie du PASOK grimpant presque instantanément de la position de maire quasi inconnu d’une île de la Mer Égée à être bras droit de Jeffrey Papandreou. Ragousis cependant est la version grecque de son vrai nom juif Saragousi (ou Saragoussi) qui indique son origine séfarade de Saragosse,[10] en Espagne.[11] Mr. Ragousis avait caché ce fait au public, mais cela a été accidentellement découvert par un enquêteur amateur.[12] À l’époque où ces pages ont été écrites, Jeffrey Papandreou envisage l’idée de créer un ministre qui coordonnera tous les autres et son ministre agira comme un second Premier ministre. Selon la plupart des sources, Mr. Ragousis est l’un des deux candidats favoris pour l’emploi.[13]

Un autre exemple caractéristique de la qualité du gouvernement de Jeffrey Papandreou est Anna Diamantopoulou, actuellement Ministre de l’Éducation, de l’Apprentissage tout au long de la vie et des Affaires Religieuses, qu’on appelle Miss Bilderberg à cause de sa présence dans le Club Bilderberg.[14] Diamantopoulou est une croyante fervente dans le multiculturalisme, la mondialisation, et le démantèlement des  États nation. Elle promeut activement la dé-hellénisation du système éducatif grec en faveur d’une forme d’éducation sans préférences culturelles et ethniques. Son mari porte le nom non-Grec de Salavano(s). La plus proche assistante d’Anna Diamantopoulou et ministre adjoint de l’éducation est une autre crypto-Juive, Paraskeui (Evi) Christofilopoulou. Elle abandonna le nom juif de sa famille, Kaler, et garda le nom faisant Grec et chrétien de son mari, quand elle entra dans la politique grecque. Malheureusement pour elle, la thèse de doctorat qu’elle passa en 1990 porte son vrai nom.[15]

Du côté des collaborationnistes goyims crédules, le membre le plus important du gouvernement est le Ministre de l’Environnement et de l’Énergie, Tina Birbili. Une éco-fanatique étrange d’apparence, ultra-libérale, dont l’incapacité d’être en lien avec la réalité est légendaire. Après 10 mois de mandat, elle réussit à bloquer des projets cruciaux pour le développement de la Grèce (dont la déviation partielle de la rivière Achéloos) à cause de l’insistance de groupes écologistes marginaux et à faire capoter un autre projet qui aurait brisé son image écologique. Son dernier haut fait a été l’interdiction des épanchements de prévention contre les dangereux moustiques dans les zones du Nord de la Grèce. En conséquence, sept personnes sont mortes du virus du Nil occidental. La raison derrière la décision d’interdire les épanchements indique ses croyances écologiques radicales et est attribué à son anxiété sur les dommages que les épanchements causeraient à la fragile “société moustique.”[16]

Theodora Tzakri est la nouvelle étoile du PASOK. Elle grimpa rapidement dans la hiérarchie du parti malgré ou peut être à cause de son apparence provocatrice et inappropriée (pour un membre du parlement) et des problèmes de diction qu’elle s’est évertuée à éliminer pendant des années. Jeffrey Papandreou l’a nommée son vice ministre au Ministère de l’Intérieur et elle devint une des soutiens les plus acharnés de la loi qui changea les règles pour l’acquisition de la nationalité grecque par les étrangers. La loi sera examinée consciencieusement dans les parties suivantes de cette étude. T.Tzakri est dit-on d’origine slave et il y a beaucoup de preuves anecdotiques pour soutenir cette affirmation.[17] Ses actions en tant que vice-ministre ont été en corrélation avec cette allégation. Elle a été la principale architecte de la loi qui permet le retour en Grèce des 50,000 Slaves du FYROM [18] qui dans la mutinerie communiste de 1944-1949 ont combattu aux côtés des communistes et ont plus tard fui ou été expulsés de Grèce. Une telle décision aboutira à des événements cataclysmiques, puisqu’elle crée artificiellement une minorité ethnique et offre l’opportunité au gouvernement du FYROM de promouvoir sa propagande concernant les  “Macédoniens ” ethniques à l’intérieur de Grèce.

