Extraits du Manuel du Membre de la National Alliance (1992)

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2.d. IDEOLOGIES OPPOSEES

2d.vii. Christianisme

La National Alliance n’est pas une organisation religieuse, au sens ordinaire du terme. Elle doit néanmoins se préoccuper des questions religieuses, parce que les religions influencent le comportement des gens, de la société, et des gouvernements. Les doctrines des divers groupes religieux – chrétiens, musulmans, juifs, bouddhistes, et autres – traitent de questions temporelles aussi bien que spirituelles et entrent donc souvent en conflit avec la doctrine de la National Alliance.

Les doctrines chrétiennes sont de bien plus grande importance pour la National Alliance que les doctrines d’autres grands groupes religieux, parce que le christianisme est la religion la plus influente aux Etats-Unis, en Europe, et dans le reste du monde blanc. La plupart des membres de la National Alliance viennent de familles qui sont, ou qui étaient il y a une génération, au moins nominalement chrétiennes, et très peu viennent de familles qui pratiquent ou pratiquaient l’islam, le bouddhisme, ou d’autres religions. De plus, l’histoire de notre race pendant le dernier millénaire a été inextricablement liée au christianisme. La National Alliance ne peut vraiment pas éviter de prendre position concernant les croyances et les pratiques chrétiennes, en dépit des complications que cela cause pour notre travail.

Le fait immédiat et inévitable qui nous oblige à nous attaquer à la question chrétienne est que les principales Eglises chrétiennes prêchent toutes, sans exception, une doctrine d’extinction raciale des Blancs. Elles prêchent l’égalitarisme racial et le mélange racial. Elles prêchent la non-résistance à la prise de contrôle de notre société par les non-Blancs. Ce sont les Eglises chrétiennes, plus que toute autre institution, qui paralysèrent la volonté de survie des Sud-Africains blancs. C’est l’establishment chrétien aux Etats-Unis qui est le plus actif pour saper la volonté des Américains blancs à résister à la submersion par la marée des non-Blancs inondant le pays. La plupart des autorités chrétiennes collaborent ouvertement avec les Juifs, en dépit du mépris et des injures qu’elles reçoivent en retour, et les autres suivent au moins les politiques juives concernant la question capitale de la race. L’exception occasionnelle – un évêque catholique polonais parlant avec colère contre l’arrogance juive, quelques groupes protestants aux Etats-Unis exprimant de la sympathie pour les Palestiniens opprimés – n’invalide pas la règle.

Nous sommes donc obligés de nous opposer aux Eglises chrétiennes et de parler ouvertement contre leurs doctrines. Mais, à la différence de certains groupes, nous n’accusons pas les dirigeants chrétiens d’être de faux chrétiens. Nous ne disons pas : « Nous sommes les vrais chrétiens, parce que nous défendons les valeurs que les principales Eglises défendaient il y a un siècle, parce que celles-ci ont été subverties ». Nous n’allons pas chercher dans la Bible les versets qui semblent être en accord avec les politiques de la National Alliance et contraires aux politiques actuelles des Eglises chrétiennes. Un bon spécialiste de la Bible peut trouver dans les écritures judéo-chrétiennes un appui pour – ou des munitions contre – pratiquement n’importe quelle politique.

Au-delà du conflit immédiat entre nous et les Eglises chrétiennes concernant les questions raciales, il y a un problème idéologique de longue date et absolument fondamental avec le christianisme. Ce n’est pas une religion aryenne ; comme le judaïsme et l’islam, il est d’origine sémitique, et tous ses siècles d’adaptation partielle aux coutumes aryennes n’ont pas changé sa nature essentielle. Il fut apporté dans le monde gréco-romain par un Juif du Levant, Saül de Tarse (plus tard connu sous le nom de Paul). Ses doctrines affirmant que les humbles hériteraient de la terre et que les derniers seraient les premiers trouvèrent un terrain fertile parmi la populeuse classe servile à Rome. Des siècles plus tard, alors que Rome succombait à un pourrissement interne dans lequel le christianisme ne joua pas une faible part, des légions de conscrits romains imposèrent la religion importée aux tribus celtiques et germaniques du Nord.

Finalement le christianisme devint un facteur unifiant pour l’Europe, et au nom de Jésus les Européens résistèrent à l’assaut des Maures et des Turcs islamiques et expulsèrent les Juifs « meurtriers du Christ » d’un pays après l’autre. Mais la religion conserva sa mentalité étrangère, même si nombre de ses aspects furent européanisés. Son détachement du monde est fondamentalement en désaccord avec la quête aryenne de connaissance et de progrès ; son universalisme s’oppose directement à l’effort aryen pour la beauté et la force ; sa délimitation des rôles de l’homme et de Dieu offense le sens aryen de l’honneur et de la responsabilité.

Finalement le christianisme, comme les autres religions sémitiques, est irrémédiablement primitif. Sa déité est complètement anthropomorphique, et ses « miracles » – ressusciter les morts, marcher sur l’eau, guérir l’estropié et l’aveugle d’un mot et d’un geste – relèvent de la pire superstition.

