Que pouvons-nous faire ?

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Que pouvons-nous faire, en tant que membres du C.C.C. [Council of Conservative Citizens, Conseil des Citoyens Conservateurs], pour faire avancer la cause conservatrice ? La chose la plus importante que nous pouvons faire est de nous exprimer et de nous impliquer dans le processus politique. Trop souvent, les conservateurs passent leur temps à se plaindre des problèmes de l’Amérique auprès d’autres gens qui partagent les mêmes convictions – après tout, c’est beaucoup plus facile que d’affronter ces sales gens qui semblent peupler la gauche – mais quand vient le temps de faire quelque chose, il n’y a plus que le silence.

La question la plus importante qui se pose à nous est celle de la poursuite de l’existence de notre peuple, les descendants de souche européenne des fondateurs de la nation américaine. A mesure que l’immigration remplit notre pays d’étrangers, nous risquons d’être dépossédés, et finalement, entièrement remplacés.

Bien trop souvent les conservateurs, en particulier les Républicains de l’Establishment, évitent de telles questions en faveur d’autres comme la réduction des impôts, la réduction du pouvoir gouvernemental, des sanctions sévères pour les crimes violents, des limites à la pornographie, et des questions religieuses comme la prière à l’école.

A coup sûr, ce sont des questions valables, symptomatiques du caractère de notre peuple. Mais c’est la poursuite de l’existence et la bonne santé de notre peuple qui est la question principale. La raison est que les choses qui nous sont précieuses, comme les libertés citées plus haut, sont largement des caractéristiques intrinsèques de notre peuple. Ce n’est que chez très peu d’autres peuples du monde que les libertés personnelles et la considération pour les droits des autres sont un facteur dissuasif dans l’équation politique. Cela explique aussi pourquoi la liberté, le règne de la loi, les droits individuels, la démocratie et les autres caractéristiques des sociétés occidentales semblent n’avoir jamais pris parmi les divers autres peuples du monde.

Le corollaire de ce fait est que si nous permettons à l’immigration d’inonder notre pays avec des gens qui ne sont pas comme nous, alors les libertés et les droits que nous chérissons disparaîtront quand ces gens deviendront suffisamment nombreux pour élire leurs propres leaders politiques. Bref, ils « voteront » simplement pour prendre nos libertés – et notre argent, via les impôts – et s’approprier ces commodités pour eux-mêmes.

Nous ne pouvons donc pas gagner en défendant une réduction des impôts ou une limitation du gouvernement, ou même la prière à l’école, parce que dès que nous ne serons plus assez nombreux pour donner le ton culturel et politique dominant du pays, ces droits et ces libertés disparaîtront automatiquement.

Nous devons donc défendre notre identité en tant que peuple distinct et séparé.

Cet argument ne dépend pas de savoir quelles races ont un QI faible ou élevé, quelles races commettent plus ou moins de crimes, ou tout autre argument basé sur des « principes ». Par cet argument, nous ne sommes pas plus obligés d’abandonner notre pays aux Asiatiques, qui ont un QI élevé et un faible niveau de crime, qu’aux Africains ou aux Mexicains, qui ont un QI faible et un niveau de crime élevé. La clé est que nous sommes un peuple distinct, apparenté par la naissance et le sang, et ayant droit a l’existence en tant que tel.

Quiconque souhaite nous priver de notre existence unique et distincte commet un crime de génocide contre nous, et il est grand temps que nous commencions à formuler l’argument en ces termes.

Note

Michael W. Masters est Coordinateur pour l’Etat de Virginie du Conseil des Citoyens Conservateurs. Cet article est reproduit d’après le numéro de juillet 1997 de la lettre d’information de la Région de la Capitale Nationale du C.C.C.