Les exemples mentionnés au dessus indiquent simplement le genre de personne qui sont au pouvoir en Grèce. À leurs côtés, un grand nombre de conseillers étrangers entourent [19] Jeffrey Papandreou et coûtent des millions aux contribuables grecs. Sans surprise, la plupart appartiennent au “réseau de bons potes” d’intellectuels juifs  (Leif Petrogsky…), de gourous économiques juifs (Joseph Stiglitz…), de banquiers et de membres du Club Bilderberg  (Tommaso Padoa Schioppa …),[20] et d’anciens gauchistes transformés en décideurs (Joeff Malgan …). Ce qu’ils ont tous en commun est qu’ils sont les vieux amis de Jeffrey Papandreou et avec une notable exception près (celle du Professeur Kevin Featherstone) ne connaissent absolument rien à la Grèce et à la société grecque. On pourrait se demander, de quoi bénéficierait la Grèce de l’emploi de tels conseillers sur-payés et douteux ? Les ministres et leurs équipes ne sont-ils pas suffisants pour le Premier ministre de Grèce ? Pourquoi diable tous les conseillers se trouvent être de bons amis de Jeffrey Papandreou ? Peut-être que la réponse est très simple et pas technique du tout. Jeffrey Papandreou a vécu en Grèce pendant suffisamment de temps pour acquérir certaines coutumes grecques. L’une d’entre elles est que lorsqu’on hérite d’une fortune, la première chose à faire est de faire des cadeaux à ses amis proches. La  “fortune” de l’histoire est bien sûr, la Grèce frappée par une crise financière sévère. Une crise financière, que Jeffrey Papandreou a fait tout ce qu’il a pu pour accélérer et aggraver.

III

La richesse de l’État est largement basée sur deux composants clés : l’ingéniosité, l’éducation, et l’assiduité du peuple (surtout de sa classe moyenne) et de ses ressources naturelles. Si ces deux composants existent et sont efficacement combinés, alors un État et son peuple peuvent prospérer. Si le premier manque, alors la solution est de chercher le conseil technique de nations plus avancées. Si un État manque de ressources naturelles, alors son seul moyen d’action est d’acquérir de telles ressources de l’étranger, soit en les achetant ou en les exploitant dans d’autres pays. La Grèce n’a aucun déficit de ces deux éléments, néanmoins elle est considérée comme un des pays les plus pauvres d’Europe, son industrie manufacturière et son industrie lourde sont inexistantes, et elle doit importer presque tout produit technologique de l’étranger. Pourquoi ? La réponse à cette question est simple. Ce dont la Grèce manque est d’une élite voulant combiner les deux composants mentionnés ci-dessus pour le développement, et ceci arrive pour une raison cruciale : l’État moderne grec n’a jamais été un État indépendant et ses dirigeants (avec quelques rares exceptions) ont toujours été choisis par les forces extérieures pour servir les intérêts non de la nation grecque mais ceux d’autres.