Nous pouvons avoir de tendres souvenirs du temps avant la Seconde Guerre mondiale où de jolies petites filles en robes blanches assistaient au catéchisme entre Blancs, et où le christianisme semblait être un rempart des valeurs familiales et un ennemi de la dégénérescence et de l’indiscipline. Nous pouvons chérir les récits de la vaillance médiévale, quand les chevaliers chrétiens combattaient pour Dieu et le roi – si nous pouvons oublier la sanglante intolérance de l’Eglise chrétienne, qui étouffa la science et la philosophie pendant des siècles et envoya des dizaines de milliers d’Européens sur le bûcher pour hérésie.

Nous pouvons même trouver l’éthique chrétienne sympathique, si nous suivons la pratique chrétienne habituelle consistant à interpréter nombre de ses préceptes – tels que celui disant de tendre l’autre joue – d’une manière telle qu’ils n’interfèrent pas avec notre tâche. Mais nous devrions nous souvenir que rien d’essentiel dans l’éthique chrétienne n’est spécifiquement chrétien. Toute société fonctionnelle doit avoir des règles de conduite sociale. Le mensonge et le vol étaient évités dans toutes les sociétés aryennes longtemps avant l’apparition du christianisme. Nos ancêtres païens n’avaient pas besoin des missionnaires chrétiens pour leur dire comment se comporter ou pour leur expliquer l’honneur et la décence – bien au  contraire !

Les historiens peuvent discuter des aspects positifs et négatifs du rôle du christianisme dans le passé de notre race : si l’unité qu’il apporta durant une période de consolidation européenne l’emporte ou pas sur la perte de bons gènes qu’il causa durant les Croisades et les sanglantes guerres religieuses du Moyen Age (et par la politique du célibat des prêtres de la part de l’Eglise) ; si les splendides cathédrales gothiques qui surgirent en Europe durant quatre siècles et si la magnifique musique religieuse du XVIIIe siècle étaient essentiellement chrétiennes ou aryennes dans leur inspiration ; si la prise de position du christianisme contre les maux du laisser-aller – la gloutonnerie et l’ivrognerie et l’avidité – compensait ou pas le fait qu’il enchaîna l’esprit humain dans la superstition. Une chose est déjà claire, cependant : le christianisme n’est pas une religion que nous pouvons souhaiter pour les futures générations de notre race.

Nous avons besoin d’une éthique ; nous avons besoin de valeurs et de règles ; nous avons besoin d’une vision-du-monde. Et si on veut donner à toutes ces choses réunies le nom de religion, alors nous avons besoin d’une religion. Mais on pourrait aussi choisir de leur donner le nom de philosophie de vie. Quel que soit le nom que nous lui donnons, elle doit venir de notre propre âme raciale ; elle doit être une expression de la nature aryenne innée. Et elle doit être en accord avec notre mission de progrès racial. Le christianisme, tel que le mot est communément compris, ne répond à aucun de ces critères.

Le fait est que, en laissant complètement de coté la question raciale, aucune personne qui croit sans réserve à la doctrine chrétienne ne peut partager nos valeurs et nos buts, parce que la doctrine chrétienne affirme que ce monde est de peu d’importance, étant seulement un terrain d’essai pour le monde spirituel où l’on entre après la mort. La doctrine chrétienne affirme aussi que la condition de ce monde n’est pas de la responsabilité de l’homme, parce qu’une déité omnipotente et omnisciente assume seule cette responsabilité.

Bien que quelques chrétiens croient sans réserve à la doctrine chrétienne, cependant, ce n’est pas le cas pour la plupart d’entre eux. La plupart ressentent instinctivement ce que nous croyons explicitement, même s’ils ont refoulé ces sentiments dans un effort pour être de « bons » chrétiens. Parce que parmi ces nombreux chrétiens nominaux, même ceux affiliés aux principales Eglises peuvent, dans certaines circonstances, être persuadés de travailler pour les intérêts de leur race. D’autres chrétiens nominaux – particulièrement ceux qui n’appartiennent à aucune des principales Eglises – ont interprété la doctrine chrétienne d’une manière tellement idiosyncratique que les contradictions entre leurs croyances et les nôtres ont été minimisées.

Pour ces raisons, nous voulons éviter le conflit avec les chrétiens dans la mesure du possible. Nous ne voulons pas être offensants sans nécessité, même quand nous parlons ouvertement contre les doctrines de ces Eglises. Nous ne voulons pas ridiculiser leurs croyances, qui dans certains cas sont sincèrement soutenues. Certains de ces gens rejetteront plus tard les doctrines raciales du christianisme. Certains rejetteront le christianisme en totalité. Nous voulons les aider dans leur quête de la vérité dans la mesure de nos possibilités, et nous voulons garder la porte ouverte pour eux.

Les membres qui désirent étudier en profondeur le sujet du christianisme et sa relation avec notre tâche devraient lire le livre Which Way Western Man?, de notre défunt membre William Simpson. Les premiers chapitres du livre décrivent l’odyssée spirituelle d’un homme de sensibilité spirituelle exceptionnelle, qui était chrétien bien plus intensément que presque tous les chrétiens vivant aujourd’hui et qui comprit finalement la nature racialement destructive du christianisme et la rejeta.

Une étude plus concise de la différence entre la vision-du-monde chrétienne et la nôtre se trouve dans le texte de Wulf Sörensen, The Voice of Our Ancestors, qui a été reproduit dans National Vanguard n° 107.