L’« Alliance Boréenne »

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Boreas

322 words

English translation here [2]

« Devant le prodigieux réveil des peuples exotiques et la naissance du racisme antiblanc, il faudra bien que se reforme un jour l’unité du monde civilisé [sic], de l’Alaska à la Sibérie. Ce jour-là, l’Europe européenne ne saurait se définir contre les autres continents blancs. Elle devra au contraire devenir le plus solide lien entre la Russie européenne et l’Amérique européenne. » — Jean Mabire, 1965

« On assiste (et cela se voit sur la carte) à une rétraction rapide du monde ‘blanc’, c’est-à-dire européanisé. Les Européens sont en train de se replier sur leurs territoires d’origine, qui se situent tous au nord du globe terrestre. (…) on peut alors s’orienter vers une ‘Alliance Boréenne’, une ‘Triplice’ associant trois grands blocs : Amérique du Nord (réunissant le Canada et la partie nord des Etats-Unis), Europe (avec ou sans l’Ukraine, c’est une question en suspens) et Russie (incluant au moins une partie de la Sibérie, si toutefois la Russie parvient à la conserver). Dans cette perspective géopolitique cohérente, ‘Américains’, ‘Européens’ et ‘Russes’ pourraient conserver leur nom et une identité distincte, tout en étant étroitement unis dans une grande ‘Alliance Boréenne’ à trois têtes (retombant comme par hasard sur le chiffre trois, chiffre sacré des Indo-Européens : le Nord et le chiffre trois, deux forces bénéfiques pour les Indo-Européens). (…) Cette ‘Alliance Boréenne’ ne sera bien sûr possible que lorsque les Etats-Unis auront renoncé à leur ‘sécession’ (car, ontologiquement, la fondation des Etats-Unis fut bien une sécession) vis-à-vis de la civilisation-Mère (l’Europe) et à leur utopie biblique, capitaliste et multiraciale. Tant que l’Empire américain ne renoncera pas à son utopie multiracialiste et à son hostilité envers l’Europe (la civilisation-Mère), le concept d’alliance euro-russe (‘l’Euro-Russie’) restera valable (et nécessaire).

Tous les Blancs de l’Hémisphère Nord unis dans une triple Alliance Boréenne : voilà enfin un espoir à l’horizon, et une perspective à la fois exaltante et réaliste, intégrant ethnopolitique, géopolitique et chronopolitique. » — « Volchok », 2010/2011