Le fait que la Grèce ne soit rien de plus qu’une destination-pays pour les touristes et que le tourisme soit considéré comme sa première industrie reflète une décision consciente prise non par les Grecs, mais par des étrangers et mises en place par les gouvernements de Grèce. Ce n’est pas une théorie de la conspiration sauvage : il y a beaucoup de preuves pour soutenir cette affirmation. De façon intéressante, une telle information est parfois disponible en libre accès, pour quelqu’un qui sait comment chercher et également lire entre les lignes. Pour éviter de noyer le lecteur dans une marée de dates, de noms, de documents, et d’accords, nous présenterons ici une des études cruciales sur l’économie grecque qui a plus tard été utilisée comme feuille de route pour la direction qu’emprunterait le développement économique de l’État grec. Après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (FAO) conçut un plan pour le développement économique de la Grèce,[21] le plan impliquait aussi la Banque Mondiale qui s’assurerait qu’il serait strictement suivi. L’étude a été proposé par Moshe Ezekiel en 1947 (nul besoin d’expliquer l’origine du nom). Le dirigeant de la Banque Mondiale était Eugène Isaac Meyer – Juif également bien sûr. L’étude se concentrait seulement sur les 25 ans à venir. Ses directives étaient simples, bien qu’exprimées dans un langage ambigu. En résumé, la Grèce a été découragée de développer toute forme sérieuse d’industrie lourde et d’industrie chimique. L’étude proposait aussi la création d’un comité de conseil permanent avec des pouvoirs surpassant le niveau de conseil et même capable de mettre en liberté conditionnelle les prêts internationaux de l’État etc.[22] En d’autres mots, tous les plans pour le développement et l’industrialisation stratégique de la Grèce ont été annulés, l’économie grecque devait se former d’une manière qui rendrait l’État grec totalement dépendant des marchés internationaux. La réponse à la question que la plupart des Grecs se posent toujours, pourquoi la Grèce n’a jamais crée une industrie automobile ou une industrie militaire capable de construire tout ce qui est plus complexe que les bombes et les armes d’infanterie se trouve dans cette étude. Néanmoins, même sous ces règles strictes, la Grèce réussit à développer un peu d’industrie lourde qui resta largement intacte jusqu’à la restauration de la démocratie en 1974.

Comme mentionné au dessus, l’étude de Moshe Ezekiel avait une courte durée (25 ans) de façon surprenante. Ce qui étonna les économistes grecs, qui l’ont attentivement étudiée à l’époque. Rétrospectivement, la durée de 25 ans fait bien sens. Parce que environ 25 ans après que l’étude ait été conduite, l’État grec sous la direction du Konstantinos (Constantin) Karamanlis (l’ancien) s’embarqua dans une démarche de nationalisation et de strangulation économique des grands secteurs industriels qui fut finalement mise en œuvre quand le socialiste Andreas (Andrew) Papandreou arriva au pouvoir en 1981. Quand le processus de dé-industrialisation a été accompli, le pays s’est centré sur le secteur tertiaire et surtout le tourisme. Était-ce vraiment une coïncidence ? C’est très difficile à dire. Malgré cela le lecteur devrait être conscient d’un axiome important quand on regarde l’histoire. Ce à quoi on se réfère habituellement quand on évoque “le système,” a toujours quelques temps d’avance sur ceux s’y opposant et a des plans à long terme. Si les choses n’ont aucun sens à l’époque où elles sont mises en place, c’est parce que les profanes sont incapables de voir l’image d’ensemble. Avec le temps, les pièces se mettent dans le bon ordre et le puzzle est achevé.

Avec aucune industrie lourde, il n’y a aucune possibilité réelle pour un pays pour forer et profiter de ses ressources naturelles, et avec aucune industrie de forage et de raffinement, il n’a pas la capacité pour le faire correctement et pour le vendre aux autres. En conséquence, les ressources naturelles restent enterrées dans la terre attendant qu’une compagnie ou l’État ne les exploitent. À cause des limites de place, une étude détaillées des richesses minérales n’est pas possible, ainsi on se concentrera principalement sur les trois sources d’énergie cruciales que la Grèce a en profusion, l’uranium, le pétrole, et le gaz naturel.

C’est un fait, depuis 1950, on sait que des quantités importantes de minerais d’uranium existent dans les zones du Nord de la Grèce. La découverte attira l’attention de groupes de scientifiques américains qui  visitèrent le pays afin de mener des recherches étendues sur le sujet. La recherche pour l’uranium grec continua jusqu’en 1995, mais les découvertes dans la plupart des cas ont été dissimulées au public. En 1996, un document fuité de l’Institut de l’Exploration de la Géologie et des Minéraux de Grèce parut dans un journal qui révéla que la Grèce a un des plus grands gisements de minerais d’uranium au monde, situé à Kavala, au Nord de la Grèce.[23] Des études similaires continuèrent à fuiter et parurent dans des journaux grecs, prouvant l’abondance de gisements de minerais d’uranium dans beaucoup de zones du Nord de la Grèce tels que Serres, Kilkis, et la péninsule de la Chalcidique.[24] Sans surprises, les gisements sont jusqu’à maintenant restés inexploités. Ces voix qui prônaient la création d’une industrie de forage et d’enrichissement de l’uranium ont été ignorées. Soixante années après la découverte du premier gisement d’uranium en Grèce, aucun gouvernement n’a osé faire quoi que ce soit d’autre que de rejeter les plaidoyers des scientifiques frustrés, qui appellent à l’exploitation du minerais. Bien sûr, si l’État grec décidait d’agir et de profiter du trésor minéral, il pourrait rembourser sa dette, acquérir le montant d’argent nécessaire pour investir dans la construction de réacteurs nucléaires civils, devenant ainsi indépendant en termes d’énergie, et même exporter de l’électricité dans les Balkans et ailleurs. De plus, étant donné l’équilibre militaire conventionnel défavorable entre la Grèce et la Turquie, elle pourrait faire valoir l’argument qu’elle a le droit de développer des armes nucléaires en tant que dissuasion crédible. Le prix de l’uranium enrichi est en perpétuel ascension sur le marché et un gramme est estimé à 20,000$.[25] C’est seulement en profitant de son minerais d’uranium que la Grèce pourrait évoluer de l’homme pauvre de l’Europe en une superpuissance de l’énergie régionale et capable de rejoindre le petit “club des armes nucléaires.” En conséquence, son importance sur l’échiquier international en serait démultipliée, ses frontières seraient sécurisées, et les Grecs prospéreraient. On pourrait affirmer que basé sur l’équilibre des puissances de l’Est méditerranéen, une Grèce nucléarisée forcerait les autres pays à se doter de l’arme nucléaire, la Turquie en premier. Une Turquie nucléarisée sous le nez de la Russie ne serait pas bien accueillie par un Kremlin soviétique ou post-soviétique. Une telle explication pour le renoncement du droit de l’État grec à exploiter son minerai d’uranium pourrait être recevable. Cependant, la Grèce n’est pas riche seulement de son uranium, mais d’autres carburants conventionnels tels que le pétrole et le gaz naturel et elle a très peu fait pour les exploiter en sa faveur.

IV

Il y a une abondance d’articles, de livres, et d’études concernant les gisements de pétrole en Grèce. Cela ne sera pas exagéré de répéter les mots de Nikolaos Zardinis, qui en 1978 en tant que Ministre des Travaux Publics disait que la Grèce est une île qui nage dans le pétrole. Jusqu’à maintenant d’énormes quantités de pétrole ont été découvertes dans le Golfe Thermaïkos, ou nord-est de la Mer Égée, l’ouest de la Grèce, et au sud de la Crète.[26] On considère d’une importance particulière les gisements de pétrole du sud-est de l’île égéenne de Thassos, et dans d’autres zones proches des îles de Samothrace et Mityène. Ces gisements, bien que connus depuis un bon bout de temps, sont restés inexploités à cause des relations gréco-turques volatiles et de séries d’accords entre les deux pays que la Grèce, suivant obstinément une politique d’apaisement, accepta de s’abstenir de toute forme de recherche géologique dans les territoires disputés ou les eaux internationales. Chaque fois que les officiels de l’État grec sont confrontés à des questions concernant les gisements dormants de pétrole de la Mer Égée, ils répètent le mantra d’une réaction agressive possible de la Turquie sur toute recherche en opération de forage. Bien sûr le fait que pendant 35 années, après la chute du régime militaire, ils n’aient rien fait pour confronter, contrer, et contenir la menace turque est toujours un sujet tabou.

Néanmoins, même si l’on accepte la théorie de la menace turque, il n’y a absolument aucune excuse pour l’État grec d’être resté inactif sur les questions des gisements de pétrole de la Mer Ionienne. Sur l’île de Zkynthos (Zante) le pétrole jaillit littéralement hors du sol. Pendant la période de l’occupation militaire, un brillant industriel et scientifique grec, Sotiris Sofianopoulos, acquit la permission d’extraire du pétrole dans les zones de Keri, Zakynthos. Il le fit avec succès jusqu’à la chute du régime. La démocratie fut restaurée, et le pétrole de Zakynthos commença à attirer l’attention. L’intérêt à propos des gisements de pétrole en Grèce se renouvela. Le gouvernement de K. Karamanlis, l’ancien (presque déifié aujourd’hui par les électeurs de centre-droit) agit rapidement. Sofianopoulos fut arrêté sur de fausses accusations et traduit en procès. Le tribunal abandonna finalement les accusations, mais le plan de forage de Sofianopoulos cessa d’exister. Ce ne fut malgré tout pas suffisant pour l’appareil d’État, Sofianopoulos fut brisé et détruit financièrement par les forces combinées du gouvernement et des banques.

Le gaz naturel est étroitement associé au pétrole, la Grèce n’a pas de déficit de celui-ci non plus. 12,000,000 de mètres cubes de gaz naturel ont été estimés dans un gisement près de Zakynthis et approximativement 450,000,000 de mètres cubes à Thessalonique. De fortes preuves suggèrent l’existence d’autres gisements de gaz naturel au Nord de l’île de Crète. [27] Jusqu’à maintenant, la Grèce n’a exploité seulement qu’une petite fraction de ses hydrocarbures, avec l’exception notable des gisements du bassin Prinos-Kavala. Tandis que d’autres États méditerranéens (y compris la République de Chypre) ont constamment exploré leurs eaux territoriales à la recherche d’hydrocarbures, la Grèce reste largement inexplorée.[28] Pour répondre à ses besoins croissants en énergie, la Grèce achète son gaz naturel à la Russie et dépense 10,000,000 euros par an dans le pétrole arabe et russe ![29]La réticence de l’État grec à extraire son minerais d’uranium et à profiter de ses hydrocarbures ont rendu le pays dépendant à 70% de sources d’énergie étrangères.

L’or, n’est aussi pas rare en Grèce. Selon l’Institut d’Exploration Géologique et Minérale (IEGM) dans la région de Rhodope seule, le gisement d’or qui a été découvert est évalué jusqu’à 9 milliards d’euros. [30] Les gisements similaires existent dans d’autres parties de la Mer Égée (Mitylène, Chios, Lemnos …). La Grèce achète actuellement 14 tonnes d’or principalement de Suisse pour soutenir son industrie de forge. L’extraction de l’or serait certainement un boost pour l’économie grecque ; cependant, l’État grec trouva un moyen intelligent d’arrêter simplement toutes les excavations et l’exploitation de l’or grec. Au début des années 2000, il permit à une fausse compagnie, TVX Gold (et son département grec TVX Hellas) d’extraire les quantités d’or en Chalcidique. TVX Gold réussit (et son département grec TVX Hellas) à extraire les quantités d’or de Chalcidique. TVX Gold réussit à extraire 1,000,000 de tonnes de minerais mais détruit impitoyablement la région alentour avec ses déchets hautement toxiques dont la plupart furent dirigés dans la mer transformant les eaux bleus de la baie de Ierissos en rouge..[31] Les habitants de la zone se sont révoltés et ont exigé la fin immédiate de toutes les opérations de minage. Ce fut bien sûr, ce que les organisations écologiques avaient besoin pour commencer à condamner toute forme de minage comme destructrice pour l’environnement et nocive pour les populations. De nos jours, quand quelqu’un appelle à l’extraction de l’or grec, il fait face à une opposition unifiée d’une variété de groupes, des organisations écologiques, et des fanatiques d’extrême gauche. Ces gens galvanisent et mobilisent les communautés proches des zones de possibles opérations de minage avec des prophéties d’une catastrophe pour eux et l’environnement. Ainsi, l’or reste enterré, le gouvernement grec a maintenant une excuse toute trouvée pour ne rien faire pour l’exploiter, et TVX Gold eut suffisamment de temps pour se faire beaucoup d’argent en exploitant l’or sans dépenser un centime pour sécuriser ses déchets dangereux. Pour compléter le tableau, le lecteur doit savoir que TVX Gold appartient à George Soros, le mondialement connu gourou juif de l’économie, promoteur des  “révolutions de couleur,” et financier de centaines d’ONG (dont beaucoup sont écologistes).

L’or mis à part, le sol grec dissimule aussi en grande quantités d’autres métaux précieux tels que l’argent, le cuivre, l’iridium, et le palladium. Tout pays qui a ces métaux mentionnés plus haut, et réussit à les extraire et à les utiliser à son profit peut voir son profil géo-économique monter en flèche. En termes de matières premières stratégiques clés (le fer, le manganèse, le chromium, et le nickel) la Grèce est le seul pays en Europe qui les a toutes. Jusqu’aux années 1990, elle était le seul producteur et exportateur de manganèse en Europe, mais sa production stoppa quand l’Union Européenne décida d’acheter le manganèse moins cher du Brésil. Depuis 1982, des métaux rares tels que le lanthanum, le thulium, le thorium, et les autres ont été trouvés en haute concentration dans beaucoup de zones de Grèce. De même, en termes de pierres précieuses et semi-précieuses, des études ont montré l’existence de rubis, saphirs, améthystes, et des douzaines d’autres. Aucun effort n’a été entrepris par aucun gouvernement grec pour les exploiter. La dernière découverte sur les domaines des matières premières fut celle enterrée dans la Mer Égée (au nord de la Crète et dans l’île de Kastelorizo) des gisements énormes d’hydrates de méthane existent.[32] Les hydrates de méthane sont considérés comme le carburant du futur qui finira par remplacer le pétrole.

En d’autres termes, la Grèce en utilisant ses immenses ressources naturelles aurait facilement pu devenir l’un des pays les plus riches du monde sur Terre. Au lieu de cela, elle reste un État pauvre cherchant à survivre de prêts étrangers et du tourisme. Il n’y a pas de doute qu’il y a plusieurs décennies, il a été décidé que la Grèce resterait sous développée et totalement dépendante des autres pays. Comme mentionné plus tôt, ce qu’on appelle le “le système” a toujours plusieurs coups d’avance et a des plans à long terme. L’État grec a gardé sa richesse minérale intacte, tout au long de ces décennies, non en tant que réserves stratégiques pour le futur, mais parce qu’on lui a ordonné de le faire. Un nouveau “plan Oldenburg”[33] détaillant l’exploitation des ressources naturelles de la Grèce doit exister quelque part et très probablement on a permis à Papandreou d’en posséder une copie. Le plan sera mis en place une fois que la Grèce sera mise en banqueroute et dissoute. Cette fois l’agresseur n’est pas les Allemands et la victime l’URSS envahie. C’est “l’élite bancaire circoncise” en  tant qu’agresseur et la Grèce en tant que victime. Mais afin que la première puisse accomplir ses plans, elle dut créer une grave crise économique et installer un gouvernement marionnette voué à l’éradication de l’État grec et de son peuple. C’est cette attaque polymorphe contre la Grèce que les futures parties de cette étude examineront.

Notes

[1]  La phrase exacte était : “Il est né sous le nom de Jeffrey Papandreou à St Paul, Minnesota.” Le site Internet Answers.com avait la même citation exacte dans l’article sur Mr. Papandreou. Les entrées sur les deux sites ont été changées après que la nouvelle sur le vrai nom de Mr. Papandreou se soit diffusée en Grèce.

[2] Selon la tradition juive, les enfants nés d’une mère juive sont considérés de fait comme Juifs.

[3] Botsaris, Dimos-Markos, I Megali Apati (= la grande fraude) (Athens: Isokratis, 1986), p.138

[4] La mère de Lénine était en partie d’extraction juive. (Robert Service, Lenin: A Biography [London: Pan Books, 2002], p. 16.)

[5] “Letter of Nikos Papandreou,” Nemesis Magazine, January-February 2004

[6] Les Protocoles des Sages de Sion mentionnent l’éradication du classicisme des écoles. (Protocole 16: Endoctrinement ; disponible à :

http://iamthewitness.com/books/Protocols.in.Modern.English.htm [4].)

[7] Le lecteur devrait être conscient de l’insistance des Protocole des Sages de Sion (Protocole 16 : Endoctrinement), sur la modification du système éducatif des Chrétiens en un système qui les transformera en des brutes irréfléchies soumises qui doivent attendre à ce qu’on présente des idées devant leurs yeux.

[8] Le gouvernement décrit ici est celui qui existe à l’époque où l’article a été écrit (1 septembre 2010). Il y a des rumeurs constantes que Jeffrey Papandreou remaniera son cabinet bientôt dans les semaines à venir.

[9] L’administration du PASOK a changé les noms de la plupart des ministères leur donnant de nouveaux titres ‘charismatiques’. Par exemple, le Ministre de l’Intérieur a été renommé Ministre de l’Intérieur, Décentralisation et l’e-Gouvernance.

[10] Aser, Moysis, I Onomatologia ton Ebraion tis Ellados (= Onomastique de la Juiverie grecque), (Athens, 1973), p. 12

[11]  Les Juifs d’Espagne, qui ont été expulsés par le roi Ferdinand et la Reine Isabelle en 1492 ont été accueillis dans l’Empire Ottoman, dont une partie à l’époque en Grèce.

[12]  Il y a une abondance de preuves que les Juifs avec le nom de Saragoussis ont changé leur nom pour Ragoussis, en étant en Grèce et ensuite de nouveau en Saragoussis quand ils immigrèrent dans des pays, où leur judéité ne les handicaperait en aucune façon (les USA …). Un exemple clair de cela est le cas d’un des membres de la famille éloignée du ministre Viki Ragoussi, qui émigra aux USA de Grèce dans les années 1920 et changea son nom vers le nom juif originel “Victoria Saragoussi.” Comme nationalité elle déclara “Hébreux anglaise.” Cette information peut être retrouvée sur Ellisisland.org:                 http://www.ellisisland.org/search/matchMore.asp?LNM=SARAGOUSI&PLNM=SARAGOUSI&kind=exact&offset=0&dwpdone=1 [5]. (L’accès à la zone membre est nécessaire.)

[13] Kehagia, Voula, “Yperypourgeio ftiahnei o Giorgos” (= Giorgos [Papandreou] est en train de concevoir de fait un super-Ministre), journal Ta Nea (Athens), 23 août 2010.

[14]  Liste des invités en 2009 de la rencontre du club Bilderberg en Grèce

[15]  See: http://genreetlocal.free.fr/biblio/detail-grece/1-christofilopoulou-3.htm [6]

[16] “Birbili: Ta Kounoupia Pano apo ti Zoi ton Anthropon” (Les moustiques valent plus que la vie humaine, déclara Mme Birbili), journal To Paron (Athens), 22 Août 2010.

[17]  Par exemple, dans le passé, elle a été accusée de participer aux rencontres des auto-proclamés  “Macédoniens” d’origines slave en Grèce. Le bruit causé par l’affaire mena à une demande officielle d’explications du Ministre de l’Intérieur par le député Thanos Pleuris http://www.thanos-plevris.gr/boyli/paroysia-tis-yfypoyrgoy-theodoras-tzakri-se-quot-makedoniko-quot-glenti.html [7]

[18] “I Tzakri Fernei Piso 50,000 Pseutomakedones” (= Tzakri réinvite en Grèce 50,000 pseudo-Macédoniens), journal Eleutheros Kosmos (Athens), 4 Mai 2010.

[19]  Pour une liste des conseillers de Jeffrey Papandreou voyez: http://www.tovima.gr/default.asp?pid=2&ct=32&artId=348544&dt=14/08/2010 [8] (en Grec)

[20]  Mr Padoa Schioppa est dans la liste des participants du Club Bilderberg en 2010 (http://www.bilderbergmeetings.org/participants_2010.html [9]).

[21]  Nous connaissons ce plan et son importance, qui brida le développement grec, grâce aux efforts de Dimitrios Batsis, un homme de gauche, mais patriote grec, qui la même année publia un livre exceptionnel concernant les capacités industrielles de la Grèce. Batsis était furieux des propositions d’Ezekiel, et malgré sa terminologie marxiste, il les décrivit avec pertinence comme un étranglement de la Grèce. Il alla plus loin et offrit dans son livre un plan alternatif basé sur ses ressources naturelles (connues à cette époque). Quelques années plus tard, Batsis a été accusé d’être un membre d’une cellule d’espion communiste avec d’autres communistes grecs. La tête du réseau, Nikos Beloyiannis était sans aucun doute un traître qui avait travaillé pour les agences de sécurité soviétiques mais pas seulement. D’un autre côté, les accusations contre Batsis n’ont en pratique jamais été prouvées. Le tribunal militaire chargé de l’affaire ordonna l’exécution des arrêtés. On a plus tard trouvé que le gouvernement américain a joué un rôle décisif dans la décision du tribunal. Batsis a été exécuté à l’âge de 35 ans : pas même son père amiral de la Marine Hellène n’a pu le sauver. Son livre disparut des bibliothèques et des librairies pendant des décennies. Aujourd’hui, tout le monde se rappelle de Beloyiannis et la gauche en Grèce a fait d’un traître un martyr. Batsis reste aujourd’hui largement inconnu.

[22]  Batsis, Dimitrios, I Anagkaiotita gia ti Dimiourgia Vareias Metallourgikis kai HimikisViomihanias (= La nécessité d’une industrie lourde et chimique) in Papazisis, Ioannis, Polytimoi Lithoi kai Stratigika Orikta tis Ellados (= Pierres précieuses et gisements stratégiques), (Thessaloniki: Kadmos, 2009), p. 405.

[23]  Papazisis, I., op.cit., , p. 202.

[24]  Ibid. p. 213.

[25]  Ibid. p. 205.

[26]  Kolmer, Konstantinos, Ta Petrelaia tis Ellados (= Pétrole en Grèce) (Athens: Livanis, 2006), p. 222.

[27]  Ibid., pp. 222-23.

[28] Stampolis, Kostis, “Greek Oil production Enjoys Upturn,” Financial Mirror, 2009. (Visible ici http://www.financialmirror.com/Columnist/Global_Markets/517 [10])

[29]  Papazisis, op.cit., p. 189.

[30]  Ibid., p. 134.

[31] Enviroment News Service, “Red Mine Waste Fouls Pristine Greek Bay.” (Visible ici http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=1616 [11].)

[32] Sgouros, Georgios & Mazis, Ioannis, “Koitasmata Stin Anatoliki Mesogeio” (= Gisements en Méditerranée orientale), journal Epikaira (Athens), 2 mai 2010.

[33] Au côté de l’opération Barbarossa ; les Allemands formulèrent un plan pour l’exploitation économique des territoires conquis de l’URSS. On le connaît sous le nom de plan Oldenburg.

Source: Ab Aeterno, no. 5, Fall 2010.